On vous a déjà parlé (à plusieurs reprises) du retour de Robyn. Alors qu’on s’était à peine remis de la découverte de Dancing On My Own , le nouveau single officiel de l’artiste, voilà que Body Talk Pt.1 leake sur le net deux mois avant sa sortie. Et aujourd’hui, j’ai décidé de livrer mes impressions sur ce premier EP fort attendu. Alors ? Réussite ou ratage ? Réponse tout de suite.
Commençons l’exploration de l’album avec Don’t Fucking Tell Me What To Do, une piste électronique pour le moins énergique au premier abord. Cependant, la chanson souffre d’un défaut majeur qui ne va pas jouer en sa faveur : la chanson est beaucoup trop répétitive dans la mesure où pendant les trois quarts de la chanson, Robyn répète (sur un même ton) de nombreux phrases sans réel intérêt. Dommage !
Après cette première déconvenue, la chanteuse se rattrape correctement avec la piste suivant qui n’est autre que Fembot, l’une des pistes que le public a découverte via son site officiel. Soyons honnête, il ne s’agit pas de la piste la plus marquante du disque mais ici, l’interprétation est convaincante et l’ensemble de la production agréable (électro/pop). Dans une certaine mesure, la chanson me fait vaguement penser au délirant Konichiwa Bitches mais elle est un tantinet en dessous.
Cry Me When You Get Older à la lourde tâche de succéder à cette excellente piste. Et finalement, cet autre mid-tempo électro/pop se révèle être elle aussi convaincante (bien qu’au premier abord, elle est un peu générique). Changeons un peu de registre avec Dancehall Queen, la fameuse piste produite par Diplo. Je l’avoue, j’ai eu un peu de mal avec cette piste au départ et malheureusement, c’est toujours le cas. Ceci dit, cette piste est bien meilleure que la piste d’ouverture de l’EP. En revanche, je reconnais avoir craqué sur None Of Dem, collaboration entre Robyn et Röyksopp. D’ailleurs, j’adore l’ambiance un peu oppressante qui se dégage de ce mid-tempo qui allie sonorités électroniques et hip-hop. Et pour ne rien gâcher, l’interprétation est là aussi convaincante (et les paroles, correctes).
Hang With Me, l’avant dernière piste de l’album, marque une cassure nette car elle apparaît dans sa version piano/voix (alors que ce titre est censé être en acoustique! Chercher l'erreur...). Toujours est-il que cette chanson a le mérite d’être jolie et qui plus est, sincère. Il ne reste plus que Jag Vet En Dejlig Rosa, une autre ballade (en langue suédoise) chantée quasi en acapella. Et aussi jolie soit-elle, elle n’est pas franchement marquante.
Commençons l’exploration de l’album avec Don’t Fucking Tell Me What To Do, une piste électronique pour le moins énergique au premier abord. Cependant, la chanson souffre d’un défaut majeur qui ne va pas jouer en sa faveur : la chanson est beaucoup trop répétitive dans la mesure où pendant les trois quarts de la chanson, Robyn répète (sur un même ton) de nombreux phrases sans réel intérêt. Dommage !
Après cette première déconvenue, la chanteuse se rattrape correctement avec la piste suivant qui n’est autre que Fembot, l’une des pistes que le public a découverte via son site officiel. Soyons honnête, il ne s’agit pas de la piste la plus marquante du disque mais ici, l’interprétation est convaincante et l’ensemble de la production agréable (électro/pop). Dans une certaine mesure, la chanson me fait vaguement penser au délirant Konichiwa Bitches mais elle est un tantinet en dessous.
Venons-en maintenant au premier single officiel de l’album qui n’est autre que Dancing On My Own, une piste produite par Patrik Berger (et non par Kleerup contrairement à ce que l’on a pensé). Ce mid-tempo électronique est sans conteste la meilleure chanson l’opus. Si les couplets sont un peu légers, les refrains sont quant à eux redoutables (si bien que l’air reste en tête pendant une bonne partie de la journée). On a qu’une hâte maintenant : que la chanson envahisse les classements mondiaux (américains inclus -c'est beau de rêver-).
Hang With Me, l’avant dernière piste de l’album, marque une cassure nette car elle apparaît dans sa version piano/voix (alors que ce titre est censé être en acoustique! Chercher l'erreur...). Toujours est-il que cette chanson a le mérite d’être jolie et qui plus est, sincère. Il ne reste plus que Jag Vet En Dejlig Rosa, une autre ballade (en langue suédoise) chantée quasi en acapella. Et aussi jolie soit-elle, elle n’est pas franchement marquante.
Difficile de surpasser l’excellent album éponyme qu’est Robyn. Et même si Body Talk Pt. 1 s’inscrit dans la continuité dans ce dernier, force est de constater qu’il est un peu en dessous qualitativement parlant (et ce, malgré la présence de bonnes pistes). Cependant, il est bien trop tôt pour enterrer Robyn (d’autant plus que la promotion de ce disque a à peine commencer) et nous attendons avec impatience la suite des événements (ainsi que le second EP).
5 commentaires:
Tout à fait d'accord avec cette critique!
Pas du tout d'accord!
Je suis d'accord avec la critique : la première piste est une catastrophe !!!
Non mais vs sortez d'où vous??
C'est un retour gagnant de Robyn, moi j'y crois!
C'est le meilleur du meilleur qu'elle nous a sorti là, en collaboration avec le meilleur du meilleur Made In Nordique!
perso je trouve la première piste géniale. Même si elle est répétitive, il s'en dégage une telle émotion que ça me retourne à chaque fois que je l'écoute. D'une manière général, je te trouve un peu dur, cet ep est vraiment bien.
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