11h00 ! C'est dimanche, et aujourd'hui, si vous venez de vous lever, on ne dira rien. Après tout, c'est bien normal, et à l'heure où cet article sera publié, il est fort probable que son auteur soit, lui même, dans les bras de Morphée (Eh oui, les joies des articles en parution programmée). Vous ouvrez votre petite case quotidienne et soudain, vous avez envie de danser un petit twist.
C'est normal, vous venez d'ouvrir la case Lala, d'Oceana. Nous vous en avons déjà parlé début novembre et en fait, plus on l'écoute, plus on accroche. Des paroles décalées (Even your Daddy did it to your mama !), un rythme entraînant, on s'imagine dans un bar enfumé en train de danser avec une petite robe à volants (pour les filles qui nous lisent, tordus), ou cheveux gominés, en train de fumer un cigare accoudé au comptoir. C'est frais, c'est vivifiant, et on aimerait bien que le titre rencontre le même succès que Cry Cry, en France.
C'est normal, vous venez d'ouvrir la case Lala, d'Oceana. Nous vous en avons déjà parlé début novembre et en fait, plus on l'écoute, plus on accroche. Des paroles décalées (Even your Daddy did it to your mama !), un rythme entraînant, on s'imagine dans un bar enfumé en train de danser avec une petite robe à volants (pour les filles qui nous lisent, tordus), ou cheveux gominés, en train de fumer un cigare accoudé au comptoir. C'est frais, c'est vivifiant, et on aimerait bien que le titre rencontre le même succès que Cry Cry, en France.
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