L’une de nos petites protégées, Jessie James, sort la tête de l’eau après le naufrage de son premier album. Ridiculisé par les mini scores du disque et des singles, Island Records a passé à la trappe le reste de la production et cette ère. C’est donc sur une page blanche que Jessie écrira son histoire en 2010. Le titre du premier chapitre est déjà trouvé : Boys !
Titre aussi original que la musique est putassière. De la bonne pop dans la lignée d’un Party In The U.S.A pour un premier single qui devra assurer les arrières du futur album, cet été. Touche country exotique, construction légère qui sent bon la Californie, finalement rien de nouveau sous le soleil. Avec si peu de temps pour composer (le dernier single My Cowboy remonte à novembre), ni eux ni nous ne pouvons être exigeants. Jessie remplit parfaitement sa part du contrat et nous gratifie toujours de sa jolie voix héritée de Xtina. Le lien ? Par ici :
Titre aussi original que la musique est putassière. De la bonne pop dans la lignée d’un Party In The U.S.A pour un premier single qui devra assurer les arrières du futur album, cet été. Touche country exotique, construction légère qui sent bon la Californie, finalement rien de nouveau sous le soleil. Avec si peu de temps pour composer (le dernier single My Cowboy remonte à novembre), ni eux ni nous ne pouvons être exigeants. Jessie remplit parfaitement sa part du contrat et nous gratifie toujours de sa jolie voix héritée de Xtina. Le lien ? Par ici :
Ryan Tedder, Kara DioGuardi, Hinder ont tous été réquisitionnés pour le disque de la belle américaine. Conseil pour le boss d’Island : utiliser intelligemment cette collection de tubes. Deux échecs seraient fatals pour Jessie et sa carrière de popstar à laquelle on croit dur comme fer (et déjà hier… Mon radar était en mode veille en 2009, ou en avance au choix).
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