Pour découvrir le clip en question, cliquez sur le lien ci-dessous:
samedi 21 novembre 2009
Clip | Elin Lanto • Love Made Me Stupid
Pour découvrir le clip en question, cliquez sur le lien ci-dessous:
C'est un retour qui va en réjouir plus d'un...
Le groupe américain mythique, source d'inspiration de tellement de groupes et artistes, Blondie, sera de retour, en 2010. Peu d'informations pour le moment, si ce n'est une première photo officielle et la confirmation qu'il s'agira bien d'un nouvel album. Il s'agira du premier album de Blondie depuis The Curse of Blondie, en 2003.
Pour ceux qui ne connaitraient pas (?!), Blondie c'est, pour les titres les plus connus :
Pour ceux qui ne connaitraient pas (?!), Blondie c'est, pour les titres les plus connus :
Clip | Paloma Faith • Do You Want the Truth or Something Beautiful?
Aujourd'hui, je vous invite à découvrir la vidéo officielle de ce single (qui est toujours programmé pour le 20 Décembre 2009 en Angleterre). Le moins que l'on puisse dire, c'est que cette vidéo est très soignée et que Paloma Faith est bien mise en valeur. De plus, le caractère un peu sombre qui se dégage de la chanson est également présent au travers de cette vidéo (cf. la fin).
Sans plus attendre, cliquez sur le lien ci-dessous:
Newton Faulkner is Over And Out
Clip | Janet Jackson • Make Me

Aujourd'hui, c'est le moment de vous montrer le nouveau clip de Janet Jackson pour la promotion de son best-of, sobrement intitulé The Best et sortant dans les bacs lundi. Parmi les 2 inédits de ces 2 galettes, se trouve le nouveau single de la belle, il s'agit de Make Me.
En soit, le clip de ce dernier est assez basique, une choré avec ses amis danseurs, le tout en noir et blanc, dans un décor futuriste. Oui mais voilà, en plus de faire allusion à son frère avec ses petits "Don't stop 'til you get enough" dans les paroles, ce clip nous rappelle également plus ou moins l'univers de celui de Scream, avec son frère également. Le clip est à visionner juste en dessous.
En soit, le clip de ce dernier est assez basique, une choré avec ses amis danseurs, le tout en noir et blanc, dans un décor futuriste. Oui mais voilà, en plus de faire allusion à son frère avec ses petits "Don't stop 'til you get enough" dans les paroles, ce clip nous rappelle également plus ou moins l'univers de celui de Scream, avec son frère également. Le clip est à visionner juste en dessous.
vendredi 20 novembre 2009
Robin Thicke continue à se prendre pour un beau gosse...

... dans son nouveau clip, Sex Therapy. Après une pochette un peu prétentieuse, le premier single, Sex Therapy, de son nouvel album du même nom, bénéficie maintenant de sa vidéo. On y retrouve un Robin Thicke qui se fait tripoter par une série de jolies filles. Seul hic, son physique. Il n'a vraiment pas la tête de l'emploi pour se permettre ce type de vidéo, à mon humble avis. Mais passons, puisque la chanson est bonne. Le quatrième opus du chanteur est attendu pour le 15 décembre prochain.
Clip | The Golden Filter • Thunderbird
Il y a moins de deux mois, je vous ai parlé du nouveau single de The Golden Filter à savoir Thunderbird (single disponible depuis le 16 Novembre 2009). Aujourd'hui, je vous invite à découvrir la vidéo officielle qui accompagne cette chanson (il était temps n'est-ce pas?): au même titre que la vidéo de Solid Gold, la vidéo de Thunderbird est plutôt intéressante car elle colle assez bien aux paroles et elle est très soignée.
Pour découvrir cette vidéo, cliquez sur le lien suivant:
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On ne vous l'a pas (encore) dit...
Source: Blog Officiel de Dannii Minogue et Amazon UK
jeudi 19 novembre 2009
Découvrez le duo Annie Lennox - David Gray • Full Steam
Elle est une des plus grandes dames de la musique pop. Elle est une source d'inspiration, un mythe, une évidence pour beaucoup, et j'en suis. Il est un artiste anglais au succès tant commercial que critique, chanteur et compositeur.
Elle s'appelle Annie Lennox, il s'appelle David Gray et tous les deux nous offrent aujourd'hui un duo tout en simplicité et en sincérité. Le titre, Full Steam, sera commercialisé le 23 novembre au Royaume-Uni, au profit de l'association Children in need.
Le clip, visible depuis quelques heures, est à l'image du titre : simple et sincère. On adhère à 100% et on applaudit l'implication d'Annie dans de nombreuses causes (souvenons-nous de son titre Sing, par exemple). Le titre est également issu du dernier album en date de David : Draw the line.
Elle s'appelle Annie Lennox, il s'appelle David Gray et tous les deux nous offrent aujourd'hui un duo tout en simplicité et en sincérité. Le titre, Full Steam, sera commercialisé le 23 novembre au Royaume-Uni, au profit de l'association Children in need.
Le clip, visible depuis quelques heures, est à l'image du titre : simple et sincère. On adhère à 100% et on applaudit l'implication d'Annie dans de nombreuses causes (souvenons-nous de son titre Sing, par exemple). Le titre est également issu du dernier album en date de David : Draw the line.
Merci à Dimitri
Le conseil du jour, par Leighton Meester
Non, on ne peut pas tout porter sans avoir l'air ridicule.
Non, on ne peut pas dire que plus c'est original, plus c'est esthétique.
Non, on ne peut pas dire que plus c'est original, plus c'est esthétique.
Remix de la semaine • Plastiscines - Barcelona (Lifelike Remix)

Oui, vous avez bien lu, nous vous parlons de ce groupe de jeunes filles que l'on comparait souvent aux Naast, BB Brunes, au féminin, les Plastiscines. Pourtant, malgré le faible (voir inexistant) talent de ces jeunes demoiselles, leur nouveau single, Barcelona, possède un remix de qualité. Là où l'originale valse avec le rock de teenager, le remix de Lifelike est un condensé de fraicheur house comme on les aime, avec ce petit côté estival qui vous fera presque regretter les baisses de température. 4 minutes survolées de la voix de Katty, finalement pas si désagréable sous cet angle là. Le remix est disponible sur un vynil de remixes et sur les plateformes de téléchargement, aux côtés de ceux de Chew Lips, Headman, et Eat Electric, tous relativement sympathique, mais moins percutant que celui du producteur français. A noter également, de Lifelike, un remix assez récent pour le duo Empire of the Sun, toujours dans le même style.
Clip | Angie Stone • I Ain't Hearin' U
Aujourd'hui, je vous invite à découvrir le clip officiel de I Ain't Hearin' U, le premier single promotionnel issu de ce même opus. Qu'on se le dise, cette vidéo n'a absolument rien d'extraordinaire: Angie Stone s'éclate en boîte de nuit jusqu'au moment où son mec se fait draguer par une femme qui... surprise, s'avère être une amie. Autre regret, la chanteuse n'est pas toujours mise en valeur (cf. la tenue violette).
Pour découvrir la vidéo, cliquez sur le lien ci-dessous:
Will Young : son premier best-of, The Hits
En Angleterre, le pionnier, c'est Will Young. Et quand le petit prodige anglais, qui nous a déjà montré l'étendue de son talent avec ses albums studio (exception faîte du premier, album d'un sortant de télécrochet oblige) sort son premier best of, The Hits, ça ne peut être que du bon. Alors évidemment, il n'y a pas de surprises, lorsque l'on connait la discographie de Will, exception faîte des deux inédits, Hopes and fears (présenté en long, en large, et en travers, en nos pages) et If it hadn't been for love. L'intérêt est en revanche grand, pour quelqu'un qui n'aurait jamais accordé de temps au petit prodige de la pop britannique. Que ce soit avec un Switch it one endiablé (peut être mon single préféré), un All time love poignant, un Friday's child particulièrement mélodieux, un délicieux Who am I, ou le très connu Leave right now, les tubes ne manquent pas dans ce best of qui, fait assez rare pour être souligné, mérite son titre : The Hits.
Alors on espère évidemment que malgré le revers commercial essuyé par son dernier album, Will parviendra à prouver que son inspiration ne s'est pas éteinte et que ce best-of n'est que la dernière page.. d'un chapitre. Avant d'ouvrir le nouveau, annoncé comme étant plus dance que les précédents. Ça peut faire peur, mais on lui fait confiance.
Un best-of à conseiller à tout amateur de pop, à l'approche de Noël. En version CD + DVD, surtout, la vidéographie de l'artiste étant aussi fournie et inspirée que sa musique.
Vampire Weekend | Cousins
Suivant le morceau (buzz ?) Horchata, Cousins aura donc la tâche de servir de vrai (!) lead single et d'inciter la populasse à acheter l'opus. Pas bien difficile, me direz-vous, sachant le gros coup réalisé par ces étudiants new yorkais (Université de Columbia, S'IL VOUS PLAIT) en se faisant connaître sur la blogosphère.
Cliquez ici pour écouter 'Cousins'.
Vous aussi ça vous donne envie d'envoyer tout valser, de vous lever bruyamment de votre chaise, de gigoter dans tous les sens et se moquer des regards qui pourraient se poser sur vous (car oui, il y en aura, mes amis) ? C'est normal. Ou sinon, dans le genre moins excité, il vous reste encore Horchata :
Un bémol s'impose néanmoins peut-être : le côté graphique cheap passait pour le debut album, là va pas falloir que ça devienne une marque de fabrique, hein les gars !
Enfin, pour les gens à la bourre (car oui, là aussi, il y en a toujours ^^) :
Mansard Roof
A-Punk
Oxford Comma
Cape Cod Kwassa Kwassa
La chanson du jour • Adam Lambert - Music Again
On a ri de la pochette de son album, c'est vrai. On aime bien rire de son personnage pseudo-glamour, mais qui lorgne souvent plus du côté de Bill Kaulitz meets Yvette Horner que de James Dean, avouons-le également. Mais nous ne sommes pas de mauvaise foi (une contradiction dans l'assistance ? Bien, très bien), et après plusieurs écoutes du premier album d'Adam Lambert, force est de constater que... oui, son travail est sympathique. Vraiment.
On va mettre de côté les nombreux effets d'annonces dont a bénéficié (mais est-ce vraiment un bénéfice) l'album, avec un style qui se rapprochait d'un Queen modernisé (nous parlons bien du groupe de légende, pas du club - de légende aussi, mais différemment), dans leur période "opéra-rock". Si parfois l'album flirte plus avec l'Opéra Rock façon Mozart-2009 qu'avec les œuvres du groupe précédemment cité, il regorge surtout d'un certain nombre de tubes évidents qui valent le détour, pour tout amateur d'une pop facile et décomplexée. Certains qui ont un petit côté kitsch assumé (en phase avec la pochette, ceci dit), d'autres qui sont juste des tubes en puissance. Nous ferons une critique de l'album, mais nous vous en livrons déjà un coup de cœur : Music Again.
Il va sans dire que s'il ne lance pas ce single mondialement, nous serons très fâchés. Tout rouge ! Ça fait un peu (UN PEU) penser à du Queen, et ça fait coucou à Mika, en passant. On regrettera juste l'absence d'une vraie explosion, un vrai refrain bien démentiel, en fait.
On va mettre de côté les nombreux effets d'annonces dont a bénéficié (mais est-ce vraiment un bénéfice) l'album, avec un style qui se rapprochait d'un Queen modernisé (nous parlons bien du groupe de légende, pas du club - de légende aussi, mais différemment), dans leur période "opéra-rock". Si parfois l'album flirte plus avec l'Opéra Rock façon Mozart-2009 qu'avec les œuvres du groupe précédemment cité, il regorge surtout d'un certain nombre de tubes évidents qui valent le détour, pour tout amateur d'une pop facile et décomplexée. Certains qui ont un petit côté kitsch assumé (en phase avec la pochette, ceci dit), d'autres qui sont juste des tubes en puissance. Nous ferons une critique de l'album, mais nous vous en livrons déjà un coup de cœur : Music Again.
Il va sans dire que s'il ne lance pas ce single mondialement, nous serons très fâchés. Tout rouge ! Ça fait un peu (UN PEU) penser à du Queen, et ça fait coucou à Mika, en passant. On regrettera juste l'absence d'une vraie explosion, un vrai refrain bien démentiel, en fait.
Et comme nous sommes généreux (et que nous avons LONGUEMENT hésité entre les deux titres), nous vous proposons aussi If I had you, un autre titre au potentiel tubesque, issu de son album. Beaucoup moins inspiré par les années 80 cette fois, beaucoup plus facile, peut-être. Mais sympaaaaa.
mercredi 18 novembre 2009
# 56 | J-Music Session • JUJU - Present
Aujourd'hui, je vous présente le single hivernal de JUJU, une artiste R&B qui a démarré sa carrière musicale en 2004 (les fans de Delta Goodrem se souviennent peut-être d'elle: en effet, les deux artistes ont enregistrés ensemble la chanson Live! Together). Après un début discret, les choses s'accélèrent à partir de 2007 pour l'artiste puisque ses disques commencent à obtenir un succès raisonnable.
Donc, après le petit succès rencontré par Ashita ga Kuru Nara (son précédent single), la chanteuse revient donc avec Present, une ballade hivernale qui est également utilisée en tant que générique du dernier film de Disney, A Christmas Carol (pour rappel, il s'agit d'une adaptation du célèbre roman de Charles Dickens). Honnêtement, cette chanson n'est pas trop mauvaise mais j'avoue que j'ai une nette préférence pour les précédents travaux de l'artiste. En revanche, le clip n'est guère intéressant: il est ennuyeux à souhait et surtout, pleins de bons sentiments. Pour ne rien arranger, JUJU n'apparaît qu'à la fin du clip... pendant quelques secondes. Reste à savoir si cette chanson marchera au moment de sa sortie à savoir le 25 Novembre 2009.
Pour clôturer cet article, voici le clip de Present:
En bonus, je vous offre un live tout récent de cette chanson:
A la semaine prochaine!
Temporary home, le nouveau single de Carrie Underwood

Après le succès de Cowboy Casanova, #11 dans le Hot 100 américain et #1 country, Carrie Underwood lancera officiellement son second single en décembre. Le slow Temporary home, qui sera envoyé aux radios 10 jours avant Noël, comme confirmé par AllAcess, est le titre choisi pour continuer la longue lignée de tubes country établis par la 4e gagnante d'American Idol, qui reste avec Kelly Clarkson, Daughtry & Jordin Sparks l'une des rares artistes issus du show à avoir survécu au monde musical après plusieurs albums. Le dit album, Play on, a débuté en tête des charts américains la semaine dernière, certifiant la continuité du succès de la chanteuse country.
Concernant ce second single, que dire si ce n'est que c'est une ballade assez typique de la discographie de Carrie, à grands renforts de violons et interprétation émotive, et qu'il rappelle, de par son thème, notre petit favori en 2005, Don't forget to remember me, sans atteindre la magie innocente de ce dernier. Pour en savoir un peu plus sur le titre, vous pouvez toujours écouter Carrie elle-même, dans cette petite interview, qui explique comment la chanson lui est venue (car c'est apparemment elle qui l'a écrite) et ce qu'elle signifie. Ou sinon, simplement découvrir ce nouveau titre juste après cet article.
On l'aime bien Carrie, et on aime bien ce single, et on aime bien sa discographie, mais parfois, on aimerait quand même la secouer et la faire sortir des chemins tout tracés qui semblent l'attendre, et qui la coincent dans la case "country", lui faire résolument prendre des risques, en résumé. Allez Carrie, joue-la nous Shania, juste une fois, et sors-nous ton "Man! I feel like a woman".
Concernant ce second single, que dire si ce n'est que c'est une ballade assez typique de la discographie de Carrie, à grands renforts de violons et interprétation émotive, et qu'il rappelle, de par son thème, notre petit favori en 2005, Don't forget to remember me, sans atteindre la magie innocente de ce dernier. Pour en savoir un peu plus sur le titre, vous pouvez toujours écouter Carrie elle-même, dans cette petite interview, qui explique comment la chanson lui est venue (car c'est apparemment elle qui l'a écrite) et ce qu'elle signifie. Ou sinon, simplement découvrir ce nouveau titre juste après cet article.
On l'aime bien Carrie, et on aime bien ce single, et on aime bien sa discographie, mais parfois, on aimerait quand même la secouer et la faire sortir des chemins tout tracés qui semblent l'attendre, et qui la coincent dans la case "country", lui faire résolument prendre des risques, en résumé. Allez Carrie, joue-la nous Shania, juste une fois, et sors-nous ton "Man! I feel like a woman".
La suggestion ? KCAT • Boys don't cry

Quand on lit sur son MySpace que KCAT (à prononcer "cat") est un nom qui sera bientôt sur toutes les lèvres et qu'on regarde la photo qui accompagne ce petit texte de présentation, honnêtement, y'a un léger malaise, accompagné d'une sorte de sous-entendu x-rated auquel on a pas envie de penser. Mais la jeune fille a bien sûr plus d'un tour dans son soutif léopard (Cheryl Cole a appelé, merci d'avoir retrouvé le haut de sa tenue!), et on vous avoue, on a un peu choisi la photo volontairement - en même temps c'était ça où voir la pauvre s'extasier sur une sucette multicolore (non, non, on ne plaisante pas!).
Tout ça pour vous dire que KCAT est une jeune femme originaire des Philippines mais élevée à Londres, et qui maitrise donc la langue de Shakespeare. Non contente d'avoir réussi à faire parler d'elle dans quelques pays - isolés, on va pas vous mentir - d'Asie, elle décide aujourd'hui de lancer son premier single solo, à elle toute seule, comme une grande. Ca s'appelle Boys don't cry et on aime beaucoup, même si 1) elle a sûrement volé l'instru à Goldfrapp et 2) NON MAIS ELLE A VOLE L'INSTRU A GOLDFRAPP. Ca ressemble étrangement à un Ooh la la, c'est évident, même si le refrain chercher un peu à s'en éloigner. On lui jette pas la pierre (ou alors un petit caillou, allez) puisque c'est plutôt efficace et que ce n'est pas la première (Kylie devrait réclamer des droits à Ke$ha pour l'instru de In my arms), mais on attend un peu plus d'elle pour un premier single, surtout que le marché féminin électro-pop est un peu bouché actuellement. Un long extrait du titre, en attendant d'en avoir l'intégralité, est à écouter ci-dessous.
Tout ça pour vous dire que KCAT est une jeune femme originaire des Philippines mais élevée à Londres, et qui maitrise donc la langue de Shakespeare. Non contente d'avoir réussi à faire parler d'elle dans quelques pays - isolés, on va pas vous mentir - d'Asie, elle décide aujourd'hui de lancer son premier single solo, à elle toute seule, comme une grande. Ca s'appelle Boys don't cry et on aime beaucoup, même si 1) elle a sûrement volé l'instru à Goldfrapp et 2) NON MAIS ELLE A VOLE L'INSTRU A GOLDFRAPP. Ca ressemble étrangement à un Ooh la la, c'est évident, même si le refrain chercher un peu à s'en éloigner. On lui jette pas la pierre (ou alors un petit caillou, allez) puisque c'est plutôt efficace et que ce n'est pas la première (Kylie devrait réclamer des droits à Ke$ha pour l'instru de In my arms), mais on attend un peu plus d'elle pour un premier single, surtout que le marché féminin électro-pop est un peu bouché actuellement. Un long extrait du titre, en attendant d'en avoir l'intégralité, est à écouter ci-dessous.
Critique • Lady Gaga - The Fame : Monster

Lady Gaga, on ne la présente plus, c'est sans hésitation aucune la révélation mondiale de cette année 2009 (d'aucuns diront qu'on avait déjà bien entendu parler d'elle en 2008 et ils auront raison - mais passons). Après un premier album nommé The Fame, qui a enchaîné les tubes énormes (Just dance, Poker face, LoveGame, Paparazzi surtout), la jeune artiste annonçait il y a quelques mois à grands coups de buzz bien placés que cette première galette aurait droit à une réédition à l'automne 2009. Dès lors, la planète pop était un peu comme un oisillon lâché dans son nid: le gosier grand ouvert, poussant de petits cris, elle attendait plus qu'impatiemment qu'on vienne la goinfrer de ce disque pop qui allait la repaitre pendant un bon moment. On s'attendait à quelques titres en plus, un gros tube disons et puis deux-trois accessoires, des b-sides, comme ça pour faire joli. Que nenni. La nouvelle prêtresse de la pop nous lâche avec The Fame : Monster pas moins de huit titres, et le moins que l'on puisse c'est qu'aucun n'a l'air bâclé. Petite critique titre par titre.
Bad romance
S'ouvrant avec ses envolées presque lyriques, ce premier single issu de la réédition a déjà fait baver plus d'un amateur de pop sur le globe. Reprenant avec succès les gimmicks désormais typiques de Gaga - répétitions de mots à foison, bruits étranges, son mélangeant pop et électro, esprit déjanté et paroles un brin provoc' - le titre s'annonce presque comme un Poker Face 2.0, version améliorée. Les fameuses envolées qui concluent les refrains semblent rappeler le middle 8 de Viva la vida, et le dit refrain, presqu'aussi puissant qu'un "Can't read my, can't read my !", quand même moins répétitif, épate. Le titre fait surtout, et pour la première fois, la part belle à la voix de Lady Gaga, elle qui auparavant se cachait davantage derrière des instrumentations tubesques. Le gros point fort: le middle 8 (la partie juste après le second refrain), avec sa phrase en français pour ajouter au glamour du tout, et la reprise de Gaga avec ses "WANT YOUR BAD ROMANCE" quasi enragés qui donnent toute sa puissance à la chanson. Un concentré de tube.
Alejandro
Le titre, avec ses violons en introduction et ses rythmes lascifs (un peu à la Gabriel de Najoua Belyzel, non ?), paraît direct plus exotique, moins cliché Gaga. Si on ajoute à ça tous les prénoms masculins latinos dont la chanteuse nous fait part dans le refrain, on est définitivement plus aux Etats-Unis, mais bien dans un son plus européen, et on a presque envie de dire europop, synthé puissant à l'appui. Dans l'esprit, ça nous rappelle le superbe "Cool" de Gwen Stefani, qui pronait l'évasion musicale (en Italie, dans le clip) avec un côté presque retro, presque décalé. C'est un peu la même histoire ici. Même si le refrain n'a pas l'efficacité naïve des précédents tubes de Gaga, on ne peut s'empêcher d'avoir envie de remuer les hanches au son des "Ale-ale-alejandro" - on imagine bien Shakira nous faire sa greluche en chaleur au rythme latin de ces répétitions. Une imagination débordante, on sait.
Monster
Direct, on peut s'attarder un peu plus sur le titre, si l'on prend en considération qu'il a donné son nom à la réédition / nouvel album / EP de Lady Gaga. C'est le thème surtout ici qui nous interpelle: la chanteuse parlait avec ces nouveaux titres de laisser tomber les paillettes et les néons de The Fame pour en aborder les traits plus sombres, les travers, - ce que Monster parvient à faire avec brio. Porté par la phrase génialissime "He ate my heart", le titre part dans une dépiction monstrueuse (justement), difforme, d'un amour métaphorique. Au niveau du son, l'intro nous redonne quelques notes très "Just dance", qu'on retrouvera dans le middle 8 (texto!). C'est plus posé, moins "boom boom" dira-t-on, mais ça reste addictif. Moins tubesque, peut-être, mais l'instru électro light est excellente et ça a le mérite de surprendre davantage qu'un Bad romance qui, aussi puissant soit-il, rentrait davantage dans les cordes d'une Gaga déjà rodée.
Speechless
C'est le titre le plus doux de The Fame: Monster, on préfère vous le dire de suite. Bon nombre critiqueront le manque peut-être d'efficacité du titre sur le dancefloor, nous on salue surtout le fait que Lady Gaga ne soit pas unidimensionnelle. Faire des tubes up-tempo, c'est pas mal, mais s'enfermer dedans, c'est moins bien. Gaga échappe donc à la chappe de plomb nommée 'chanteuse dancefloor' (on a déjà Cascada pour ça, merci) avec Speechless, apparement dédié à son père. Pour comparer avec un des titres de The Fame, c'est évidemment un Brown Eyes bis. En mieux on a envie de dire, encore une fois. Au piano, laissant sa voix d'épanouir bien plus que sur le reste des nouveaux titres, on sent même des pointes très Christina Aguilera dans les ponts et le final assez touchant. Et pourquoi pas, imaginer Speechless figurer sur le propre Stripped de Lady Gaga. Plus d'émotion et moins de fioritures, c'est la recette de ce titre. Single déjà annoncé, on éspère que Gaga transformera l'essai avec son premier vrai slow.
Dance in the dark
Bon, deux mots: UN TUBE. Encore un. C'est peut-être la chanson la plus sombre de cette réédition. En accord avec le titre, ça tombe bien. Parce qu'on y est clairement, dans le "dark", et ce dès les premières notes, graves, de "Dance in the dark". Bruits étranges, comme électriques, et atmosphère glauque, on imagine très bien un clip dans un asile psychiatrique (avec ce "d-d-d-d-de" en gimmick). Les paroles s'accordent avec la musique dans ce qui parait déjà être un single obligé. C'est moderne, clairement efficace au possible, avec un refrain qui frappe comme l'éclair (ouep, on est assez fiers de cette métaphore) et qui garde même certains accents gothiques. Le presque rap du middle 8 semble hanter la musique quasi atmosphérique de ce plaisir nocturne. C'est comme un mini-film fantastique en musique: refrain qui arrive comme le tueur arriverait derrière une porte, surprenant et frappant, mais avec ce sentiment d'horreur joussif en bonus. On surkiffe, et on danse jusqu'à la dernière note.
Telephone (ft. Beyoncé)
C'est le prochain single. Beyoncé est en featuring, Darkchild à la production. BON C'EST UN TUBE. Oui, lui aussi. Ca ressemble moins à ce qu'on attendait de ce nouvel album, c'est moins sombre, peut-être un peu en retrait niveau attitude par rapport au reste de The Fame: Monster mais ô comme c'est un tube en puissance. Addition ou pas de Beyoncé la princesse du r'n'b à un titre de la nouvelle princesse de la pop, ce titre avait tout pour fonctionner. Entre le début qui laisse attendre une ballade et les bruits de téléphone qui ponctuent le titre, on ne sait plus où donner de la tête quand tout s'accélère. Il n'y a aucun doute sur le futur succès de cette chanson, sans compter son thème un peu simplet on avoue, qui devrait séduire les teenagers américains. Répétitions à foison, une fois encore, et chassé-croisé avec Bee quasi mythique entre 1:50 et 2:05 qui nous a retourné le cerveau, on ne peut pas jeter la pierre sur le titre, même s'il y a un peu de trop de volonté de faire un tube et pas assez de réelle innovation. On pardonne, avec plaisir. Maintenant STOP TELEPHONING ME. Merci.
So happy I could die
Un mid-tempo plutôt quelconque, c'est ce qu'une écoute rapide pourrait faire croire. Mais outre les "hééé-hé / hééé-ha" qui donnent le sel nécessaire à la chanson, les couplets et surtout cette instru laisse pantois. Le refrain, au contraire d'un Bad romance ou d'un Dance in the dark, surprend lorsqu'au lieu de passer au niveau supérieur, il baisse d'un ton sans explosion aucune. Ce n'est pas mauvais, juste surprenant. C'est typiquement la chanson qu'on appelle "chill-out": assis dans un bar, un verre de champagne à la main (comme elle le décrit dans le refrain, d'ailleurs), on se laisse aller au sentiment positif de la chanson, qui rappelle les bons moments de fête sans cris et "YEAAAH" d'aucune sorte. Ca manquera à certains, pas à nous. Loin d'être le titre qui ressort le plus de cette nouvelle salve de tubes, So happy I could die est un peu le moment où Gaga reprend sa respiration dans cet enchaînement de perles dancefloor. C'était sûrement nécessaire.
Teeth
Un côté acoustique, plus bizarre, ressort du titre, dès le début. C'est résolument le titre le plus "différent" de The Fame: Monster. Sans laisser tomber la monstruosité, le titre laisse plutôt la place à une Lady Gaga plus créative et provocatrice que jamais. "I just want your sex", clame-t-elle, non sans ponctuer chacune de ses phrases d'un petit commentaire sexy. C'est presque cabaret, en fait, le genre de titre où elle peut onduler des hanches ou faire le grand écart sur une chaise tandis que l'orchestre se laisse aller en trompettes et saxophones et que le public l'acclame en tapant des mains. On a lu quelque part que ça ressemblait à du KT Tunstall. Ce n'est pas tout à fait vrai. C'est KT Tunstall, oui, mais bourrée. Perso, si c'est toujours comme ça, non seulement on lui montre nos dents, pour lui faire plaisir, mais on lui paye une nouvelle tournée, bah oui. Evidemment, ce n'est pas assez mainstream pour cartonner, mais ça donne avant tout un aperçu assez sympa de la palette de talents et de styles de Gaga.
Pour conclure, The Fame: Monster est un mini-album qui n'aura résolument de mini que le nom. Ce sont de GROS sons, de GROS textes pleins de sous-entendus et d'image crados et provocs qui en raviront plus d'un. Ca sonne un peu comme le pamphlet enragé et "pam dans ta gueule" d'une fille qui semble avoir beaucoup de choses à dire - et qui semble nous prouver qu'il y a beaucoup de façons différents de le faire. On en a eu des albums avec deux-trois tubes et 12 b-sides. Lady Gaga innove, avec l'album de huit titres et huit tubes, huit créations qui, si elles varient en efficacité et en puissance, semblent toutes être le résultat d'un mélange assez détonnant, presque ... magique, non ? On comprend mieux pourquoi certains de ses fans l'appelent déjà Lady GodGa - il y a définitivement quelque chose de divin et puissant chez cette fille.
On garde : Tout.
On jette : Rien, vous êtes fous ?

Le nouveau single d'Amy McDonald s'appellerait...
DON’T TELL ME THAT IT'S OVER
(Sortie UK : 1er mars 2009)
(Sortie UK : 1er mars 2009)
Notez l'emploi du conditionnel, l'information n'étant pas encore confirmée de façon officielle. Mais on mène notre enquête !
En attendant, moi, je vais allumer des cierges, pour lui éviter le syndrome du second album qui est un flop.
En attendant, moi, je vais allumer des cierges, pour lui éviter le syndrome du second album qui est un flop.
Du nouveau pour Goldfrapp...
- La réalisation de l'album devrait être finie après Noël
- Ils sont actuellement en pleine élaboration du photoshoot
- Et ils réfléchissent à propos de la personne qui réalisera le nouveau clip
- Aussi, leur site officiel sera remodelé (c'est important)
Plus d'informations à venir, sur Hall-Musique.
Le lancement du nouveau Rihanna ? Hall-Musique y était !

Le lancement exclusif du nouvel album de Rihanna, Rated R, c'était hier, à Londres. Et forcément, quand NokiaMusic nous a contactés pour faire partie de l'évènement, nous, on a foncé. Stéphane, notre reporter de chic et de choc (!) y était. Retour sur un évènement particulièrement attendu.

Une fois arrivés devant la salle vers 19h30, on nous demande de ne pas faire de photos avec flash et on nous oblige à jeter nos chewing gums à l'entrée de la salle. Un mètre après la porte d'entrée, je suis surpris par le nombre de télévisions du monde entier autour de nous en train d'interviewer des fans. Une énorme affiche de Rihanna nous accueille dans le hall de la salle. Les écrans sont branchés sur les twitters de la Team Rihanna avec plein de messages de fans et les DJs Chase & Status nous font patienter en mixant de la jungle, drum n base... On peut déjà observer la scène remplie de mannequins nus et de télés style 70's. La salle n'est pas remplie, les fans sont devant et autour de moi je me rends vite compte qu'il y n'y a pas d'adolescents. Assez étrange quand on voit que les cours d'écoles sont infestées de fans de la belle.
Peu après 20h, the wait is finally over, et Rihanna apparait sur le devant de la scène sous les cris de fans en délire. Je reste bouche-bée en voyant ses habits de poufiasse made in Cheunelll (Chanel quoi). Le problème c'est qu'autant sur certaines ce serait sexy, autant sur elle, combiné à ce qu'elle propose, c'est juste moche. Elle ouvre son concert par des nouvelles chansons. Je suis surpris par le côté sombre qui se dégage de celles-ci. On aime Rihanna pour ses tubes efficaces au possible qui nous permettent de nous déhancher en boîte, c'est pour cela que je reste un peu surpris par ce changement de registre. Le son était très fort mais sa voix était largement présente et j'avoue avoir été surpris par sa justesse à part quelques couacs ici ou là. Les premiers mots de la belle confirmeront que Rihanna est avant tout un produit commercial. "NOKIA" ... euh non Rihanna ici c'est Londres !
Son statut de superstar est justifiée par l'enchainement de ses tubes repris en chœur par toute la salle. Musicalement parlant, ca envoie, vocalement ca passe, mais voilà, c'est tout. Elle ne dégage pas grand chose, sa scène est vide, ses chorés sont inexistantes et du coup, l'ambiance retombe trop vite. Le problème de Rihanna c'est qu'on la compare forcement à Beyoncé. La comparaison ne devrait pas avoir lieu d'être car au final, dans le Rn'B, elles proposent chacune quelque chose de différent mais on ne peut pas s'en empêcher et moi le premier, d'autant que la veille, Beyoncé donnait une leçon aux londoniens au O2 dans le cadre de sa tournée mondiale. Résultat, on reste sur sa faim car niveau scénique ce que propose Rihanna est beaucoup trop pauvre. C'est dommage car ses derniers tubes sont d'une efficacité remarquable. Sa version 3/4 acoustique de Disturbia était certes jolie mais dans un concert comme celui-ci, on veut qu'elle envoie et c'est ce qu'elle a peiné à faire selon moi. JayZ en l'espace d'une moitié de chanson a réussi à faire retourner la salle. Pour conclure sur sa prestation, je l'ai trouvé globalement correcte avec comme plus gros problème son manque de chorégraphies. Ses nouvelles chansons n'ont rien à voir avec les tubes qui l'ont faite régner sur le monde ces trois dernières années. La démarche est certes audacieuse mais le succès sera-t-il au rendez-vous ? En attendant j'ai passé une bonne soirée, je n'y retournerai pas mais je ne regrette pas pour autant d'avoir fait face au phénomène Rihanna !
Note : Il faudra penser à dire aux fans d'arrêter d'ouvrir leur parapluie sur Umbrella, c'est tellement pas 2009 !
mardi 17 novembre 2009
Video | The Saturdays • Ego

A grand renfort d’effets spéciaux, de Wonderbra et décor placo, The Saturdays vont tenter de redresser la barre. Pour ce deuxième single Ego, Fascination la maison de disque du groupe a mis le paquet niveau production et les filles côté look. Au placard les grises mines et l’ambiance automnale de Forever Is Over, le Girl Power -illustré ici de façon ultra kitsch- c’est l’avenir.
Au sommaire, cinq héroïnes davantage Super C aka Ciara de Fantasy Ride que X-Men. Cinq SuperGirls qui apparement ne sont pas sensibles au froid, body très léger à l’appui. Una, l’irlandaise, met le feu auslip clip : autour de la première minute, on fond. Sans hésitation, le meilleur projet dans leur vidéographie.
Au sommaire, cinq héroïnes davantage Super C aka Ciara de Fantasy Ride que X-Men. Cinq SuperGirls qui apparement ne sont pas sensibles au froid, body très léger à l’appui. Una, l’irlandaise, met le feu au
Situation comique pour les Saturdays: le premier album Chasing Lights s’est mieux vendu la semaine dernière que Wordshaker qui vient à peine de fêter son premier mois… Dure la chute. Fin décembre, Ego sortira en single, deuxième chance de reconquérir un public resté totalement indifférent.
Des Papillons pour Jason Mraz...
Paolo Nutini, 10/10 pour son nouveau single
Le nouveau single de Leona Lewis s'appelle...

... Outta my head.
Oui, c'est le titre qui avait retenu l'attention de tout le monde.
Oui, c'est le titre qui ressemble un peu (beaucoup) à du Agnès.
Oui, c'est le titre qui est up-tempo, surprenant pour du Leona.
Oui, ils veulent nous faire oublier ""l'échec"" de Happy, #2 en UK.
Oui, ça a été confirmé hier sur Radio 1, et c'est donc officiel.
Ouiiiii, ça va cartonner, tout ça, tout ça.
Oui, c'est le titre qui avait retenu l'attention de tout le monde.
Oui, c'est le titre qui ressemble un peu (beaucoup) à du Agnès.
Oui, c'est le titre qui est up-tempo, surprenant pour du Leona.
Oui, ils veulent nous faire oublier ""l'échec"" de Happy, #2 en UK.
Oui, ça a été confirmé hier sur Radio 1, et c'est donc officiel.
Ouiiiii, ça va cartonner, tout ça, tout ça.
La sélection Soul, Hip-Hop, Folk d'Elias
"La sélection d'Elias" est une nouvelle chronique qui sera publiée de manière hebdomadaire sur Hall Musique, et c'est Elias, qui sera chargé chaque semaine (sauf empêchement éventuel), de vous présenter sa sélection de chansons. Les titres sélectionnés seront souvent classés dans les catégories Hip-Hop, Soul, Neo soul, ou Folk, tout ça pour vous dire qu'ici, vous ne verrez pas cité le nom d'une Lady GaGa, ou d'une Britney Spears...
La sélection de la semaine:
M. Ward • Post-War (extrait de l'opus Post-War - 2006)
Chanson éponyme de son opus sorti en 2006. Je n'ai pas encore réussi à trouver plus planant à écouter que la discographie de ce Monsieur. Il touche au cœur, tout fusionne chez lui: les mots, les notes, la voix... Post-War en est le parfait exemple:
Amos Lee • Colors (extrait de l'opus Amos Lee - 2005)
Après avoir sorti son premier opus en 2005, Amos Lee a été désigné par le magazine Rolling Stone comme faisant parti des 10 artistes à découvrir de cette année...
Et... Je ne peux que confirmer: son premier opus était un vrai bijoux, un vrai classique, standard du genre... Comment une maison de disque n'a-t-elle pas vu tout le potentiel commercial de ce premier effort ? Surtout avec pour invitée Norah Jones (qui joue quelques notes de piano par-ci par-là sur l'opus, notamment sur Colors...), le lien était tellement évident, après le succès commercial de Come Away With Me sorti en 2002, le public était prêt pour ce monsieur aussi.
M'enfin, Colors est un titre d'une beauté renversante, et sur ce, rien d'autre à ajouter.
Angie Stone (feat. Alicia Keys & Eve) • Brotha remix (extrait de Mahogany Soul - 2001)
Bon, c'est un remix (ça vous l'aurez trouvé seul). Remix d'un des classiques nu soul de cette décennie, Brotha, présent sur le deuxième opus solo d'Angie, sorti en 2001. Il a pour guests Alicia Keys (qui venait tout juste de percer avec son premier opus) et Eve.
Ce titre est une bombe RnB/Soul... Mis à fond, ça fait son effet. Les "clap your hands" du refrain sont trippants.
Amel Larrieux • Sweet Misery (extrait de Infinite Possibilities - 2000)
Amel touche la grâce sur ce titre...son premier opus solo sorti en 2000 dont est tiré ce titre, laissait présager une carrière incroyable. Son second opus nous confortait dans cette idée. Ensuite, elle a définitivement pris un virage alternatif... Ce son est donc d'un côté extraordinaire, mais de l'autre, il nous rappelle combien on aimerait revoir cette Amel.
MIAM ! C'est Beyoncé & Lady Gaga !
"Can you handle it ?"
On l'attendait, les fans sont restés debout jusqu'à 6 heures du mat' pour le voir, et voilà que débarque enfin le clip du remix de Video phone, où Beyoncé s'alloue les services assez classieux d'une Lady Gaga plus que demandée.
Bon, ce n'est pas à proprement parler une vidéo "à budget", c'est plein de fonds unis qui ne feraient pas tâche dans un clip des Saturdays (souvenez-vous de Up ou de Just can't get enough), de flingues en plastique à tout-va (dans quel but, on cherche encore), mais Beyoncé danse toujours aussi bien (sa consoeur aussi, ceci dit) et Lady Gaga a un faux air de Sylvie Vartan - non mais c'est vrai. Pour tout dire on attendait mieux, mais le bruit que la collaboration a fait devrait suffire à propulser ce duo aux sommets des charts americains, du moins.
On l'attendait, les fans sont restés debout jusqu'à 6 heures du mat' pour le voir, et voilà que débarque enfin le clip du remix de Video phone, où Beyoncé s'alloue les services assez classieux d'une Lady Gaga plus que demandée.
Bon, ce n'est pas à proprement parler une vidéo "à budget", c'est plein de fonds unis qui ne feraient pas tâche dans un clip des Saturdays (souvenez-vous de Up ou de Just can't get enough), de flingues en plastique à tout-va (dans quel but, on cherche encore), mais Beyoncé danse toujours aussi bien (sa consoeur aussi, ceci dit) et Lady Gaga a un faux air de Sylvie Vartan - non mais c'est vrai. Pour tout dire on attendait mieux, mais le bruit que la collaboration a fait devrait suffire à propulser ce duo aux sommets des charts americains, du moins.
Critique • Nerina Pallot - The Graduate
Mais que valent les versions studios des chansons incluses sur cet album? C'est à cette question que je vais essayer de répondre plus d'un mois après sa sortie.
Notre exploration de l'album démarre avec Everything's Illuminated, la piste d'ouverture. Je l'avoue, j'avais apprécié la version acoustique que Nerina avait interprétée il y a quelques semaines mais finalement, la version studio est assez entraînante et qui plus est, assez dynamique. C'est également le cas du premier single promotionnel de cet opus: le bien nommé Real Late Starter. Quoique, avec le recul, je trouve la version studio légèrement surchargée au niveau de la production. The Right Side, la piste suivante, s'inscrit dans ce même registre pop/rock: cette chanson n'est pas désagréable dans sa version finale mais je préfère largement la version alternative car elle est beaucoup plus supportable. Human, la quatrième piste du disque, est sans conteste la piste que je préfère: à vrai dire, j'ai été touché par les paroles (Nerina démontre ici son talent en tant qu'auteur) en particulièrement celles du refrain... j'espère que cette chanson sortira en single.
Lorsque j'avais découvert I Don't Want To Go Out il y a deux mois, j'avoue que je ne l'avais pas spécialement aimé. Toutefois, en écoutant la version studio, j'ai eu un petit coup de coeur: c'est léger, c'est frais et qui plus est, particulièrement efficace. A vrai dire, je trouve que cette piste résume assez bien l'ambiance générale de l'album à savoir un disque plus léger et plus accessible par rapport à Fires et Dear Frustated Superstar, les précédents disques de la chanteuse. Coming Home, la piste suivante, est un plus triste que sa consoeur mais elle n'en demeure pas moins touchante (en tout cas, autant que Human). Et fait intéressant, la version alternative et studio sont aussi réussies l'une que l'autre. C'est aussi de It Starts, un piano-voix que j'écoute assez régulièrement pour être honnête.
Il est désormais temps d'explorer les trois pistes restantes de l'album: commençons par When Did I Become Such A Bitch, la première piste que nous avons pu découvrir dans sa version alternative (en Juillet dernier). Au même titre que I Don't Want To Go Out, j'avais eu un peu de mal avec la version alternative. Cependant, je trouve la version album plus convaincante et qu'elle colle davantage avec les paroles (un peu amusantes). Cigarette, la piste la plus longue de l'album, instaure une pause car elle est beaucoup plus lente et accessoirement plus planante. Toutefois, ce qui fait la force de la chanson n'est pas la musique mais bel et bien les paroles (car elles sont dédiées à ceux qui ont tenté de renoncer à certaines habitudes destructrices). Il ne reste plus que It Was Me, la piste de clôture de The Graduate: que dire en dehors du fait que c'est une jolie ballade (et qu'elle ne change pas beaucoup par rapport à la version alternative postée sur le net). Néanmoins, je la trouve un peu inférieur aux autres ballades déjà évoquées précédemment.
Conclusion: En toute franchise, The Graduate est un album convaincant qui mérite d'être découvert. Bon, il est vrai qu'il n'est pas aussi sombre que Fires et Dear Frustated Superstar mais au moins, Nerina prouve qu'elle est capable de se renouveler un peu. Allez, laissez-vous tenter et procurez-vous ce disque: ça en vaut franchement la peine.
Shakira • Le clip de Give it up to me (sic)
Son album est un sacré gouffre, du coup pour sa sortie américaine, Shakira sort l'artilerie lourde : Lil Wayne (il est moche mais il fait vendre), Timbaland et un titre calibré pour le marché américain : Give it up to me. Le clip a été dévoilé hier sur la page Facebook de Shakira et alterne les passages plutôt réussis (dansés, notamment), et un kitsch à toute épreuve foncièrement moche qui fait même rire Peter & Sloane. La chanson ? Une introduction de 3 minutes, en fait.
Alicia Keys aime le violet

C'est du moins ce qui ressort le plus après visionnage du clip de son nouveau single, l'excelentissime Try sleeping with a broken heart. Bon, on aurait pu faire sans la combinaison moulante (so 90's quand même), et avec un peu plus d'action, mais le début est très joli et Alicia Keys aussi, évidemment. Et en bonus, le cousin de Seal (non ? c'était too much ?).
lundi 16 novembre 2009
10 Bonnes raisons de ne pas faire partie d'un boys band
Les boys-band, on a parfois l'impression que ça n'a pas d'âge, qu'il y en a toujours eu - sauf qu'ils étaient un peu plus habillés et chantaient apparemment un peu mieux à l'époque de nos parents. Ce ne sont pas les Beatles ou les Jackson 5 qui vont nous contredire. Mais avec les années 90 est arrivé un nouveau concept du boys band, résumé en une formule simple: moins, c'est mieux. Moins de vêtements, déjà, mais aussi bien souvent moins de voix et moins de neurones, cf. leurs paroles qui nous restent encore malheureusement en tête.
Et même si le phénomène se raréfie avec les années, même encore en 2009, on a eu notre dose de boys bands clichés (une pensée affectueuse pour les JLS). Alors histoire de se faire quelques abdos (oh oh, jeu de mots!), Hall-Musique a décidé de vous trouver 10 bonnes raisons de ne pas joindre un boys band. Non mais nous on fait ça pour vous, ne nous remerciez pas.
01. Parce qu'il faut déjà avoir quelques potes aussi inconscients que soi.
01. Parce qu'il faut déjà avoir quelques potes aussi inconscients que soi.
Rome n'a pas été construite en un jour, et l'on a jamais vu un boys band avec un seul et unique membre (Allan Théo a bien essayé mais ça n'a pas marché). Le duo, c'est dépassé et sectaire, soyez gourmands, pensez au trio, au quatuor, quintuor voire même (ça ne s'invente pas!) au sextuor. Plus on est de fous, plus on rit, parait-il. On a pas spécialement envie de savoir.
02. Parce que ça risque d'influencer votre sexualité.
02. Parce que ça risque d'influencer votre sexualité.
Bon bah ça, hein, je pense que c'est évident. Qu'ils aient de vieilles têtes, ça on pouvait pas y remédier, mais niveau musculation, c'était généralement des bêtes (ne cherchez pas de jeu de mots dans celui-là, il n'y en a pas). Capables de sauter partout (là non plus), de vous improviser un salto arrière, un grand écart sur la tête ou des pompes sans les bras, ces bons gars étaient pour la plupart des accros de la gym. Il fallait bien ça pour détourner l'attention de la voix, me souffle-t-on. Ah c'est pas moi.
05. Parce que vous pouvez dire adieu à votre vie amoureuse.
08. Parce qu'il faut assumer la gestuelle, aussi.
09. Parce qu'une fois le soufflet retombé ...
... Il faut le supporter, le Dechavanne, chaque vendredi soir, alors que vous sentirez le fumier et qu'Eve Angeli hurlera La Solitudine à côté de vous dans une ferme du Cantal. Si en plus Régine vous prépare la tambouille, ça demande un moral de plomb. De façon définitive, si vous ne supportez pas la vie en promiscuité, les cacas de chèvre ou traire les vaches, votre boys band vous a déjà mis sur la mauvaise voie. L'alternative anglophone propose aussi des séjours pas chers au fin fond de la jungle, mais rien ne promet de vous racheter une image ensuite.
10. Parce que rien ne dit que vous serez celui qui réussira en solo.
Non mais sans déconner quoi. Un chez Boyzone, un chez Take That, un chez N'Sync, un chez Westlife (encore que). Zéro chez les Spice Girls (on avait dit boys band ? Ah pardon). Faire partie d'un groupe, c'est surtout diminuer ses chances de percer en solo à un très faible pourcentage. Rares (inexistants?) sont les groupes dont plus d'un membre a réussi à percer en solo. Il faut du bol, beaucoup de bol. Et on a envie de dire du talent aussi, c'est peut-être pour ça d'ailleurs ...
Au final, vous l'aurez compris, membre de boys band est un plan de carrière un peu bancal en 2009. Préférez-lui comptable, ou orthodontiste. C'est plus chiant mais au final, ça sauvera vos futurs anniversaires de mariage et diminuera de moitié le nombre de photos compromettantes - c'est déjà pas mal. Cependant, si vous êtes imberbe, percé, hétéro open, célibataire, trilingue, que vous chantez mal et que vous avez régulièrement le testicule gauche qui vous gratte, alors plus de doute, nous ne vous retenons pas, VOUS ALLEZ DEVENIR UNE STAR. (On vous dit "merde", hein).
Au final, vous l'aurez compris, membre de boys band est un plan de carrière un peu bancal en 2009. Préférez-lui comptable, ou orthodontiste. C'est plus chiant mais au final, ça sauvera vos futurs anniversaires de mariage et diminuera de moitié le nombre de photos compromettantes - c'est déjà pas mal. Cependant, si vous êtes imberbe, percé, hétéro open, célibataire, trilingue, que vous chantez mal et que vous avez régulièrement le testicule gauche qui vous gratte, alors plus de doute, nous ne vous retenons pas, VOUS ALLEZ DEVENIR UNE STAR. (On vous dit "merde", hein).
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