Les filles de The Saturdays l'ont bien compris : pour marcher à nouveau (parce que leur dernier opus a tout de même des chiffres de ventes dignes d'une version britannique de l'album d'un gagnant des dernières saisons de la Star Academy française), il faut faire parler d'elles. Alors pour ça, deux options s'offrent à elles :
• Le coup du Je-me-déshabille-subtilement : testée et approuvée par Rihanna, cette méthode consiste à enlever un vêtement à chaque fois que son album perd une place dans un classement. Imaginez un peu, même en commençant par les boucles d'oreilles, comment ont fini les Saturdays, en perdant 30 places en une semaine. Mais elles continuent et lors d'une soirée en boîte, trois d'entre elles (on vous passe les prénoms de chacune, ça ne vous intéresse pas de toutes façons) avaient sorti l'artillerie lourde : "Ce soir, j'oublie mon pantalon à la maison (et je sors donc en petit shorty)", "Fichtre, par quel miracle mon sein veut-il sortir de mon décolleté plongeant en même temps que je sors de la voiture ?", et "Sacrebleu, je savais que j'aurais du mettre une culotte, je me fais tout le temps avoir en sortant de la voiture ! Vous m'avez prise en photo ?". On vous passe les photos, ça manque singulièrement de classe et on les aime bien, nous, les Saturdays.
• Le coup du Vous-avez-vu-mes-seins ? Ça, c'est dans leur dernier clip, avec une "Una Boobs-attack" (l'inventeur de cette expression se reconnaîtra sûrement) assez époustouflante. On ne s'en lasse pas, tant ça arrive dans le clip tel un cheveux dans la choucroute.
• Et puis il y a la méthode un peu plus respectable qui consiste à montrer qu'en live, on s'en sort plutôt bien. Et devinez quoi ?! OUI ! ELLES L'ONT FAIT AUSSI !
Les filles étaient en effet les invités du très célèbre Radio 1 Live Lounge hier matin, pour une version acoustique d'Ego, leur dernier single, à paraître au Royaume-Uni dans deux semaines. Une petite bombe pop revancharde dans sa version originale qui se transforme en une chanson mélancolique portée par de très jolies voix. On applaudit. Et on salue aussi la performance sur un chant de Noël classique (il semblerait), Winter Wonderland.
• Le coup du Je-me-déshabille-subtilement : testée et approuvée par Rihanna, cette méthode consiste à enlever un vêtement à chaque fois que son album perd une place dans un classement. Imaginez un peu, même en commençant par les boucles d'oreilles, comment ont fini les Saturdays, en perdant 30 places en une semaine. Mais elles continuent et lors d'une soirée en boîte, trois d'entre elles (on vous passe les prénoms de chacune, ça ne vous intéresse pas de toutes façons) avaient sorti l'artillerie lourde : "Ce soir, j'oublie mon pantalon à la maison (et je sors donc en petit shorty)", "Fichtre, par quel miracle mon sein veut-il sortir de mon décolleté plongeant en même temps que je sors de la voiture ?", et "Sacrebleu, je savais que j'aurais du mettre une culotte, je me fais tout le temps avoir en sortant de la voiture ! Vous m'avez prise en photo ?". On vous passe les photos, ça manque singulièrement de classe et on les aime bien, nous, les Saturdays.
• Le coup du Vous-avez-vu-mes-seins ? Ça, c'est dans leur dernier clip, avec une "Una Boobs-attack" (l'inventeur de cette expression se reconnaîtra sûrement) assez époustouflante. On ne s'en lasse pas, tant ça arrive dans le clip tel un cheveux dans la choucroute.
• Et puis il y a la méthode un peu plus respectable qui consiste à montrer qu'en live, on s'en sort plutôt bien. Et devinez quoi ?! OUI ! ELLES L'ONT FAIT AUSSI !
Les filles étaient en effet les invités du très célèbre Radio 1 Live Lounge hier matin, pour une version acoustique d'Ego, leur dernier single, à paraître au Royaume-Uni dans deux semaines. Une petite bombe pop revancharde dans sa version originale qui se transforme en une chanson mélancolique portée par de très jolies voix. On applaudit. Et on salue aussi la performance sur un chant de Noël classique (il semblerait), Winter Wonderland.
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