Jamie Cullum, c'est avant tout un prodige. Une bête de scène qui, sous les traits fins d'un éternel adolescent, montre sa puissance sur scène. Un jeune homme qui en est déjà à son 5ème album studio, The Pursuit, qui promet d'être un nouveau succès pour ce jazzman, chanteur de pop, interprète, compositeur, pianiste, guitariste, et j'en passe. Un sacré CV, en effet.
La pochette nous met tout de suite dans l'ambiance. Le piano qui explose semble vouloir nous expliquer que non, Jamie Cullum n'est pas à ranger dans la case de ces crooners qui vendent des CD à tour de bras à l'approche de la Saint Valentin. Et une écoute attentive de l'album suffira à nous en convaincre. Jamie parvient en effet, en vrai prodige multi-cartes, à jongler habilement entre les styles. La pop de Mixtape (notre titre préféré), le son presque dance de Music is through (notre autre titre préféré), le côté plus classique d'un Just one of those things qui nous envoie tout droit dans un bar enfumé de Chicago, le subtil croisement swing & pop de I'm all over it, premier single extrait, le style aérien de Wheels, le swing de You and me are gone, tout y est pour faire de cet album un véritable best-of. J'aurais presque envie de parler d'albums concept, d'invitation au voyage entre les époques et les mouvances qu'a connu l'Histoire de la musique contemporaine. Je dois aussi l'avouer, s'il y a un titre que je ne pensais pas aimer, c'est certainement Don't stop the music. Une reprise d'un hit club très récent ? Argument commercial, j'en étais convaincu. Le fait d'entendre un extrait de ce titre dans la publicité pour l'album m'avait conforté dans cette idée. Et pourtant... cette reprise du son démentiel de Rihanna est bien chantée, Jamie parvient à lui donner une toute autre dimension que celle d'hymne des clubs, la mélodie est travaillée, et on a presque l'impression que c'est Rihanna qui en a fait une reprise, tant Jamie se l'est approprié.
Cet album de Jamie s'impose donc, vous l'aurez compris, comme un des meilleurs albums de cette fin d'année. On espère évidemment une exploitation des titres plus commerciaux que sont Mixtape et Music is through, qui pourraient montrer une autre facette de l'artiste. Un artiste qui parvient à rester prometteur, même après cinq albums studios, quand d'autres laissent la flamme de l'inspiration s'éteindre après leur premier succès.
La pochette nous met tout de suite dans l'ambiance. Le piano qui explose semble vouloir nous expliquer que non, Jamie Cullum n'est pas à ranger dans la case de ces crooners qui vendent des CD à tour de bras à l'approche de la Saint Valentin. Et une écoute attentive de l'album suffira à nous en convaincre. Jamie parvient en effet, en vrai prodige multi-cartes, à jongler habilement entre les styles. La pop de Mixtape (notre titre préféré), le son presque dance de Music is through (notre autre titre préféré), le côté plus classique d'un Just one of those things qui nous envoie tout droit dans un bar enfumé de Chicago, le subtil croisement swing & pop de I'm all over it, premier single extrait, le style aérien de Wheels, le swing de You and me are gone, tout y est pour faire de cet album un véritable best-of. J'aurais presque envie de parler d'albums concept, d'invitation au voyage entre les époques et les mouvances qu'a connu l'Histoire de la musique contemporaine. Je dois aussi l'avouer, s'il y a un titre que je ne pensais pas aimer, c'est certainement Don't stop the music. Une reprise d'un hit club très récent ? Argument commercial, j'en étais convaincu. Le fait d'entendre un extrait de ce titre dans la publicité pour l'album m'avait conforté dans cette idée. Et pourtant... cette reprise du son démentiel de Rihanna est bien chantée, Jamie parvient à lui donner une toute autre dimension que celle d'hymne des clubs, la mélodie est travaillée, et on a presque l'impression que c'est Rihanna qui en a fait une reprise, tant Jamie se l'est approprié.
Cet album de Jamie s'impose donc, vous l'aurez compris, comme un des meilleurs albums de cette fin d'année. On espère évidemment une exploitation des titres plus commerciaux que sont Mixtape et Music is through, qui pourraient montrer une autre facette de l'artiste. Un artiste qui parvient à rester prometteur, même après cinq albums studios, quand d'autres laissent la flamme de l'inspiration s'éteindre après leur premier succès.
1 commentaire:
Très bel article pour un merveilleux artiste. Merci pour lui. Moi aussi, Mixtape est mon titre "préféré"... mais le reste est tellement bien aussi ! Rendez-vous à l'Olympia le 10 juin prochain !
Véronik-nik-nik
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