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samedi 14 mars 2009

[Clip] LeToya Luckett - Not Anymore

Dans un précédent article, Aurélien vous a présenté "Not Anymore", le tout nouveau single de LeToya Luckett. Aujourd'hui, je vous invite à découvrir la vidéo qui accompagne la chanson: bon, elle n'a absolument rien de révolutionnaire mais elle se laisse très bien regarder. Bonne découverte!

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vendredi 13 mars 2009

[Clip] Britney Spears - If You Seek Amy

Vous l'attendiez n'est-ce pas? Et bien voici le nouveau clip du nouveau single de BritBrit... le bien nommé "If You Seek Amy". En toute franchise, le résultat est plus que satisfaisant: Britney est bien mise en valeur, le clip est sexy (sans tomber dans le mauvais goût), on perçoit assez bien le message qui se dégage du clip (basé sur le thème des apparences)... toutefois, une bonne chorégraphie endiablée n'aurait pas été de trop. Je vous laisse juger du résultat par vous-même:

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jeudi 12 mars 2009

Remix de la semaine | The Killers - Spaceman (Remixes)



Décidément, les grands noms de la scène trance aiment The Killers. Souvenez-vous, "Human" avait été remixé par Ferry Corsten et Armin Van Buuren. Cette fois-ci, c'est le dj hollandais Tiesto qui s'y colle: en effet, le DJ a présenté, il y a quelques jours, son propre de "Spaceman", le single actuel du groupe. Et en toute franchise, ce remix house/trance est bien meilleur que le remix proposé par Bimbo Jones. Je vous laisse par vous-même: il vous suffit juste de cliquer sur les deux ci-dessous.

The Killers - Spaceman (Tiesto Remix)


The Killers - Spaceman (Bimbo Jones Remix)

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mercredi 11 mars 2009

The Stunners - Bubblegum


Est-ce le succès des Girls Aloud et Sugababes ou le triomphe mondial des Pussycat Dolls ? Quelque soit la raison de leur apparition, The Stunners sont plutôt les bienvenues. Au pays de l’oncle Sam les girlbands pop font cruellement défaut, alors quand cinq gamines pointent le bout de leur nez de façon inattendue, on acquiesce, on approuve.
Ce groupe que l’on suivait depuis quelques mois, au rythme des changements de singles, s’apprête enfin à envahir la scène anglophone avec Bubblegum et sa bubble pop débordante d’énergie. Premier extrait sorti vainqueur d’une longue bataille, pas forcément le plus méritant, m’enfin.
Avant lui, Let’s Hear For The Boy et Truth About Us avaient été annoncé. Le premier, reprise d’un tube des années 80, est paru sur la compilation iCarly de la série du même nom (un grand moment de télévision), l’été dernier. Un temps une exploitation fut envisagée avant de tomber à l’eau. Plus tard Truth About Us pris le relai, sans jamais que la sauce, elle, ne prenne. Les radios n’ont pas vraiment adopté le titre, aussi le label a-t-il jeté l’éponge préférant opter pour Bubblegum.
Entre les trois chansons, un même lien qui les unit au sein d’une grande famille : la teen-pop. Revenu en force avec les stars produites par Disney (Miley Cyrus, Jonas Brothers, Jordan Pruitt) ce genre complètement ringardisé il y a encore trois ans (les survivant se comptent sur les doigts d’une main) poursuit sa révolution. Les Stunners ne sont donc pas les premières à prétendre s’inspirer des Spice Girls, mais au pluriel leur affaire marche différement. Par leur nombre, leur jeune âge et le fait qu’elles ne soient pas issues d’un casting TV, les Stunners se présentent comme une alternative. Une alternative pourquoi pas aussi aux collègues anglaises avec un son plus « américain » mais du coup moins « innovant », un peu en retard d’une mode.
Toutefois, les voix passées au vocoder et les bruitages façon Gameboy sur Bubblegum, prouve que l’ascension de l’électro-pop outre-Atlantique est toujours d’actualité. Musique pop minimaliste et ingrédients empruntés au r&b sont les secrets de ce single à l’efficacité indéniable. Une sorte de Fergalicious nettement moins irritant.
Pas bitches au point de ressembler aux Pussycat Dolls, ces cinq miss au look épicé (épinglé Pimkie. On est loin des standards britanniques !) prennent un chemin plus sage.
Si toutefois vous résistez à Bubblegum, sautez les deux autres morceaux tout aussi punchy, et prêtez une oreille à Imagine Me Gone, ballade proche du répertoire de The Saturdays et de Rihanna.
Le clip, bien mignon, très girly :


Let's Hear For The Boy

Truth About Us


Myspace
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P!nk - Funhouse Tour à Paris

Lundi 9 Mars 2009, 23h10, la foule en délire du Palais Omnisports de Bercy à Paris est debout, épatée, standing-ovation et tout le tralala. Une salle de concert remplie pour la première fois par l'Americaine, qui avoue elle-même être étonnée de son succès français (mouarf, arrête ton char!).
Retour en arrière.
Comme vous vous en doutiez déjà, Hall Musique était là, en exclusivité totale pour un concert secret avec 20 000 autres personnes, ouiii, très drôle. Evidemment, s'il y a une chose qui n'était pas un secret, c'était le passage de P!nk dans la capitale en ce début de mois. Après une première date à Nice pour lancer sa tournée européenne et quelques détours au-delà de nos frontières, la colérique blonde qu'on aime tous imiter devant notre miroir était de retour en France avant-hier, pour un concert témoin de son succès encore grandissant. Ce qu'il faut savoir, c'est que l'interprète de "So What" et "Sober" n'avait encore jamais réussi à remplir la salle parisienne, en dépit d'un succès francophone qui a toujours été plus ou moins convenable, notamment durant les exploitations de M!ssundaztood et I'm not dead. Plus de panique, c'est maintenant chose faite.

Niveau décor, c'est assez grandiose. Une longue avancée rapproche l'artiste des fans et a ravi la fosse. La scène est rouge, or, couleurs chaudes et ambiance chapiteau. Un peu comme Britney, oui, mais différent tout de même. Et il n'est pas question de piquage d'idée entre les deux vétérantes (quand même dix ans de carrière ou presque pour toutes les deux!), juste de coincidences. On ajoute des escaliers sur les côtés, des écrans très fête foraine derrière les musiciens et d'autres sur les côtés retransmettant les faits et gestes de la chanteuse, puis cinq-six constumes toujours un peu provoc mais fidèles à la grande P!nk qu'on connait, des chorégraphies vraiment pas mal et des numéros hallucinants, on secoue le tout et on obtient le Funhouse Tour 2009. Résumé rapide de la soirée.

Le tout commence par une intro, sous forme de vidéo projetée sur les écrans, où l'on voit P!nk telle qu'on la voit dans ses clips: elle se réveille avec la gueule de bois, chez on-ne-sait-qui, elle fout le bordel dans la penderie, jette des vêtements sur le sol, éparpille de l'essence avant de partir sur sa moto, après avoir jeté sa cigarette au sol, enflammant la maison. Le ton est donné: P!NK EST UNE REBELLE. Tout ça accompagné d'un "Highway to Hell" énorme, reprise d'AC/DC évidemment, qui enflamme lui aussi la salle entière. Direct, on sait à qui on a affaire. Y'a du coffre, de la voix, et ça va pas rigoler, elle est là pour nous en mettre plein les yeux.
Dixit son arrivée, à l'extrême bout de l'avancée de scène, surgissant du sol et s'envolant sous les cris de liesse du public alors que les guitares de "Bad Influence" commencent. Sourire aux lèvres, elle commence.

Car c'est là que réside la plus grande force de P!nk. OK, elle aime parfois se complaire à faire l'ado retardée, faire pipi dans des bouteilles d'eau et les donner à boire à d'autres, jouer la blonde cruche sur le capot de sa voiture, mais elle assure derrière. Celle qui est un peu la grande tante de Katy Perry, niveau image et attitude, tout de même, puise sa force dans sa capacité à faire rire et bouger avant de redevenir sérieuse en un claquement de doigts, et de vous en mettre plein la vue en enchaînant "Just Like a Pill" (On a jamais pris autant de plaisir à crier "but she's being a little bitch" - paroles du titre, ndlr), "Who Knew" (la main sur le coeur, les yeux au ciel, comment lui résister?) et "Ave Mary A", pesant chaque phrase et vous regardant dans le blanc des yeux, avec cette impression immense que l'on a que l'artiste pense honnêtement chaque chose qu'elle chante, avec une force émotionelle épatante. Je crois que ça s'appelle du talent.
Dans "Ave Mary A" justement, des images de vitraux s'affichent derrière elle, et pendant un instant, lors de ces refrains qui implorent, la salle retient son souffle et ferme les yeux, devant P!nk, grande prêtresse chamane (c'était la minute André Manoukian, merci de votre participation). Si aller à l'église ressemble à ça, je veux bien devenir prêtre.

Après un changement de costume, la belle revient s'installer dans un divan rouge, chantant sensuellement sa reprise des Divinyls, "I Touch Myself". On y croit pas nos yeux quand des mains se mettent à sortir du canapé et à caresser P!nk, qui joue avec, l'air mutin. L'ambiance est électrique, la chanteuse un génie de la scène. Tout est parfaitement chanté, maitrisé, dansé, réalisé presque sans effort. Elle enchaîne avec "One Foot Wrong", "Please Don't Leave Me", son dernier single en date, toujours avec la même intention, avec ce plaisir et cette envie de faire plaisir qui émane carrèment de la scène. Même sans connaître, beaucoup reprennent les complaintes du refrain. Et c'est encore davantage de voix qui se font entendre lorsque, jolie surprise, P!nk reprend "Don't Let Me Get Me", un des tubes de son second album, s'attardant en roulant des yeux sur le couplet "LA told me, you'll be a popstar / All you have to change, is everything you are / Tired of being compared / To damn Britney Spears". On l'a bien compris, le premier qui dit "Oh mais le thème du cirque, c'est pas comme...", IL FERME SA GUEULE ET IL DEGAGE. Ouf, on ne l'a même pas pensé.

Pour la prochaine salve de chansons, P!nk la joue décontract', quasi acoustique, avec une guitare à la main et ses choristes pour l'accompagner (comme elle l'avait fait lors de la tournée précédente, pour des titres comme "Dear Mr. President") et nous concocte un "I Don't Believe You" larmoyant - mais elle nous avait prévenu: "It's a sad song, so you're supposed to cry". Sans jamais perdre de sa verve (en s'asseyant, elle s'inquiète de ne pas trop révéler ses fesses), "Crystal Ball" suit, dans une atmosphère calme et détendue, mais pas de celles qui perdent l'attention du public. Veritable magicienne, P!nk retient tout le monde pendu à ses lèvres. Une nouvelle reprise, qui éclate pendant les refrains, réveille ceux qui auraient néanmoins pu s'endormir: c'est le magnifique "Babe I'm Gonna Leave You" de Joan Baez/Led Zeppelin. Pour finir cette session acoustique, on a droit au seul titre de Try This que P!nk jouera lors de ses concerts, qui est une version de "Trouble" plus qu'enjouée. Sans gros instruments, avec deux guitares et ses choristes, elle nous fait redécouvrir la chanson, qui garde son punch originel et son côté fun. La foule scande le "I'm troube y'all", P!nk réussit son coup, une fois encore.

Suivront les hymnes joyeux qui feront taper du pied, et la foule se lèvera jusque dans les gradins pour un "U + Ur Hand" et un "So What", véritable pic de la soirée niveau ambiance festive. Certains n'étaient venus que pour cette dernière apparement, ah d'accord...
"Leave Me Alone (I'm Lonely)", un des titres phares de la dernière tournée, revient aussi pour le plus grand plaisir des oreilles. Seule une constipation aigue vous empêchera de vous lever de votre siège. Ca trépigne, ça saute, ça s'égosille en faisant de grands gestes: la force de rassemblement de P!nk avec ses hymnes pop est impossible à nier. Le talent de Max Martin, producteur de tous ses tubes énergiques, non plus. Un "Family Portrait" au piano finira de convaincre les plus réticents: oui, elle a de la voix, et oui, elle vous en fait plus que profiter. Peut-être un des moments les plus émouvants de ce concert, et un peu spécial pour l'artiste, qui ajoute, toute mignonne "Je pense que c'est à partir de ce titre là que vous avez commencé à m'aimer". Oh non ma belle, bien avant, bien avant...

S'en suit le moment phare de ce concert. Une performance de "Sober" qu'elle réalise en live et 'sans filet' au sens figuré du terme (heureusement!) et qui restera dans les mémoires pour beaucoup. En résumé: elle grimpe sur un trapèze, fait le cochon pendu et se balance à vingt mètres du sol, tout en scandant "Coming down, coming down, coming down", avant un final époustouflant où la musique s'arrête, le public retient son souffle, et elle se jette dans le vide, toujours en chantant (!), avant d'être rattrapée par un autre acrobate et de se balancer jusqu'à la fin. Vous pouvez ramasser votre machoîre inférieure, merci.

Les deux reprises qui feront suite à ce numéro incroyable, "Bohemian Rhapsody" (de Queen) et "Crazy" (de Gnarls Barkley), entrecoupées d'un "Funhouse" dansant et jouissif, mettront tout le monde d'accord, en étant repris en coeur durant de longues minutes. P!nk s'attaque à des classiques sans les écorcher et, crachons-le sans regret, envoie même Nelly Furtado au vestiaire avec le "Crazy" et son jeu de miroir. Le tout est parfaitement orchestré, chanté avec les tripes et avec la classe. Il n'y a eu quatre arrêts cardiaques dans la salle ce soir-là, rassurez-vous.

Pour l'Encore, P!nk revient, genre "Ah nan, je partais pas pour de vrai, c'était pour du semblant" et entonne un "Get the Party Started" qui résonné encore dans les murs de Bercy... avant de disparaître une nouvelle fois. On vous a parlé de la vidéo avec le compte à rebours? Non? Eh bien sachez qu'en cette fin de concert il y a une vidéo avec un compte à rebours, qui retrace tous les clips de P!nk et par la même occasion, scelle le sort de milliers de bienheureux qui auraient aimé que rien ne finisse jamais. Avec une grâce extra-terreste, la chanteuse repart comme elle est arrivée, s'envolant dans les airs et disparaissant par la grande trape d'ou elle était sortie avec surprise au début, après avoir mis des étoiles dans les yeux à 20 000 personnes en chantant "Glitter In The Air", qui n'avait peut-être pas l'air de grand chose dans l'album, mais qui vous arracherait presque une larme en concert. C'est la magie P!nk.
Pour résumer cette soirée exceptionelle et notre constat sur l'Americaine: P!nk est une artiste. P!nk partage, ouvre les bras et donne un truc insensé à son public, avec ce côté nature qu'elle n'a décidemment jamais perdu. Elle est drôle, humaine, touchante, joue avec la palette de vos émotions aussi facilement qu'un gamin qui assemble les Legos. Car oui, tout est facile pour P!nk; elle chante divinement bien - même en cochon pendu à 20m du sol - elle danse parfaitement, elle assure le show sans jamais aucune fausse note, et son plus grand talent: elle parvient à se faire adorer sans même qu'on ait eu l'impression qu'elle essayait de nous plaire. Un grand bravo à elle, et courez la voir. Là, maintenant, TOUT DE SUITE.

N.B. - Les photos ne sont pas les miennes, elles viennent d'ici.
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Krezip - Sweet goodbyes

Comme on est toujours super in chez Hall-Musique, on aime bien vous faire découvrir des groupes qui se séparent et qui n'ont donc presque plus d'actualité, hé oui, c'est du talent à l'état pur! Voilà donc Krezip et, sans le savoir, vous les aimez déjà.
Eux, c'est 6 Hollandais, 3 garçons et 3 filles, qui ont formé un groupe, comme ça, un jour, qui a bien marché chez nos voisins néerlandophones. Ca, c'était en 1997. Depuis, leur succès a perduré, et ils n'ont malheureusement pas pensé à changer de nom de groupe (roh, avouez que ça vous a aussi agressé l'oeil, ce k et ce z dans le même mot - un anagramme du mot "pêche" dans la langue de Dave, apparement). Au niveau de leurs inspirations, ils citent l'excellent groupe pop/rock belge K's Choice, qui s'est forgé une petite notoriété ces dernières années en plaçant plusieurs de leurs titres dans diverses séries américaines.

Mais comme toutes les bonnes choses ont une fin, les 6 comparses se séparent et entament donc bientôt une tournée d'adieu, portée par ce tout tout tout dernier single, intitulé "Sweet Goodbyes", qui cherche bien à jouer sur la corde sensible, mais on leur en veut pas.
Bon, ils sont censés faire du rock mais après avoir écouté 4-5 de leurs titres, rien de bien gueulard tout de même. On est sans conteste au rayon de la pop qui fait du bien aux oreilles, qui plus est quand c'est bien chanté. A découvrir dans leur discographie, les singles "I would stay", "I apologize" ou encore "All my life", l'avant dernier en date, tous plutôt sympas.

Sortez donc les mouchoirs, écoutez la jolie chanson et pleurez avec nous la mort de ce groupe que vous ne connaissiez sûrement pas il y a cinq minutes. Allez, tout va bien.


(oui, ils nous aident pas les gamins, ils refusent que leur vidéo soit intégrée sur un site!)

MySpace
Site officiel
(j'éspère que vous parlez néerlandais!)
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Non, Cyndi Lauper n'est pas morte.

Au rayon "j'ai plus de cinquante ans, mais je peux encore vous faire danser", on oublie souvent qu'il y en a d'autres que Madonna. Certes, il y eut Cher, pour un temps, avec son énorme tube "Believe", mais depuis, pas difficile de dire que l'américaine n'y "croit" plus. Ah ah. Et puisque Paula Abdul galère, Cyndi Lauper, l'année dernière, s'est imiscée dans cette catégorie un peu risquée car toujours à deux doigts d'être cheap et assez encombrée, qui est celle de la pop/dance.


Résultat: un album "Bring Ya To The Brink" nommé pour un Grammy Award dans la catégorie Dance, et déjà deux singles qui ont malheureusement floppé (rappelez-vous - ou découvrez - l'excellent "Into The NightLife"). Reste que l'interprète de "Time After Time" et "True Colors" a été saluée par les critiques et continue son petit bout de chemin en allant de club en club et en faisant coucou du haut d'un char lors de la Gay Pride de San Francisco. Elle fait ce qu'elle peut, hein.
Bref, reste qu'un 3e single semble prévu, même s'il n'y a pas encore eu de confirmation officielle (et qu'on attend donc toujours le clip). Voilà "Echo", petit tube, il faut le dire, qui tentera à son tour de se faire entendre hors des clubs échangistes et des radios dance anonymes. Et honnêtement, on y croit, parce que s'il y a une chose qu'on ne peut enlever à Cyndi, c'est sa voix, et c'est cette voix que tout le monde connaît qui distingue sa pop/dance enjouée de la masse des tubes unitaires de Cascada et consoeurs. Voilà, c'est dit.
Découvrez donc "Echo", qui vous restera indéniablement en tête, tête, tête, tête.


C'est Rihanna qui va être contente (ella, ella, eh, eh, eh)!
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mardi 10 mars 2009

# 22 | J-Music Session: Brèves Musicales vol. 2


Ces derniers temps, force est de constater qu'il n'y a pas beaucoup de sortie réellement intéressantes. C'est pour cette raison que j'ai décidé, à l'occasion de ce 21ème numéro de la J-Music Session, de proposer une petite série de news.

Nouvel album d'Ayumi Hamasaki pour le 25 Mars prochain.
Alors que "Rule/ Sparkle", le dernier single d'Ayumi Hamasaki, a pris la tête du classement singles de la semaine dernière; Avex TRAX a confirmé la sortie du nouvel de la chanteuse pour le 25 Mars 2009. Ce nouvel opus, nommé "NEXT LEVEL", sera composé de 14 titres et incluera les derniers singles de la chanteuse enfin presque...: en effet, "Mirrorcle World" et "Life" ne seront pas incluses. A noter que l'album sera disponible sous 4 éditions différentes: l'édition CD seul, l'édition CD + DVD, l'édition 2CD + DVD et enfin, une version USB. Reste à savoir si ce nouvel album va fonctionner... ben oui, il ne faut pas oublier que le dernier album original d'Ayu, "GUILTY", n'avait obtenu que la seconde place du classement ORICON (une première car tous les disques originaux de l'artiste avaient pris la tête du top).

Nouvel album d'Akino Arai pour Avril.
Pour ceux qui l'ignorent, Akino Arai est loin d'être une inconnue dans l'industrie musicale japonaise. En 2005, cette artiste talentueuse a même fêté ses 20 ans de carrière en sortant "Sora No Uta", une compilation qui incluait tout de même quelques inédits. 4 ans après la sortie de ce disque, Akino revient avec "Sora No Sphere", un nouvel album original composé de 13 titres. Et à l'occasion de cette sortie, l'artiste gâte ses fans francophones puisqu'elle viendra en France (pour la seconde fois) en Avril prochain pour une séance de dédicaces et deux concerts. Pour de plus amples informations au sujet de ces concerts mais aussi au sujet de l'artiste, je vous conseille ce site de référence: le site de Van (également auteur de l'excellent site francophone sur Rurutia).

Olivia, de retour avec "Sailing Free".
Beaucoup ont découvert l'artiste japonaise Oliva Lufkin par l'intermédiaire des génériques pour l'anime "NANA". Plus de mois après la sortie de "Trinka Trinka", un mini-album sorti en Septembre 2008, la chanteuse revient avec un nouveau single qui servira de thème pour un jeu vidéo. La chanson a pour nom "Sailing Free" et sera commercialisé le 15 Avril 2009 au Japon. Affaire à suivre.

Kumi Koda et Misono sont désespérées!
Terminons cette petite série de news sur une note joyeuse (enfin, façon de parler): à peine plus d'un mois après la sortie de "TRICK", Kumi Koda s'apprête à commercialiser le 31 Mars prochain, un nouveau single prénommé "It's All Love". Il s'agit par ailleurs d'un duo avec sa soeur Misono (connue pour être la chanteuse de Day After Tomorrow)... A vrai dire, cette collaboration ressemble plus à une tentative désespérée d'Avex pour relancer la carrière des deux soeurs: depuis la fin de l'aventure Day After Tomorrow, la carrière solo de Misono n'a jamais décollée. Quant à la carrière de Kumi, elle est sur la pente descendante... Pour découvrir le clip et la chanson en question, cliquez sur ce lien.
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[Clip] Emiliana Torrini - Jungle Drum

Vous n'avez pas supporté le visionnage de la dernière vidéo de The-Dream (cf. article posté hier)? Et bien, j'ai un clip pour vous: l'artiste? Emiliana Torrini. Souvenez-vous, je vous ai déjà parlé de cette chanteuse qui, à l'heure actuelle, est en tournée pour promouvoir son album actuel: l'excellent "Me & Armini". Aujourd'hui, je vous invite à découvrir le clip du troisième single promotionnel de l'album: il s'agit de "Jungle Drum", une piste relativement courte mais au combien charmante. En ce qui concerne le clip, rien à redire: c'est une réussite à tous les niveaux! N'attendez pas plus longtemps et cliquez sur l'un des deux liens ci-dessous:



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lundi 9 mars 2009

[Clip] The Dream feat. Mariah Carey - My Love

Le 12 Janvier 2009, j'avais présenté "My Love", le nouveau single de The-Dream (avec Mariah Carey en featuring). Et en cette journée du 9 Mars 2009, le clip officiel qui accompagne la chanson a fait son apparition. Et là, c'est le drame: en effet, Mariah Carey a eu la "judicieuse" idée de faire appel à son (parasite de) mari (vous savez Nick Cannon) pour réaliser ce clip. Résultat? Un ratage complet du début: c'est cheap, ennuyeux, Mariah Carey est absoluement ridicule (et qui plus est, laide)... bref, aucun élément positif à relever. Je vous laisse admirer le massacre...

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dimanche 8 mars 2009

Nous n'étions pas au concert, mais on va pas se gêner pour en parler.


C'était l'événement il y a 5 jours. Britney Spears lançait ce 3 Mars sa toute première tournée mondiale en 5 ans. The Circus Starring Britney Spears a débuté à la Nouvelle-Orléans, chez Britney (la chanteuse est née en Louisiane), et les fans ont répondu présents. Tout avait été dit, la tracklist avait été dévoilée la veille, tout comme les premières images des répétitions générales. Et autant dire que Mardi soir, la salle était en feu.

Après une première partie effectuée par nos copines Poupées Chattes (qui sont restées sur la scène centrale pendant un peu plus de 45 minutes, interprétant leur plus gros tubes), Britney entre en scène après 15 minutes d'attente durant lesquelles se sont succédées clowns, acrobates, jongleurs, tout pour immerger le public dans un concept qui tiendra ses promesses. Un peu trop peut-être.

Pendant 1h30, Britney et ses danseurs plongent le public dans un show grandiose. Un Cirque version 2009, avec des effets pyrotechniques à gogo, des écrans géants où l'on projette des vidéos réalisées pour l'occasion (comme celle d'introduction de Perez Hilton ou ce remix Britney Bitch/Break The Ice qui retrace la carrière vidéographique de Spears), un parapluie géant, une dose de sexe juste ce qu'il faut car c'est Britney Spears, des chorégraphies endiablées et de shits à la pelle. Seulement voilà, une fois le concert fini et l'euphorie des fans passé, les bémols pleuvent.

Le premier reproche évident que l'on peut faire à ce Circus Tour, c'est son playback. Britney ne chante pas une seule fois dans le micro, ou du moins pas que cela s'entende. Même si des versions pré-enregistrées en studio sont censées donner le change, personne n'est dupe. D'une part, ce n'est pas la première fois qu'elle utilise cette technique (et elle n'est, certes, pas la seule), comme lors de sa tournée promo où elle laissait à penser qu'elle chantait son Womanizer en live, mais une fois le show fini, la pop star avait beau parler dans son micro, aucun son ne se faisait entendre, de plus le tout sonne bien trop juste pour que l'on nous fasse croire que Britney a retrouvé sa justesse en l'espace 4 mois. Grillée, tel était le mot. 1h30 de play-back, cela peut sembler faire cher pour un billet payé pour certains à plus de 100€. Les plus avertis sauront cependant que Britney et le play-back ne font qu'un, la période où elle chantait durant ses concerts en live est pour le moment révolue, même si son manager a assuré que Britney pourrait prendre confiance au fur et à mesure des dates et par la même occasion, la pleine maîtrise de son micro.

Ensuite, le show en lui même qui se veut spectaculaire le serait même un peu trop selon certaines critiques. Les multiples changements de décors, de costumes, de tableaux, d'effets, les trois scènes, avaleraient totalement la présence de la star, Britney elle-même. Dur, dur quand on sait que la miss doit regagner la confiance de toute une profession pour retrouver son statut d'entertainer. Encore une fois, une critique qui n'est pas forcément légitime, le show étant complètement assuré, en tout cas du côté de la production. Car outre ce problème de lip-synching, c'est véritablement la performance de Britney qui est remise en cause.


On l'avait dite molle et sans énergie lors de sa période promotionnelle en Décembre dernier, et même si la Miss a retrouvé la forme, elle ne semble pas se donner autant qu'elle pourrait dans des chorégraphies qui parfois la servent très mal. On l'accuse de trop se balader sur une scène pas toujours évidente à mettre en scène et à remplir, et on lui reproche aussi de ne pas communiquer avec son public, si ce n'est pour leur souhaiter une bonne soirée et les remercier lors du final du show. On a cependant bien compris depuis quelques temps que Britney ne semble pas très à l'aise lorsqu'il s'agit d'être spontanée en public. Une confiance qu'elle doit regagner, et on espère que ce sera le cas lorsqu'elle aura assurée les presque 40 dates qui composent cette tournée.

Du côté du concert en lui même, le site officiel de Bwitny avait dévoilé la setlist du show 24 heures avant les festivités. Et oh malheur, les fans ont commencé a s'entailler de toutes parts. Oh mon Dieu, cette catin ne chantera pas Gimme More ? De quoi, de qui, de quand ? L'indignation se fait entendre... mais la guêpe n'est pas folle, et outre le fait d'avoir ressorti des chansons que personne ne connaît histoire de caser un tableau entier sur son statut de pop star semi érotico trash, elle avait assurait ses arrières. On fait danser les danseurs (eh eh) sur Gimme More, on ressort la pole dance sur une autre chanson, on chante Everytime (mais en playback, on se rappelle tous de ça, et on s'en contentera tous) pour qu'elle se repose sur son champignon géant (comment, c'est un parapluie ?)et on ressort les plus gros tubes. Le Circus Tour n'a cependant de Circus que son nom et son concept, on ne retrouve en effet que 3 titres (les trois singles) sur l'ensemble du concert contre 8 de Blackout. Déroutant, les connoisseurs ne s'en plaindront pas.

Oui Britney est là, mais Britney doit encore faire ses preuves. Une date parisienne devrait être prochainement annoncée si l'on en croit les rumeurs, mais force est de constater que l'évolution est assez impressionnante. On peut reprocher beaucoup de chose à Britney Spears, mais lorsque l'on se rappelle qu'à peine plus d'un an en arrière elle se retrouvait attachée de force dans une ambulance, on ne peut être que satisfait de la voir capable de tenir un show d'1h30.

On vous laisse chercher les premières vidéos, on ne voudrait pas tenter les autres (à 90% ceux qui attendent un DVD, en fait).
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[Clip] Enrique Iglesias feat. Sarah Connor - Takin' Back My Love

Au mois de Janvier 2009, j'avais brièvement parlé du duo entre Enrique Iglesias et Sarah Connor sur "Takin' Back My Love" (que vous connaissez tous puisqu'il s'agit à l'origine d'un duo entre le chanteur et Ciara), le second single du best-of du latin lover. Aujourd'hui, je vous invite à découvrir le clip officiel de la chanson: à vrai dire, il n'y a de grand changement par rapport à la première vidéo. En fait, le réalisateur de la vidéo a juste inclus les plans où l'on voit Sarah Connor... rien de plus (fait amusant, on aperçoit Ciara dans plusieurs scènes). Je vous laisse juger par vous-même; pour ce faire, cliquez sur l'un des deux liens ci-dessous!



ou cliquez ici

Pour rappel, cette version de "Takin' Back My Love" sort le 20 Mars 2009 en Allemagne.
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