La contagion s’étend à la Scandinavie… On ne parle pas de grippe mais d’un syndrome bien connu des Sugababes : le jeu des chaises musicales. En Suède, la pla(y)ie porte un autre nom : Play. Quelques souvenirs vaporeux, c’est tout ce que le groupe vous évoque ? Normal, leur disparition remonte à plus de quatre ans. Auteur d’un seul tube Us Against The World le girlband est pourtant l’un des quatuors féminins suédois qui s’est le mieux exporté, USA inclus (jusqu’à faire la première partie des L5 chez nous… Eh oui, à l’époque le dire avait plus de classe). La séparation s’est faite sans heurt en 2005 et depuis chacune vague à ses petites occupations.
Tellement petites que la rumeur d’un retour n’a cessé d’enfler aux cours des derniers mois, hantée par un autre syndrome, celui des Spice Girls en manque de billets verts. Et puis la confirmation est venue fin novembre : Play ressuscite, une grande nouvelle (on n’attend plus que la décision des Atomic Kitten et à nous Age Tendre : la Tournée des Girl bands) pour commencer la décennie !
Tellement petites que la rumeur d’un retour n’a cessé d’enfler aux cours des derniers mois, hantée par un autre syndrome, celui des Spice Girls en manque de billets verts. Et puis la confirmation est venue fin novembre : Play ressuscite, une grande nouvelle (on n’attend plus que la décision des Atomic Kitten et à nous Age Tendre : la Tournée des Girl bands) pour commencer la décennie !
Malheureusement quelques surprises risquent de froisser les fans : trois d’entre elles se sont faites la malle. Et ça n’est pas la première fois que ça arrive : en 2003, en pleine gloire, la star de la bande Faye avait mis les voiles pour se consacrer à sa carrière solo future et à ses études. L’air de rien, elle avait été remplacé en pleine promotion de l’album Don’t Stop The Music par une inconnue Janet Leon. Ni vue, ni connue chacun s’était accommodé de la nouvelle recrue, un peu comme Heidi, elle a vite échappé à la condition de cinquième roue du carrosse.
Aujourd’hui à l’occasion du comeback le schéma se répète mais à l’envers. Janet reste dans son coin et Faye, devenue une sublime lady, reprend sa place et met court à sa carrière de mannequin (populaire en Suède). En bref, Play 3.0 c’est Play 1.0 amputé des deux blondes : Rosanna et Anna. Au duo restant composé de Faye et Anaïs (la brune sexy qui avait complètement disparu. On comprend tout de suite mieux pourquoi elle a signé) vient s’ajouter un vilain petit canard (qui passe le bonjour à Jade… On s’y perd !) : Sanne. Aussi inconnue que Janet au début, la blonde pourrait essuyer quelques critiques.
Aujourd’hui à l’occasion du comeback le schéma se répète mais à l’envers. Janet reste dans son coin et Faye, devenue une sublime lady, reprend sa place et met court à sa carrière de mannequin (populaire en Suède). En bref, Play 3.0 c’est Play 1.0 amputé des deux blondes : Rosanna et Anna. Au duo restant composé de Faye et Anaïs (la brune sexy qui avait complètement disparu. On comprend tout de suite mieux pourquoi elle a signé) vient s’ajouter un vilain petit canard (qui passe le bonjour à Jade… On s’y perd !) : Sanne. Aussi inconnue que Janet au début, la blonde pourrait essuyer quelques critiques.
Play 3.0 fera ses débuts sur le petit écran. En effet et ça laisse supposer pourquoi elles se sont reformées, elles ont été recrutées pour la seconde saison de Made In Sweden, une Real-TV qui propose de suivre les premiers pas en studio d’un artiste suédois -en fait deux opposés et coachés par un jury- jusqu’à l’enregistrement de son premier album. En échange, l’émission lui sert de promotion et de tremplin car à ce stade le dit artiste n’est pas censé être signé.
L’an dernier, Janet Leon (ah le hasard) était dans la course au côté de Kim, un chanteur de pop/rock plus qu’édulcorée). Cocasse comme situation ! Sa carrière relancée par deux excellents singles (Let Go et Heartache On The Dancefloor) on comprend qu’elle ait préféré continuer l’exercice en solo. Même chose pour la petite Rosie Munter devenue Rosanna, trop occupée à réaliser son premier album qui s’annonce du tonnerre. Contactée elle a décliné l’offre ; oh la vilaine ! Anna, elle n’a pas eu droit à cet honneur : on ne lui a pas laissé le choix, Play 3.0 se fera sans elle. Elle noie désormais sa peine, larguée et à l’Ouest, aux USA, où elle tente d’organiser son avenir médiatique réduit à quelques téléfilms (dont un avec Madame "7 à la Maison") et un livre en préparation, pas très glorieux.
L’an dernier, Janet Leon (ah le hasard) était dans la course au côté de Kim, un chanteur de pop/rock plus qu’édulcorée). Cocasse comme situation ! Sa carrière relancée par deux excellents singles (Let Go et Heartache On The Dancefloor) on comprend qu’elle ait préféré continuer l’exercice en solo. Même chose pour la petite Rosie Munter devenue Rosanna, trop occupée à réaliser son premier album qui s’annonce du tonnerre. Contactée elle a décliné l’offre ; oh la vilaine ! Anna, elle n’a pas eu droit à cet honneur : on ne lui a pas laissé le choix, Play 3.0 se fera sans elle. Elle noie désormais sa peine, larguée et à l’Ouest, aux USA, où elle tente d’organiser son avenir médiatique réduit à quelques téléfilms (dont un avec Madame "7 à la Maison") et un livre en préparation, pas très glorieux.
Le retour de Play se concrétisera donc dans quelques mois avec un opus et un objectif ambitieux : la (re)conquête des Etats-Unis, rien que ça. En attendant elles écument les soirées mondaines sur les rives de la Baltique et font quelques interviews avec leur producteur Andreas Carlsson (pour Rix FM et NRJ par exemple).
Hall Musique vous parle de...
Rosanna (octobre 2008)
1 commentaire:
C'est un peu la honte quand on sait que Rosanna Munter provient de ce truc!...
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