Voilà le nouveau phénomène indie venu tout droit de Londres, pour changer. Les White Lies, dont le premier album est cette semaine #1 en Angleterre, sont d'ores et déjà adorés par la critique - et le public, au vu de leur performance. Décrits comme dans la même veine que Arcade Fire ou des Editors, leur musique sombre et puissante, emplie de tension, surprend et explose, et est portée par la voix grave du chanteur, Harry McVeigh (félicitations, vous faîtes désormais partie des 2 personnes au monde qui connaissent son nom!).On sera content d'apprendre ici et là que le groupe s'appelait auparavant Fear of Flying et que celui-ci ne devait être au départ que le délire d'un week-end, car au final on sait très peu de choses sur les membres de ce groupe - peut-être pour que l'attention se concentre uniquement sur leur musique? Ah ah, subtil, en effet.
Quoiqu'il en soit, le groupe soigne la musique et les clips: "Death", le précèdent single, et "To lose my life", l'actuel, à voir ci-dessus, sont tous deux des bijoux visuels. Un amateur un peu pervers notera la certaine fascination que le groupe a pour les grandes formes longilines sur ses pochettes - mais nous n'y avions même pas pensé. BREF, le futile est à mettre à la poubelle avec le titres épiques des White Lies. Ca hypnotise, ça prend aux tripes et euh ... ça arrive bientôt partout en France?
Quoiqu'il en soit, le groupe soigne la musique et les clips: "Death", le précèdent single, et "To lose my life", l'actuel, à voir ci-dessus, sont tous deux des bijoux visuels. Un amateur un peu pervers notera la certaine fascination que le groupe a pour les grandes formes longilines sur ses pochettes - mais nous n'y avions même pas pensé. BREF, le futile est à mettre à la poubelle avec le titres épiques des White Lies. Ca hypnotise, ça prend aux tripes et euh ... ça arrive bientôt partout en France?
1 commentaire:
Moi, j'y avais pensé.
Bref.
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