Il y a quelques jours, plusieurs chansons issues du premier album des Mini Viva, duo britannique ont les membres semblent être nées sous le signe du Xenomania, sont apparues sur le web. Alors, si Left my heart in Tokyo a plutôt déplacé les foules au Royaume-Uni, que vaut le reste ?
Elles sont 6. Six chansons issues du premier album de Mini Viva qui paraîtra au début de l’année, à commencer à se faire connaître. Left my heart in Tokyo n’a pas vraiment besoin de ça, et c’est plutôt normal, vue l’efficacité du titre : une rythmique diabolique qui parviendrait presque à nous faire oublier que les voix du duo n’ont rien qui nous fera nous relever la nuit, mais ça nous suffit.
Et puis après, vient le tour de I wish. Vous vous souvenez de Call the shots, par les Girls Aloud ? On avait ensuite eu une sorte de resucée un peu moins efficace (à mon humble avis), avec The Loving kind. Bien, maintenant vous imaginez une resucée de The Loving kind, mais en beaucoup moins bien. C’est fade, déjà entendu des milliers de fois, ça nous fait penser à un magasin hard discount dans lequel vous entreriez en sortant de chez Cartier. What you feel, troisième titre déjà connu, ne comporte absolument rien d’innovant si ce ne sont quelques passages instrumentaux très travaillés. Non mais passons directement à I’m hooked, en fait. Ça flirte délibérément avec le kitsch, et même si ça manque d’un refrain vraiment explosif, par rapport aux couplets, c’est vraiment frais et sympa. On tiquera peut être un peu avec la voix sur les refrains, mais ça donne envie de danser. Un peu.
On zappera Emotions of love, également. Niais, si sucré qu’on frôle l’indigestion. Bedroom viber est sympa, quant à elle. Mais juste sympa.
En bref, l’album s’annoncerait bien plus sympa si, à l’écoute de ces premiers extraits, on n’avait l’impression que Xenomania avait trouvé deux potiches pour s’occuper du recyclage des rejets de sessions d’enregistrement des Girls Aloud. On espère (ou pas), un album meilleur que cela. Mais on n’y croit pas trop, sincèrement.
Elles sont 6. Six chansons issues du premier album de Mini Viva qui paraîtra au début de l’année, à commencer à se faire connaître. Left my heart in Tokyo n’a pas vraiment besoin de ça, et c’est plutôt normal, vue l’efficacité du titre : une rythmique diabolique qui parviendrait presque à nous faire oublier que les voix du duo n’ont rien qui nous fera nous relever la nuit, mais ça nous suffit.
Et puis après, vient le tour de I wish. Vous vous souvenez de Call the shots, par les Girls Aloud ? On avait ensuite eu une sorte de resucée un peu moins efficace (à mon humble avis), avec The Loving kind. Bien, maintenant vous imaginez une resucée de The Loving kind, mais en beaucoup moins bien. C’est fade, déjà entendu des milliers de fois, ça nous fait penser à un magasin hard discount dans lequel vous entreriez en sortant de chez Cartier. What you feel, troisième titre déjà connu, ne comporte absolument rien d’innovant si ce ne sont quelques passages instrumentaux très travaillés. Non mais passons directement à I’m hooked, en fait. Ça flirte délibérément avec le kitsch, et même si ça manque d’un refrain vraiment explosif, par rapport aux couplets, c’est vraiment frais et sympa. On tiquera peut être un peu avec la voix sur les refrains, mais ça donne envie de danser. Un peu.
On zappera Emotions of love, également. Niais, si sucré qu’on frôle l’indigestion. Bedroom viber est sympa, quant à elle. Mais juste sympa.
En bref, l’album s’annoncerait bien plus sympa si, à l’écoute de ces premiers extraits, on n’avait l’impression que Xenomania avait trouvé deux potiches pour s’occuper du recyclage des rejets de sessions d’enregistrement des Girls Aloud. On espère (ou pas), un album meilleur que cela. Mais on n’y croit pas trop, sincèrement.
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