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samedi 29 mai 2010

Clip | Charlotte Gainsbourg • Time Of The Assasins

Il y a bien longtemps qu'on avait pas parlé de Charlotte Gainsbourg. Et pourtant, l'artiste ne chôme pas puisqu'elle a donné plusieurs concerts aux Etats-Unis. Mais que les fans français se rassurent: la chanteuse repart en tournée dès le mois de Juin à travers l'Europe (plusieurs concerts sont d'ores et déjà programmés en France d'ailleurs -dont un aux Nuits de Fourvière à Lyon-).

Aujourd'hui, nous vous invitons à découvrir le clip du nouveau single de Charlotte Gainsbourg à savoir Time Of The Assassins. Soyons honnête, cette nouvelle vidéo est très agréable à voir (et s'accorde bien avec la chanson). De plus, l'artiste est très bien mise en valeur. Que demander de plus? Un lien? Cliquez sur le lien ci-dessous:

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vendredi 28 mai 2010

Clip | Rihanna • Te Amo

Ca valait bien le coup de s'offrir Laetitia Casta... pour ça. Le clip est d'un ennui abyssal, on retiendra donc juste les très jolies couleurs (car oui, bizarrement, on le souligne la plupart du temps quand une vidéo est chiante de bout en bout) et les danseurs qui ont le mérite de mettre un peu d'animation dans ce remake de "Martine et sa BFF se font des papouilles dans un château". Ah et l'intro avant que le morceau ne commence est assez ridicule aussi dans son genre. Ca mérite d'être souligné.

Non vraiment, on se contentera d'apprécier la chanson, à la radio. Après tout, un clip, c'est juste secondaire, hein.

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La pochette du nouvel album de Sarah McLachlan ressemble à ça!

Très jolie pochette!

La tracklisting officielle de l'album a également été dévoilée sur le site officiel: l'album sera composé de douze chansons dont deux déjà connues du public. En effet, U Want Me 2 et Don't Give Up On Us, les deux chansons inédites présentes sur le best-of de Sarah McLachlan ont été incluses sur ce nouveau disque (pas très malin tout ça).
Dernière information importante: une édition deluxe CD + DVD sera également disponible au moment de la sortie de l'album (toujours prévu pour le 15 Juin 2010). Sur le CD, une piste bonus (la version piano de Love Come) sera incluse tandis que des vidéos live viendront compléter le DVD.

Pour conclure cet article, voici la tracklisting complète de Laws Of Illusion.
01. Awakenings
02. Illusions Of Bliss
03. Loving You Is Easy
04. Changes
05. Forgiveness
06. Rivers Of Love
07. Love Come
08. Out Of Tune
09. Heartbreak
10. Don't Give Up On Us
11. U Want Me 2
12. Bring On The Wonder

Source (et crédit photo): Site Officiel de Sarah McLachlan.
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jeudi 27 mai 2010

Remix de la Semaine • Robyn - Dancing On My Own (Rex The Dog Remix)

Cette semaine, j'ai décidé de vous présenter l'un des nombreux remixes de Dancing On My Own, l'actuel single de Robyn. Et parmi les remixes en question, celui qui a le plus attiré notre attention est celui crée par le DJ britannique Rex The Dog.
La version originale de Dancing On My Own a le mérite d'être une réussite. C'est également le cas de ce remix électro/house qui se révèle être une véritable tuerie! Sans plus attendre, je vous propose de découvrir ce remix dans son intégralité.


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mercredi 26 mai 2010

Klaxons | Flash Over

Ils avaient créé l'évènement en 2007 avec leur 1er album, Myths Of The Near Future et décroché le convoité Prix Mercury. On avoue qu'on les avait (à tort) un peu zappés mais ils reviennent, les Klaxons, avec un tout nouveau single, Flash Over, dévoilé hier dans l'émission de Zane Lowe sur Radio 1.



Produit par le célèbre Ross Robinson (Sepulture, Korn, Slipknot, The Cure, Limp Bizkit) qui l'annonce déjà comme "très violent" et "mélodieux" (un comble quand on sait qu'il n'y a encore pas si longtemps le groupe s'apprêtait à sortir un opus très folk, assez proche de MGMT), l'album porte, pour le moment, le titre Surfing The Void et sortira on ne sait trop quand dans l'année.

Les chanceux qui auront les voir sur scène au Nouveau Casino à Paris le 15 Juin prochain auront le privilège d'écouter en exclusivité les nouveaux morceaux de cet album qu'on attend déjà avec impatience. En attendant, une petite piqûre de rappel des précédents (excellents) singles marquants s'impose.






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# 82 | J-Music Session • Cocco - Nirai Kanai

L'artiste que je vais brièvement présenter aujourd'hui n'a rien d'une débutante car elle a déjà plus de dix ans de carrière derrière elle. Il s'agit de Cocco, une chanteuse rock originaire d'Okinawa. Contrairement à bon nombre de ses collègues, chanter n'est pas un plaisir mais plutôt un moyen d'évacuer sa rage et d'exprimer son ressenti sur des événements qui la touchent.

Sa carrière musicale démarre en 1997 avec la commercialisation de Bougainvillea (son premier album) mais c'est avec la sortie du single Tsuyoku Hakanai Mono-tachi que sa popularité va réellement monter en flèche. D'ailleurs, la sortie de son troisième album studio en 2000 (Rapunzel) confirme cette tendance puisqu'il prend la tête du classement japonais la semaine de sa sortie. Toutefois, l'artiste ne supporte pas ce succès si bien qu'en 2001 (après la sortie de son 4ème album studio), elle annonce l'arrêt de sa carrière. Contre toute attente, Cocco signe son retour en solo en 2006 avec son 5ème album studio (Zan Cyan; album sur lequel on retrouve l'excellent single qu'est Onsoku Punch).

Le 9 Juin prochain, soit plus de huit mois après la sortie de son dernier single (un single concept basé sur le thème des quatre saisons), la chanteuse commercialisera Nirai Kanai, son seizième single major. Musicalement parlant, pas de grosses surprises: il s'agit d'un single pop/rock pour le moins percutant et qui plus est, bien interprétée. Bien entendu, un clip a été tourné et pour être honnête, je le trouve convenable.

Pour conclure cet article, je vous propose une petite sélection vidéo! Bonne écoute!
Cocco - Nirai Kanai (nouveau single)


Cocco - Onsoku Punch (2006)


Cocco - Kemono Michi (2000)


Cocco - Tsuyoku Hakanai Mono-tachi (1997)

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Ne-Yo • Beautiful Monster

Fort du succès rencontré par son précédent album (Year Of The Gentleman), Ne-Yo revient sur la scène musicale internationale avec Libra Scale, son nouvel album studio (prévu pour Septembre 2010). Et pour introduire ce nouvel opus, un premier single (produit par le chanteur et Stargate) a été dévoilé dans la journée d'hier: Beautiful Monster.

Surfer sur la vague dance/électro (très en vogue en ce moment) est une chose mais produire une piste valable dans ce registre musical en est une autre. Et pour le coup, Ne-Yo est totalement à côté de la plaque car cette chanson est totalement dépassé musicalement parlant (dix ans de retard minimum). Pas très réjouissant tout ça! Néanmoins, je vous laisse juger du résultat par vous-même. Il vous suffit de cliquer sur le lien ci-dessous:


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Nicole Scherzinger en solo (round 2)


Rappelez-vous, il y a trois ans, elle avait lâché les Pussycat Dolls pour se consacrer à sa carrière solo, et, malgré les plutôt bons Whatever U Like et Baby Love que lui avaient concocté Polow da Don et Will.I.Am, elle avait floppé (le surnom Flopzinger vient de là, oui). Tirant les conclusions qui s’imposaient de ce flop, elle avait fini par retourner dans le groupe qui l’avait fait connaitre, pour le bonheur (on n’en doute pas) de ses "copines".

Cette année, Nicole Scherzinger réessaye de revenir en solo avec un nouveau single: Nobody Can Change Me. La chanteuse l’a présenté il y a quelques jours sur une radio américaine, et le moins que l’on puisse dire, c’est que la chanson est surprenante. La Nicole sexy, provocante, hip-hop et "hot" des Pussycat Dolls, c’est fini. Ici, elle nous livre une ballade (très) pop, un peu simplette, avec (pour ne pas mentir) des paroles un peu niaises. Malgré tout, l’ensemble reste très entêtant grâce à la mélodie épurée et simple.

Ecouter Nobody Can Change Me

De toute façon, tout semble déjà prévu: si Nicole échoue de nouveau en solo, des nouvelles Pussycat Dolls seront recrutées pour reformer le (un) groupe (parce que toutes les filles ont quitté le navire).
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mardi 25 mai 2010

Clip | Rihanna Featuring Slash • Rockstar 101

On ne croit pas du tout en un futur carton de Rockstar 101, le nouveau single US de Rihanna (au moins, comme ça, on ne pourra qu'être agréablement surpris si, au cas où...) mais une chose est sure : c'est certainement l'une des pistes les plus marquantes de Rated R et d'ailleurs, une de celles qui divisent les fans. Ca passe ou ça casse.

On espère juste que le clip qui vient tout juste d'être dévoilé mettra tout le monde d'accord, jusqu'aux plus réticents. Si on voulait jouer les ronchons juste histoire de, on noterait qu'un peu de couleurs de temps à autre aurait été appréciable mais, visuellement et esthétiquement, c'est impeccable. RiRi est sexy en diable... et surprenante. Qui aurait ainsi parier que, pour pallier à l'absence de Slash, elle se travestirait ? Qu'on aime l'idée ou pas (nous, on aime, ça nous fait rire), force est de constater qu'il fallait y penser. Oui, enfin bon, que ça ne donne pas des idées à d'autres, ceci dit. On se passerait bien, par exemple, d'une Katy Perry qui se déguiserait en Snoop Dogg... ou pire : l'inverse.

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Changement de programme pour Marina & The Diamonds



Si Shampain était annoncé depuis plusieurs semaines comme étant le nouvel extrait de The Family Jewels, premier album de Marina & The Diamonds, on efface tout et on recommence aujourd'hui.
Le site officiel de Marina l'annonce : le prochain single sera Oh no ! un de nos titres favoris dans cet album et peut-être le plus radio-friendly. D'ailleurs, Marina avait émis le souhait de voir se titre exploité, dans l'interview qu'elle nous avait accordés !

Le titre sera disponible en single le 26 juillet.


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Natasha Bedingfield interprète Touch chez Ellen DeGeneres



Il y a quelques jours, particulièrement jouasse, Romain vous parlait du retour de Natasha Bedingfield. Un retour surprise, le single Touch ayant été mis au téléchargement sur iTunes US sans qu'aucune annonce préalable n'ait été faite.

Du coup, c'était clair, ce petit bonbon pop ne pouvait être qu'un single buzz. Mais voilà que Natasha a interprété le titre sur le plateau du Ellen DeGeneres Show. Aucun problème au niveau de la prestation, non : élégance, énergie et prestance étaient de rigueur. Mais un single buzz interprété chez Ellen... ? Nous prendrait-on pour des jambons en se cachant derrière un hypothétique "Non, c'est un flop mais ce n'était qu'un buzz single !". Attention Natasha, ATTENTION !

(Inutile de dire que nous sommes toujours aussi fous de ce titre et de cette fille, bien sûr)
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Hurts : découvrez Mother Nature



Leur single Better than love (premier single officiel au Royaume-Uni) est sorti dimanche en téléchargement et hier en support physique. Si les premiers midweeks ne sont pas vraiment encourageants (un top30 mais le titre chute déjà sur iTunes), c'est surtout l'occasion pour nous de découvrir la b-side du titre. Ça s'appelle Mother nature, c'est clairement du Hurts (années 80, côté lyrique et mélancolique) et ça nous plait, à nouveau, beaucoup.

Au secours, nous ne sommes pas objectifs !
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Critique • Camélia Jordana, ou l'album brillant


On vous l'avait promis depuis quelques semaines, mais il était nécessaire pour nous de laisser un peu reposer l'euphorie, afin de donner un avis qui soit le plus conforme possible à notre ressenti post-réaction du type "AAAAAH, C'EST TROP BIEN !".
Parce que oui, l'album de Camélia Jordana, c'est, pour faire bref, celui qui nous a réconciliés avec la chanson francophone, en cette année 2010.

Celle qui nous avait parfois surpris, parfois déroutés, mais souvent charmés, avec ses prestations lors de son passage à la Nouvelle Star, la pétillante Camélia Jordana nous livre en effet ici un album scintillant mais surtout particulièrement inspiré. Le son pop (Non non non, Moi c'est, Mens-moi en tête) brillant de cet album (loin des clichés habituels, qu'ils penchent vers le pathos ou la démonstration de sons "modernes") nous mène parfois à la découverte de petites pépites : on pensera évidemment à Calamity Jane (que l'on pressent comme prochain single), Little Monsters (où Camélia nous montre vraiment ses qualités d'auteur en plus de celles d'interprète), La vie en solitaire ou encore le magnifique Lettera (une reprise, oui, on sait).

Le dénominateur commun de toutes ces chansons ? La capacité de Camélia Jordana à nous raconter des histoires, dans chacune de ces chansons.
Sa force ? Réussir à donner une force différente à tous les titres de l'album, de sorte à n'en laisser aucun de côté, et éviter l'écueil du "J'ai une bonne chanson, j'en rajoute deux, et après on remplit avec ce qu'on trouve".

Elle a beau être toute jeune, Camélia Jordana met une telle profondeur dans son interprétation qu'on ne peut qu'être charmés, convaincus, et applaudir la réussite qu'est ce premier album.
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Zoom sur The New Pornographers

Ce groupe canadien n’est plus à présenter Outre-Atlantique : début mai The New Pornographers ont sorti leur cinquième album studio. En tournée en Europe dans un premier temps puis aux Etats-Unis, le groupe a su séduire le public allemand avec un show de plus de deux heures. Depuis 1997, le groupe reste fidèle à sa pop délurée et les huit membres du groupe s’en donnent à cœur joie sur scène. Impossible de se lasser. Les trois meneurs du groupe, A.C. Newman, Neko Case et Dan Bejar mélangent astucieusement voies masculines et féminines, agressivité et douceur.

Le dernier opus, composé en grande partie par Carl Newman, débute par Moves, une chanson plutôt décevante, quand on sait de quoi le groupe est capable. Mais dès la deuxième piste, on retrouve leurs savantes mélodies et quand la première note de Your Hands (Together) résonne, impossible de ne pas monter le son. Et le reste de l’album défile tout seul. Pour cet album Dan Bejar compose seulement trois titres, mais de qualité : If You Can't See My Mirrors reste une des ballades incontournables de l’album.

Profitez-en The New Pornographers est en concert le 26 mai à La Maroquinerie (Paris) et le 27 au Grand Rex de Toulouse.

Louise Guinhut
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The Wanted - All Time Low


La mort précoce du boys band Avenue (souvenir, à l’époque on aimait) n’aura pas que laissé des fans en pleurs. En secret, l’un des membres du groupe aura lutté pour retrouver la route des studios et c’est aujourd’hui au sein d’une nouvelle formation qu’il trouve refuge : The Wanted.

Alors que les premières notes et les premières photos surgissent, un constat: Avenue, The Wanted, même combat. Même allure appuyée New Look et même tendance musicale, si ce n’est les voix qui changent, on n’y voit que du feu. Pourtant c’est bien un tout nouveau groupe qu’on nous promet, version rafraîchie des Take That mais avec un penchant identique pour des productions british pop parfaitement exécutées. On est rassuré par cette découverte, le phénomène anglais JLS n’aura pas déteint sur ces rivaux potentiels et Westlife garde le monopole des mélodies somnifères.

A l’écoute du premier single, le top 10 semble à la portée de la bande. All Time Low, l’extrait en question aurait pu se glisser sans difficulté dans l’album avorté d’Avenue et comme on retrouve Max dans son rôle de leader vocal, l’effet est toujours familier. Quelques violons, une légère poussé "électro" et un bon souffle : voilà qu’on se surprend à l’écouter en boucle ! La recette est approuvée depuis des lustres mais suffisamment bien interprétée pour trouver grâce à nos yeux.

La promotion qui a commencé il y a quelques semaines sur Internet va s’intensifier dans les semaines à venir. Sortie du single le 26 juillet et de la vidéo le 30 mai… En attendant, chaque jour nous serons bombardés par un teaser. Le premier du lot met en scène Siva :


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On ne vous l'a pas dit...


... mais le nouvel album de Christina Aguilera, Bionic, vient de filtrer sur la toile.

On n'oublie pas que bouh, télécharger, ça craint grave.
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lundi 24 mai 2010

Critique | Erykah Badu • New Amerykah Part II (Return of the Ankh)

Deux ans, c'est le temps qu'il a fallu attendre avant la sortie du second volume de la trilogie musicale (New Amerykah) crée par une artiste qui, depuis la fin des années 90, nous livre des albums d'une qualité irréprochable: je veux parler d'Erykah Badu, l'une des figures majeures de la scène néo-soul américaine.



New Amerykah Part I (4th World War), le précédent album de la chanteuse a dérouté une bonne partie du public en raison de son caractère revendicateur (au niveau des textes) mais aussi à cause de son caractère plus expérimental au niveau musical. Après de multiples écoutes attentives, New Amerykah Part II (Return Of The Ankh), se révèle être différent.
Textuellement parlant, Erykah Badu laisse de côté les thèmes délicats abordés sur le disque précédent afin d’aborder un thème dit universel à savoir l’amour. De l’amour charnel et passionnel (cf. Window Seat ; Umm Hmm ; Gone Baby, Don’t Be Long ou encore Turn Me Away -Get Mummy-) en passant par la période de doutes (cf. Love ; piste où la chanteuse supplie son mec de lui dire qu’il l’aime car elle ne sera pas rassurée), l’éloignement (cf. la métaphore du mur utilisée dans 20 Feet Tall) et enfin, l’inévitable rupture (rupture qui provoque un véritable choc chez l’artiste comme l’atteste Out My Mind, Just In Time, une longue piste de 10 minutes divisée en trois temps qui clôture le disque)… tous les aspects principaux de ce thème sont évoqués avec force et subtilité par une artiste qui prouve à quel point elle est douée.
Musicalement parlant, ce nouvel album marque une cassure. Finie les expérimentations ; place à une production typiquement néo-soul crée par l’artiste et l’équipe présente sur New Amerykah Part I (quoique, certains membres de cette même équipe travaillent avec Erykah depuis 1997). Bien entendu, quelques samples (cf. You Can’t Turn Me Away de Sylvia Striplin) ont été inclus permettant ainsi à l’album d’être encore plus riche mais surtout, plus intense.


Sans être aussi déroutant que New Amerykah Part I (4th World War), New Amerykah Part II (Return Of The Ankh) a le mérite d’être un album plus homogène, plus posé. Toutefois, les deux albums se complètent harmonieusement dans la mesure où l’artiste révèle deux parts bien distinctes de sa personnalité. Je n’ai plus qu’un conseil à vous donner : écouter ce disque passionnant. Et pour cela rien de plus simple, il vous suffit de cliquer sur le lien ci-dessous :

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Nathalie Makoma •I Just Wanna Dance

Plus d'un an après la sortie de son premier single solo, le bien nommé I Won't Forget, Nathalie Makoma revient avec un nouveau single prénommé I Just Wanna Dance. Pour information, il s'agit d'une adaptation en anglais de Sowoneul Malhaebwa (Genie), la piste principale du mini-album commercialisé l'an dernier par le girls band coréen Girl's Generation (également connu sous le nom de SNSD). En dehors de la langue, aucune différence majeure n'est à noter au niveau musical: en effet, il s'agit d'une chanson pop/dance certes, pas révolutionnaire mais elle reste sympathique.

Pour conclure cet article, je vous propose de découvrir I Just Wanna Dance de Nathalie Makoma.


En bonus, voici la version d'origine -Sowoneul Malhaebwa (Genie)- par Girl's Generation.



Merci à KeiShana (pour l'information principale).
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Clip | Enrique Iglesias feat. Pitbull • I Like It

Souvenez-vous, Sylvain vous a présenté le nouveau single anglais d'Enrique Iglesias (et Pitbull) à savoir I Like It. Aujourd'hui, je vous invite à découvrir le clip officiel qui accompagne ce single. Et honnêtement, cette vidéo est à l'image de la chanson... à savoir inintéressante. Pour découvrir le clip en question, cliquez sur le lien ci-dessous:


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dimanche 23 mai 2010

Clip | The Black Keys • Tighten Up

Cette semaine sortait Brothers, le nouvel album des Black Keys encensé (à raison) par la critique. Le même jour était dévoilé le vrai clip officiel du 1er single extrait, le très bon Tighten Up. Et la nouvelle vidéo se révèle encore plus amusante que la 1ère qui mettait en scène Frank, le funkasaurus rex célibataire au pas de dance classieux (le même qui apparaissait au bord d'une piscine remplie de bimbos dans le clip promo de Next Girl et se réjouissait d'assister à un catfight). On y voit ainsi les prétendus fils des 2 membres du groupe se battre pour les beaux yeux d'une fillette au square... suivi d'un combat sanglant entre les pères pour impressionner la mère ! L'engouement du groupe pour les catfights est donc certain et, pour être très honnête, on ne s'en plaindra vraiment pas tant que c'est fait avec autant d'humour.


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Hall Musique y était | Lady Gaga à Bercy

New York, New York

Il n'y avait qu'à voir la foule amassée vendredi soir devant la Palais Omnisport de Bercy pour constater que le phénomène Gaga a véritablement explosé cette année: costumés, maquillés, surexcités, les fans étaient légion et les caméras et micros un peu partout tentaient de capturer l'effervescence et l'anticipation de tous. Et ils n'ont pas été déçus: durant deux heures de show survolté, les "Petits Monstres" - comme elle les appelle - ont pu savourer le panel extraordinaire d'émotions que la jeune chanteuse proposait, passant littéralement des larmes au rire. Retour sur un concert hyper-attendu.

Gaga prend le métro.

A la voir s'extasier devant une salle complète, on se disait qu'il est loin le temps où Gaga tentait de remplir les petits night-clubs new-yorkais branchés, et loin aussi le temps où elle se contentait d'un Olympia parisien dans nos contrées. Vendredi (et samedi), le public a eu droit à pas moins de cinq changements de décor, des interludes sur écran géant, des costumes improbables et des mises en scène et chorégraphies à faire pâlir les plus grands. On retiendra notamment les néons colorés façon back alley new-yorkaise, le wagon de métro, la fontaine et le monstre géant. Côté costumes, on ne savait plus non plus où donner de la tête, entre le sombrero de poils, le déguisement de nonne/hardeuse ou le costume de fée pailleté. On sent que les moyens sont là, et que la chanteuse a voulu une mise en scène de folie.

Une Lady Gaga émue aux larmes.

La folie, en effet, était bien là. Totalement habitée, Lady Gaga chante, danse, saute: on avait peine à croire les journaux qui la disent exténuée. Elle-même ne pouvait s'empêcher de commenter, répondant à ceux qui s'inquiètent pour sa santé qu'elle préférerait "mourir sur scène plutôt qu'en vacances". Car la scène, elle semble clairement faire pour ça. Non contente de chanter en live tout en dansant, la chanteuse se permet même un interlude au piano. Reprenant un Stand by me d'anthologie, Lady Gaga perd surtout la voix quand la foule entière entame le refrain de Speechless. A ce moment précis, sur scène, la fashion victim faussement distante laisse tomber le masque: émue aux larmes, elle s'arrête de jouer pour profiter des applaudissements et des cris et confesse, la main sur le coeur, "c'est uniquement grâce à vous si je suis là". A lire certaines critiques sur le net, c'est le moment où le bât blesse, et où Gaga la mégalo sombrerait dans le pathos, le too much, trop forcé pour être honnête. On est peut-être naifs, mais nous on y a vu la vraie Lady Gaga, celle qui fait de la musique pour reçevoir de l'amour, qui vit et respire pour ses fans; celle qui, sous le maquillage et les robes de stylistes, est avant tout une personne comme les autres, avec ses excès et ses faiblesses.

Le costume christique qu'elle arbore durant So Happy I Could Die.

Côté communication, il faut avouer que Gaga parle beaucoup aussi, dans un français très correct - On oublie la chanteuse froide et presque statuesque qui performe sans un sourire - et sans oublier quel est son public: majoritairement jeune et ouvert. Elle arguera à de nombreuses reprises que "ce soir, vous pouvez être tout ce que voulez, il n'y a pas de limites à votre liberté" - et on y croit. Evidemment, les sous-entendus sexuels sont légion, mais que serait Lady Gaga sans sous-entendu sexuel? On a envie de dire que ça fait partie du personnage. On se souviendra donc des secouages de paquets (oui, oui, ces paquets-là) ostentatoires de la part des danseurs durant Boys, Boys, Boys, qu'elle dédie "à tous les gays français", des World Music Awards qu'elle se met dans l'entrejambe en riant "j'ai une grosse bite" ou bien des poses très suggestives qu'elle adopte. Sans honte aucune, on peut dire que c'est dans l'excès que Lady Gaga excelle, puisqu'elle a l'extraordinaire capacité de transformer l'excès en normalité. Et le pouvoir magique, le temps d'un soir, de faire que chacun se sente spécial à sa façon.

Rockeuse dans l'âme.

On n'omettra pas non plus de vous parler des autres moments forts de ce concert: le Dance in the dark introductif gagne en force, quand Lady Gaga n'apparait qu'en ombres chinoises immobiles (logique, elle "dances in the dark", en fait); les premières notes de Just Dance et Poker Face provoquent des vagues de cris et de sauts ("JUMP!"), un Teeth qui prend totalement une autre ampleur en live - avec Lady Gaga poussant le public à montrer leurs "pattes" et leurs "dents" - pour faire écho au monstre (The Fame Monster) qui croque Lady Gaga en fin de performance, avant de retrouver une Lady Gaga christique, réssucitée, qui n'a pas laissé "the fame" la dévorer. Et comment oublier le final sur Bad Romance, qui avait de quoi faire dresser tous les poils de votre corps, quand la foule entame le mythique "Wooooooh-oooh-oh-oh-oh-oh-oooh". On comprend d'un coup l'ampleur du phénomène Gaga.

Le fameux costume de poils: Mr Machin n'a qu'à bien se tenir.

Au final, ce qu'on a vu, nous, c'est un vrai spectacle, avec de gros moyens, de gros tubes, de la voix, de la danse, des mises en scène, des décors, des costumes, de la communication avec le public, de l'humour, de l'émotion, de la musique, de la provoc': comment oser dire que le contrat n'est pas rempli? On en attendait pas moins de Gaga, qui a compris que pour durer, la clé était de se créer un fan-base durable. Sans détours, on peut dire après ce soir qu'il faudra définitivement nous compter parmi eux. Qu'on la déteste ou qu'on la porte aux nues, il est en tout cas impossible de nier que Lady Gaga sait faire parler d'elle. Pour certains, c'est le signe de l'addiction malsaine de la chanteuse pour la célébrité; pour d'autres, c'est un rouage de plus dans la machine pop que Gaga s'exerce à mettre en place. Hier soir, tous tombèrent sûrement d'accord pour convenir que c'était pour son talent et son incroyable dévouement à ses fans qu'on prononcerait désormais son nom.

Pose pin-up pour le public entre deux chansons.

La setlist:

Dance in the Dark
Glitter & Grease
Just Dance
Beautiful Dirty Rich
Vanity
The Fame
LoveGame
Boys Boys Boys
Money Honey
Telephone
Brown Eyes
Stand By Me
Speechless
So Happy I Could Die
Monster
Teeth
Alejandro
Poker Face
Paparazzi
Bad Romance
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