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vendredi 17 septembre 2010

Rihanna : elle est encore de retour



Non, elle n'arrête pas.
Who's that chick vient de leaker et, c'est une première, avec le clip par la même occasion. On ne sait pas trop d'où ça sort (réédition du dernier album de Guetta, pire, second single déjà clippé du nouvel album de Rihanna ?), donc plutôt que de dire n'importe quoi, on va s'abstenir.
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Tribune Libre | Kelis • Flesh Tone (par Andrei)

Après Jonathan (pour Eminem), c'est avec plaisir que nous donnons la parole à un autre de nos lecteurs pour la rubrique Tribune Libre. Cette fois-ci, Andrei nous livre sa critique d'un album qui, malheureusement, n'a pas marché dans les classements mondiaux: nous voulons parler de Flesh Tone, le tout dernier opus de Kelis.

Kelis
, avant Flesh Tone, était, à mes yeux, une femme indépendante, pleine de panache, insolente sur les bords… Fierce, en gros. C’était à l’époque de Milkshake, Trick Me, Bossy. Pour NME, à l’époque de Tasty, Kelis était un ovni qui apportait le pendant plus expérimental d’une Beyoncé, aux hanches généreuses, aux chansons efficaces et commerciales… Kelis n’avait “que” des chansons de qualité, pas de Crazy In Love évident.
En 2010, Kelis est toujours là, dans l’ombre, ou presque.

Très récemment, Acapella, chanson d’amour pur avec la jolie métaphore “Before you my whole life was acapella” et d’autres expliquant comment sa vie était insipide avant de connaître l’Amour, s’est fait une place honorable dans le classement britannique. On remarque le contraste entre les paroles très fleur bleue d’Acapella et les métaphores cochonnes de Milkshake ou le côté impertinent de Bossy. Que s’est-il donc passé depuis Kelis Was Here ? Eh bien, Kelis a eu un enfant, et c’est à mon avis la raison principale pour laquelle les textes de Flesh Tone sont généralement plus intimistes (pour les fans d’analyses du visuel, remarquez que Kelis montre son coeur à l’arrière du boitier de Flesh Tone et que le fond des pages du livret est principalement un zoom sur un coeur, ce qui rajoute une couche sur l’aveu d’envie de confession de Kelis). Une question persiste : comment expliquer le virage très électronique qu’a pris Kelis? La réponse que j’ai trouvée est juste basée sur le fait que, d’après le peu que je sais de Kelis, elle a toujours eu une vision éclectique de la musique et a toujours expérimenté le plus de choses possibles.

Une des qualités majeures de Flesh Tone est sa fluidité. On distingue deux gros blocs de chansons réliées la plupart du temps par des Segues : le premier est composé d’Intro, 22nd Century, 4th of July et Home, le second reprend Acapella, Scream, Emancipate et Brave. J’hésite à caser Song For The Baby dans le deuxième bloc, car elle est un peu à part et sert de conclusion à l’album, c’est un peu la partie Remerciements, focalisée sur son bébé, qui lui a inspiré cet album (ce qui semble déjà plus plausible que l’idée que Christina se soit inspirée de son bébé pour écrire Bionic). Song For The Baby me semble paradoxalement plus faible que la plupart des chansons de l’album, même si elle semble se détacher des deux blocs constitués par l’album. Elle me laisse relativement indifférent, c’est pourquoi je vais passer aux gros morceaux de l’album…

… En commençant par Intro (qui peut se comprendre aussi bien comme Introduction que comme Introspection, après réflexion). Ce titre est probablement le plus expérimental de l’album, et peut aussi bien plaire que déplaire, à cause de son côté torturé et de la voix de Kelis, qu’on peut trouver trop poussive. 22nd Century prend place sur le silence comblé par les “We control the dancefloor” de Kelis, qui donnent le ton de cette chanson a priori faite pour danser, je trouve cependant dommage qu’ils introduisent une des chansons les plus molles de l’album, voire la plus insipide. Peut-être que son problème est d’être coincée entre Intro et 4th of July (Fireworks), deux titres forts de l’album. 4th of July compare l’amour qu’elle ressent aux feux d’artifices du 4 Juillet, sur une alternance très réussie entre du piano et des sons électroniques. La fin de la chanson introduit l’up-tempo (quasiment) Trance de l’album : Home. Le titre est accessible même pour ceux qui ont des a priori assez négatifs sur le genre, les couplets sont relativement dansants mais assez calmes, le refrain explose, la chanson a tout d’un hymne. Le premier bloc prend fin sur les 12 coups de minuit.

Acapella reprend le premier bloc en douceur mais lancer danser ceux qui veulent, Scream lui fait suite. Derrière deux-trois sons un peu cliché (je parle des sons aigus sur les couplets, que j’ai trouvés plutôt beaufesques aux premières écoutes), Scream est une montagne russe aérienne et calme sur le refrains (qui ont plutôt l’air d’être des couplets) et démente sur les couplets. La montagne russe s’arrête et on entre dans Emancipate, au refrain fatigants à la longue, mais qui reste clairement en tête (si on n’a pas besoin d’un ORL). Les couplets sont doncs supérieurs au refrain pour des raisons évidentes, mais la chanson atteint son pic dans le middle-8 (si on peut appeler ça un middle-8) très relaxant, aquatique (oui.), mais toujours festif. Brave, une des chansons les plus introspectives de l’album, où Kelis explique qu’elle est devenue plus forte et ne se laisse plus marcher sur les pieds, met fin à ce deuxième bloc sur des rythmes électroniques vachement efficaces. Le dernier Segue introduit plus ou Song For The Baby dont j’ai déjà parlé.

Le virage de Kelis est donc particulièrement réussi et cet album pourra clairement passer en boucle dans les mois à venir, tant il est fluide, sans pour autant manquer de chansons particulièrement fortes comme… toutes les chansons sauf 22nd Century et Song For The Baby.


Critique rédigée par Andrei.
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Le nouveau Jenifer est bien sympathique !

Ça sent très fort le tube, ça transpire la bonne pop française des années 80, comme elle l'avait annoncé. Des réminiscences de Niagara, des paroles bien ficelées, une voix toujours aussi agréables... Mais dites donc, ça sent le tube ! Je Danse est le premier extrait du 4ème album de Jenifer.


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Remix de la Semaine | Grum • Through The Night (Perseus Remix)

Cette semaine, nous avons décidé de vous faire découvrir un des nombreux remix de Through The Night, l'actuel single promotionnel de l'artiste électronique Grum. Parmi les remixes en question, celui qui a le plus attiré notre attention est celui crée par Perseus.
Au même titre que la version originale, ce remix s'inscrit dans ce registre électro/synthétique (qui rappelle, une fois encore, les années 80). Certes, ce remix est moins dynamique mais il reste tout de même efficace (et agréable à l'écoute).



En bonus, voici la vidéo officielle de Through The Night (que nous avons oublié d'évoquer).

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The Saturdays feat. Flo Rida • Higher

Il y a quelques jours (cliquez ici), les Saturdays ont confirmé que Higher serait le nouvel extrait de Headlines (qui, mine de rien, se maintient correctement dans le classement albums en Angleterre). Aujourd'hui, nous vous proposons d'écouter la fameuse version single (qui comprend une partie rap par Flo Rida) qui sera commercialisée le 1er Novembre 2010. Soyons clairs, Flo Rida n'apporte strictement rien à cette chanson (c'est du foutage de gueule pur et simple); il aurait mieux valu qu'elles se contentent d'exploiter la version album.


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jeudi 16 septembre 2010

Tribune libre : Eminem - Recovery (par Jonathan)

Vous le savez, l'objectif de la Tribune Libre est, en plus de faire participer nos visiteurs au site, élargir quelque peu nos horizons musicaux. Alors, lorsque des visiteurs nous demandent à corps et à cris (au moins !) une critique du dernier album d'Eminem, même s'il est disponible depuis plusieurs mois, nous proposons à nos visiteurs de s'en charger, eux-même (ah ben oui).

Premier d'entre eux à s'être prêté à l'exercice, Jonathan, qui nous livre sa vision de l'album.

Eminem, Marshall Mathers de son vrai nom, l’enfant terrible du rap nous revient avec un dernier opus appelé Recovery, comprenez Reconquête ou Rétablissement. Parce que oui, le petit Marshall vient quand même de sortir d’une longue traversée du désert (il lui fallait au moins ça pour divorcer, prendre du poids, perdre du poids, fricotter avec Mariah Carey et j’en passe). Tout fraîchement remis sur pieds, Slim Shady nous propose donc un 7ème album qui trône à la tête des charts du monde entier depuis sa sortie (le 21 juin dernier).

A la première écoute, on remarque tout de suite que l’album est à l’image du premier single, Not Afraid : plus qu’un cd dans une carrière, il s’agit là d’un retour aux sources, une renaissance de l’artiste. Toujours sous l’œil aguerri de son mécène, Dr Dre, Eminem s’est entouré de nouveaux producteurs (Just Blaze, DJ Khalil Mr Porter ou bien Havoc pour les connaisseurs dans le domaine) pour nous offrir un opus qui oscille entre titres forts et engagés et pistes plus lentes, plus profondes. Il suffit d’écouter « Love The Way You Lie », interprété en duo avec Rihanna qui cartonne en ce moment sur les ondes à travers le monde : une boucle simple, un texte puissant et un rap qui s’intensifie au fur et à mesure de la chanson, contrebalancé par la voix de la petite Riri lors des refrains. On a donc des chansons bien punchy comme « Cold Wind Blows » qui ouvre le tracklist, « Almost Famous », « WTP » ou « Cinderella Man » et on se surprend même à retrouver du bon son Hip Hop Old School avec « So Bad » (vous vous souvenez de 2Pac ?). Côté ballades, on s’entrelacera (enfin on essayera, ça reste quand même du rap) sur « 25 To Life » ou le très bon « Space Bound » alors que des chansons comme « Going Through Changes » ou « Seduction » nous proposent des mélodies plus low tempo. Mais le point fort de cet album ce sont les featuring pendant lesquels même Marshall pousse un peu la chansonnette : je vous parlais de Rihanna précédemment mais Slim Shady s’est aussi associé à P!nk pour un « Won’t Back Down » à la sauce rock. Le sample So 90’s de Haddaway « What Is Love » permet à Lil’ Wayne de voler un peu la vedette à Eminem sur « No Love » et les refrains de « Talkin’ 2 Myself » sont interprétés par Kobe, définitivement l’une des meilleures chansons de l’album.

Au final, Recovery porte très bien son nom : Marshall Mathers nous prouve qu’il est toujours dans la place, confirme son statut de prince du rap et nous fait facilement oublier son dernier album, Relapse, une petite erreur de parcours. Reconquête donc réussie, pour peu qu’on aime le rap (ce qui n’est pas mon cas, je tenais juste à le préciser).



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Et parce que deux avis valent mieux qu'un, Jigga nous livre également son opinion sur cet opus
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Après avoir sombré suite à la mort d'un de ses acolytes et ami d'enfance, Proof, et s'être plongé dans la drogue, Eminem avait fait un retour mitigé pour les fans avec Relapse en 2009. Si cet album montrait qu'Eminem savait toujours aussi bien manipuler sa plume et son flow, le problème résidait plus dans la replay value et le manque de chansons véritablement touchantes à l'inverse de ses précédents opus. En 2010, Eminem décide d'annuler la suite prévu à Relapse (Rechute) pour le remplacer par Recovery (La guérison).
17 titres sans aucun interlude, voilà ce que propose l'album. Parfois, Eminem, en plus d'écrire tous ses textes, s'occupe aussi de la production (composition musicale)... Mais pour Recovery comme il l'explique, il a voulu se focaliser uniquement sur les textes de l'album sans avoir en plus à se soucier de la production. Ainsi on retrouve de nouveaux producteurs tels que DJ Khalil, Just Blaze, Alex Da Kid et le fidèle Dr. Dre.
Recovery possède cette aura qu'avait The Eminem Show à son époque, un album toujours très personnel, mais qui est accessible au grand public grâce ("à cause" diront les fans puristes) à son ambiance orientée à la fois rap / rock / pop. Eminem se détache totalement de son précédent opus et revient à ses premiers amours : écrire des chansons personnelles.
Ainsi on retrouve l'hymne "Not Afraid" en guise de très bon premier single, chanson adressé aux fans sous forme de remerciements et d'excuses. Eminem propose un bon deuxième single qu'il a écrit en s'inspirant de sa relation avec son ex-femme : Love The Way You Lie... (Rihanna chante le refrain très accrocheur). Ce titre rappelle un morceau qu'Eminem avait réalisé en 2004 sous le nom de "Love You More" mais qui n'était jamais sorti et finalisé car piraté sur la toile.
Mais les meilleures surprises de l'album sont sans doute le reste de l'opus.
- "Space Bound", une lettre d'amour où Eminem décrit les diverses phases amoureuses d'un couple qui finit de façon macabre, le suicide après le meurtre de sa bien aimée. Le texte qu'Eminem propose ici est encore mieux que Love The Way You Lie, et fait figure de classique de sa collection. Le flow enivrant du MC ne fait qu'accentuer la qualité du titre.
- "25 To Life" où Eminem personnifie le Hip Hop comme étant sa femme et conclut sa plaidoirie en affirmant qu'il s’est livré toute sa vie à ce genre sans avoir reçu suffisamment en retour. Un titre qui rappelle aussi d'un côté "Say Goodbye To Hollywood" de The Eminem Show, où le rappeur montrait l'aliénation du succès avec une impression de vouloir fuir ce système.
- "Almost Famous" est l'une des rares tracks où Slim Shady, l'alter ego démoniaque, fait surface... Sur un flow ravageur comme jamais, le MC joue le rôle d'un outsider qui sera prêt à tout pour connaître la gloire absolue.
- "Talkin' To Myself" est une chanson où Eminem exprime sa défaite par rapport aux attentes immenses que les gens lui demandaient ces dernières années mais affirme qu'il va désormais y répondre.
- "No Love" est une chanson qui dénonce les rappeurs qui ont osé croire qu'après ses problèmes personnels, Eminem touchait à sa fin. Le couplet d'Eminem est d'une rare intensité, techniquement parfait, fluide, rageur, tchatcheur, on a l'impression qu'Eminem a voulu enterrer toute concurrence. L'instrumental sur lequel posent les deux MCs est un sample retouché de What Is Love. Insolite et tellement réussi.
- "You Never Over" est une chanson en hommage à Proof, Eminem décrit la chanson avec la ligne "Et plutôt que de pleurer ta mort, j'ai préféré célébré ton vécu". On a affaire à un titre tonique au final, une sorte d'envie de rebondir sans oublier les malheurs habituels. Eminem encore une fois écrit un excellent texte, le défaut du titre réside dans le refrain, assez touchant mais plutôt raté.
- "Cinderella Man" poursuit cette envie de rebondir, au bruit des claquements et des chœurs, cette envie refaire surface.
- "Going Through Changes" : Eminem faisant du story telling, c'est à dire mis en scène. Là c'est le passage du père camé jusqu'au sang qui va essayer de s'en sortir au lieu de mourir d'une overdose.
"White Trash Party" est une des rares track festive, "Cold Wind Blows" sert d'intro tout en punchlines de même que "Untitled". "On Fire" traite des critiques à côté de la plaque, "Seduction" une tentative de charme, "Won't Back Down" est chanson très rock, dans la même idée que WTP et CWB (festif tout en punch), assez déçevant pour de nombreux fans par rapport aux restes de l'album mais qui sait rester sympathique avec un refrain chanté par Pink... Enfin "So Bad" est du Eminem affirmant que malgré le côté mesquin de Slim Shady, il a toujours était surdoué dans son domaine, une sorte de "rêve américain personnifié mais incontrôlable".
Recovery est au final un album qui plaira à de nombreux fans. Eminem a toujours été extrêment doué et complet dans tous les domaines techniques demandés à un grand MC, même sur le mitigé Relapse. Mais sur cet opus il a su retrouver sa touche personnelle en jouant sur l'aspect émotionnel. Du côté musical, plus qu'un album rap, on sent une grosse influence dans le domaine mainstream. C'est finalement un avantage comme un inconvénient : la majorité appréciera tandis que les fans puristes seront déroutés. Finalement la meilleure conclusion reste celle qu'a fait le rappeur Crooked I dans une interview après avoir écouté Recovery : "Eminem est l'un des rares artistes à être à la fois l'un des meilleurs MC que le rap ait eu tout en sachant s'approprier le succès commercial". C'est à dire allier le talent de MC avec le succès populaire, il faut savoir qu'en agissant ainsi on touchera sans doute un public différent du monde puriste du rap. Recovery est un très bon album, voir excellent sur certains points même si il n'est sans doute pas le meilleur qu'Eminem ait fourni dans sa carrière.

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La pochette du nouveau single de Natasha Bedingfield est très vilaine

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La pochette du nouvel album de Shayne Ward ressemble à ça


Obsession, troisième album de Shayne Ward, sortira le 15 novembre. On devrait vraisemblablement y trouver un duo avec Heidi Range des Sugababes.
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Des informations sur le retour de Duffy


C'est la BBC qui a révélé, cet après-midi, les premières informations concernant le nouvel album de Duffy, faisant suite à un premier album écoulé à près de 6 millions d'exemplaires !
L'album s'appellera Endlessly et sortira le 29 novembre, soit une semaine après Well, well, well, le premier extrait. Dans cet album, on trouve Albert Hammond Snr, que certains connaissent peut-être comme étant le père du guitariste de The Strokes. Toujours selon la BBC, cet album inclura les titres My boy, Don't forsake me, Lovestruck, Breath awat et Endlessly.
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Paloma Faith termine l'exploitation de son premier album...


... avec Smoke & Mirrors (oui, on n'avait pas trop d'inspiration pour le titre, du coup... bref), qui fait suite à Stone Cold Sober, New York, Do you want the truth or something beautiful, Upside down et New York (encore mais en version caca). Grâce à tous ces titres qui n'ont pas forcément été d'énormes succès, le premier album de Paloma s'inscrit dans la durée, dans les charts britanniques. 300.000 exemplaires plus tard, la voilà qui nous présente Smoke & Mirrors (il était temps !) en nous offrant même une belle vidéo, alors qu'un simple clip live était initialement prévue.

Quand Paloma Faith se transforme en assistante de magicien dépressive...

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Pixie Lott : Broken arrow, le clip



Il est tout chaud, il vient d'être dévoilé, voici le clip de Broken Arrow, premier extrait de la réédition du premier album de Pixie Lott : Turn it up (auquel on a ajouté un "Louder" pour faire comprendre que ceux qui ont acheté la première version se sont bien fait avoir et qu'ils peuvent envisager sereinement de passer à nouveau à la caisse). On ne revient pas sur les détails de cette réédition d'un album vendu à 650.000 exemplaires, Xavier vient de vous en parler, faut pas abuser non plus, feignasses !

(A noter, le joli placement produit de la Citroën DS3)
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Un best-of pour P!nk !


Le conseil du jour, par Hall-Musique :

Imagine un peu : tu viens de sortir coups sur coups deux albums qui ont été d'énormes cartons. Tu pourrais sortir une version 2010 d'Alouette Gentille Alouette (sans viser personne, évidemment), que ce serait écoulé à des dizaines de milliers d'exemplaires en Australie et, osons le dire, un peu partout.
Tu as l'image d'une gentille fille un peu rebelle mais surtout très drôle et délurée. Tu alignes tubes sur tubes et finalement, ton seul album qui fut un échec n'a pas foutu en l'air ta carrière.
Moi, je serais toi, je sortirais un best-of à l'approche des fêtes de fin d'année.

Commentaire de "P!nk" à 15:00
Ben tu sais quoi ? Ça tombe trop bien, il est possible que je sorte un fucking best-of le 22 novembre ! Fuck yeah !

Eh ben voilà.
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Hurts - Stay, leur nouveau single


Au moment où Wonderful life, leur premier vrai single cartonne (après Better than love qui, à l'image d'un Quicksand chez La Roux, a plus joué le rôle d'une grosse - et agréable - mise en bouche), on en viendrait presque à oublier que oui, l'exploitation d'un album se joue généralement sur plusieurs titres.

Voici donc leur prochain single, Stay, une des pistes les plus appréciées, généralement, sur l'album. Niveau paroles, c'est assez classique, presque cliché, comme expliqué dans la chronique qui concernait Happiness. Niveau musique, c'est Hurts. C'est beau. Sortie le 15 novembre au Royaume-Uni. C'est d'ailleurs ce jour-là que sortira Happiness en France...


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Critique | Robyn • Body Talk Pt.2

Second volet d'une sorte de gros concept délivré par Robyn (le fait de commercialiser des disques au fur et à mesure de leur enregistrement), Body Talk est sorti en Europe ce lundi, et les premiers classements ne devraient pas tarder à tomber. Un des principaux, le top britannique, dans lequel BT2 entrerait dans le top25, là où la première partie a complètement raté le top40. Mais la première partie avait permis d'obtenir un joli top10 single (avec Dancing on my own), là où Hang with me s'annonce comme un des plus gros échecs de la demoiselle.
L'occasion pour nous, donc, de nous fendre d'une petite critique, quelques jours après sa sortie.

Ce qu'en pense Stéphane

Après la petite déception que fut Body Talk Part 1 (un bon album, mais pas à la hauteur de mes attentes après le vertigineux Robyn UK), Robyn met la barre un peu plus haute avec la part 2. Autant le dire tout de suite, cet EP s'annonce déjà comme étant un des albums pop de l'année. Plus accrocheur, plus évident, certains regretteront l'appel commercial tout aussi évident. Je n'en fais pas partie, tant tout est fait avec finesse et le fruit d'une recherche évidente. Comment ne pas succomber à In your eyes, U should know better (au featuring de Snoop Dogg) ou encore Love kills ? Plus simplement, l'album affiche une cohérence rare et oui, on peut le dire, vivement la troisième partie. Surtout avec une magnifique version acoustique de Indestructibleque l'on espère retrouver en version "pop" sur le prochain volet.


Ce qu'en pense Arnaud

Soyons honnête: Body Talk Pt.1 n'était certes, pas mauvais mais il était légèrement inférieur (qualitativement parlant) par rapport à son précédent album éponyme. Robyn nous livre enfin la seconde partie de la fameuse trilogie.
Après de multiples écoutes de ce nouveau EP, le constat est évident: Robyn est bel et bien passée à la vitesse supérieure. Les huit chansons présentes sur Body Talk Pt.2 forment un ensemble cohérent, diaboliquement efficace (Love Kills, U Should Know Better) et même audacieux (We Dance To The Beat). A côté de cet ensemble hautement électronique, la version acoustique de Indestructible fait presque office d'ovni et pourtant, cette chanson est sans conteste la meilleure chanson de cet opus (les paroles sont non seulement bien écrites mais l'interprétation livrée par l'artiste est des plus convaincantes). Chapeau!


Ce qu'en pense Johann

Après un premier volume bon mais loin d'être inoubliable, notamment par la présence de pistes servant à boucher les trous, je n'étais pas si impatient de mettre la main sur cette 2e partie. On dit parfois que les suites sont moins bonnes que leur aîné. En l'occurrence, ce n'est pas le cas ici. Le contenu est globalement plus convaincant ce coup ci, avec aucune chanson de remplissage, si l'on excepte la version acoustique d'Indestructible (et encore, dans le genre, on a vu pire). In My Eyes est clairement la piste la plus radio friendly. Un refrain accrocheur, un hit potentiel. Hang With Me est certes sympathique, mais vraiment trop dans l'ambiance de Dancing On My Own, c'est un peu dommage. Criminal Intent révèle une face de Robyn un peu façon Peaches, c'est étrange pour la suédoise , mais ça fonctionne. En écoutant Body Talk pt.2, j'ai vraiment l'impression qu'ils ont gardé le meilleur de Robyn, ça fait plaisir à entendre. Beaucoup d'arrangements éléctronique et toujours ce beat simple mais groovy. Je peux aussi dire que We Dance To The Beat remplace assez bien Don't Fucking Tell Me What To Do, dans son genre. La collaboration avec Snoop Dogg est nerveuse, ce qui est assez rare dans les derniers featurings du rappeur, ça bouge bien, une autre piste intéressante. Du coup, en attendant un hypothétique coffret regroupant les 3 volumes (ça ne serait pas impossible, logiquement), je savoure cette bonne seconde partie.
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Des pochettes Pixie Lott, en veux-tu en voilà !



Quand on voit la première, on est un peu déçus par la seconde, du coup.

La première, c'est celle du nouveau single, Broken Arrow, qui sortira le 11 octobre au Royaume-Uni. La deuxième, celle de Turn It Up Louder, la réédition de Turn It Up, dont la date de commercialisation est à l'heure actuelle toujours inconnue. Nous avons quand même quelques informations concernant cette réédition, nous savons notamment qu'elle comprendra au moins 4 inédits, parmi lesquels, un duo avec Jason Derülo appelé Coming Home.
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mercredi 15 septembre 2010

Le nouveau single de BT s'appelle...

... The Emergency.
Il s'agit du cinquième single extrait de These Hopeful Machines, l'excellent dernier album de l'artiste. La commercialisation de l'EP promotionnel (qui contiendra pas moins de 13 remixes) est prévue pour le 28 Septembre 2010. Pour écouter la version radio de cette piste (qui dure à l'origine plus de 10 minutes), cliquez sur le lien ci-dessous:



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Ingrid Michaelson • Parachute

Elle nous a charmé avec son troisième album (Everybody). Plus d'un an après la commercialisation de ce disque, Ingrid Michaelson a commercialisé hier (sur ITunes USA) un nouveau single: Parachute, une chanson chantée par Cheryl Cole.

Pour rappel, Ingrid Michaelson est l'auteur de cette chanson (qui parle d'amour.... que c'est beau). Et le moins que l'on puisse dire, c'est que cette version pop/folk est largement supérieure à celle de Cheryl. Non seulement, les arrangements sont soignés mais en plus l'interprétation livrée par la chanteuse est bien plus convaincante (et accessoirement, plus riche). D'après la dernière vidéo postée Ingrid Michaelson (cliquez ici), un clip a été tourné il y a quelques jours à LA. Nous avons hâte de voir le résultat.

Pour écouter Parachute, cliquez sur le lien ci-dessous:
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mardi 14 septembre 2010

YUKI • Futari No Story


Six mois après la commercialisation de son dernier album studio (Ureshikutte Dakiau Yo), YUKI revient (pour notre plus grand plaisir) avec un nouveau single qui sera commercialisé le 15 Septembre chez tous les bons disquaires nippons (soit demain).

La chanson principale, Futari No Story, est un mid-tempo pop/rock dont seule l'artiste a le secret. Certes, ce n'est pas révolutionnaire mais le résultat en lui-même est satisfaisant car non seulement la chanson est apaisante (malgré son caractère mélancolique) mais en plus, l'interprétation livrée par la chanteuse est comme d'habitude, convaincante. La vidéo, tournée en noir et blanc, est elle aussi satisfaisante car elle colle parfaitement avec cette piste.


Sur le single de la chanson, une face B inédite (Ano Musume Ni Naritai) sera incluse mais ce n'est pas tout: la nouvelle version de Asa Ga Kuru (une piste du précédente album), qui avait fait l'objet d'une exploitation en tant que single digital (en Avril 2010), sera elle aussi disponible sur ce disque.

Terminons ce petit article sur une dernière information: un autre single de YUKI est également prévu pour le 29 Septembre 2010. La chanson, prénommée Bedtime Story, est une piste utilisée pour le film Shikeidai no EREBETA. Il s'agit également d'une collaboration entre la chanteuse et Jazztronik, un des grands noms de la scène électronique nippone. On a hâte d'entendre cette chanson.
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Cheryl Cole • Promise This

On avait pas encore évoqué le retour de Cheryl Cole (avec un nouvel album intitulé Messy Little Raindrops; album prévu pour le 1er Novembre 2010). Et on avait une bonne raison: on attendait que Promise This, le premier single de ce nouvel opus, soit diffusé dans son intégralité. C'est désormais chose faite car la chanson en question a été diffusée ce matin même sur Radio 1.

Au même titre que son précédent album, il s'agit d'une piste pop qui n'a franchement rien d'exceptionnelle (et ce, malgré des paroles pas trop mauvaises). Ah oui, les petits passages en français ne sont pas très folichons ("Alouetto, déployer les ailés; Alouetto, lumérer les ailés" ou plutôt "Alouette, déployer les ailes; Alouette, libérer les ailes").

Pour écouter la chanson, cliquez sur le lien ci-dessous:
Source: forums de PopJustice.
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Critique | Katy Perry • Teenage Dream

Vous l'attendiez avec impatience n'est-ce pas? Et bien, comme promis, voici notre avis sur Teenage Dream, le second album de Katy Perry (album qui a obtenu de bons classements au moment de sa commercialisation il y a deux semaines de cela).


Ce qu'en pense Arnaud

Forte de deux extraits particulièrement accrocheurs, Katy Perry livre enfin son second album studio; album qui succède au très moins moyen One Of These Boys. Au vu de l'équipe d'auteurs/compositeurs/producteurs (Dr Luke, Max Martin, Tricky Stewart ou encore Stargate) qui ont travaillé sur ce disque, je m'attendais à écouter un album marquant.
Ce n'est malheureusement pas le cas: en dehors de six morceaux sympathiques (California Gurls, Teenage Dream, Last Friday Night, The One That Got Away, Pearl et Hummingbird Heartbeat), le reste de l'album n'est constitué que de pistes au combien génériques voire même désagréables (Peacok). Un petit mot sur les pistes du CD bonus: si l'inclusion des duos avec Timbaland et 3OH!3 est franchement dispensable, celle des trois remixes est en revanche une bonne idée car ces derniers sont réussis (en particulier le Passion Pit Mix de California Gurls).


Ce qu'en pense Johann

Avant toute chose, histoire que vous me situiez. J'avais bien aimé I Kissed A Girl, c'était marrant. Hot'N'Cold, j'aimais clairement. Très commercial, mais ça passait. J'avais essayé d'écouter One of the Boys, je n'avais pas réussi. Clairement, je rangeais la chanteuse dans ces artistes dont un ou plusieurs singles sont alléchant mais ou l'album est un ratage évident.
Du coup, après un duo avec Timbaland plaisant, un California Gurls marrant à petite dose et un personnage assez attachant je dois dire, j'ai prêté une oreille à Teenage Dream.
Dans les "écoutables", c'est à dire celle que j'aurais écouté jusqu'au bout, en fait .. Je mettrais Last Friday Night, California Gurls, Teenage Dream, Firework, Circle The Drain, avec peut être une légère préférence pour cette dernière. Le reste, honnêtement, ce n'était pas pour moi. N'aimant pas les ballades de pop stars (sauf rares exceptions), Not Like The Movies est la chanson que j'aime le moins sur l'album, à priori. Je peux comprendre qu'elle plaise, d'un autre côté. Cela dit, pour les autres chansons, ça fait parfois simpliste au niveau des sonorités, dans le fond. On peut pas dire que ce soit toujours très recherché, pour être honnête.
Si j'avais eu un coup de coeur pour Hot'N'Cold sur le premier album, là, je n'en ai aucun, à vrai dire. Cependant, à choisir, je pense que le 2e album est plus abouti.



Ce qu'en pense Sylvain

Qui eût cru que cette fille reviendrait un jour sous les feux des projecteurs avec un 2ème album ? Certainement pas moi. One Of The Boys était clairement le type d'albums sur lequel on jette une oreille après avoir aimé les singles et dont on ne retient... rien, au final. Mais force est de constater que si OOTB n'était purement et simplement qu'un album kleenex, Teenage Dream est un second essai assez louable. Un album plutôt cohérent, facile (forcément) même si, hormis les singles, on ne dénote aucun réel hit majeur en puissance si ce n'est le très bon E.T. dévoilé cet été qui laissait présager du lourd... foutaises !
Ceci dit, la senteur barbe à papa qui émane du livret était un message subliminal : ça sent bon, c'est sucré mais ça donne vite la nausée. Entendez par là que Perry ne prend aucun risque et nous livre des pistes pop qui pourraient être chantées par n'importe qui. En témoignent, par exemple, le très plaisant Last Friday Night qui ne casse pas de briques, le sympathique The One That Got Away qui sonne déjà entendu ou encore Not Like The Movies, l'une des jolies surprises de l'album, qui peinera à nous émouvoir.
En bref, ce n'est clairement pas l'album pop de l'année ni le genre de galettes qui deviendra incontournable avec le temps mais le genre d'opus qui s'annonce prometteur pour la suite.



Ce qu'en pense Xavier

California Gurls et Teenage Dream : deux premiers singles, deux bombes pop, deux gros tubes (respectivement #1 et... #1 au Hot 100). Là, on aurait pu craindre le même scénario que pour le premier album, à savoir deux premiers singles faisant office d'ovnis dans un album globalement faible (comme pour I Kissed a Girl & Hot'n'Cold, au moins dix fois (!) supérieurs aux autres titres de One of The Boys). En même temps, la barre est placée si haute avec les deux nouveaux singles que ce que l'on craignait pour ce second essai est arrivé. Ceci dit, le fossé entre les deux singles et les autres titres s'est nettement réduit, on retrouve un disque un peu plus homogène avec des pistes toutes plus ou moins efficaces : Last Friday Night (T.G.I.F.), un titre plutôt entrainant, le plus brut Circle The Drain, le tube évident qu'est E.T., le plaisant Pearl, et les sympathiques Who Am I Living For?, Hummingbird Heartbeat, et Not Like The Movies. En fait, à part Peacock, il n'y a pas de titres foncièrement mauvais, on a ici affaire à un disque pop abouti et cohérent, agréable à écouter. C'est tout ce que j'attendais d'un album de Katy Perry, pour ma part.


Pour ceux qui n'ont pas encore jeté une oreille sur l'album (ou qui souhaitent le redécouvrir), vous pouvez l'écouter (légalement et gratuitement) sur MusicMe (cliquez ici).
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lundi 13 septembre 2010

Claire Keim • Ça Dépend

Nous connaissons Claire Keim en tant qu'actrice (à la télé, au théâtre et au cinéma). Mais la jeune femme a également poussé la chansonnette à plusieurs (souvenez-vous, elle chantait avec Marc Lavoine sur la chanson Je Ne Veux Qu'Elle).

Le 8 Novembre 2010, l'artiste commercialisera (enfin!) son premier album studio qui a pour titre Où Il Pleuvra. Aujourd'hui, nous avons le plaisir de vous faire écouter le premier single extrait de ce disque (qui sera disponible le 20 Septembre d'après cette news): Ça Dépend, une piste pop/folk pour le moins agréable et qui plus est, très entraînante. Bien entendu, une vidéo a été tournée et elle a été dévoilée aujourd'hui-même. Au même titre que la chanson, la vidéo est elle aussi très agréable. Pour ne rien gâcher, Claire Keim est mignonne comme tout!

Pour découvrir cette vidéo, rendez-vous sur le site officiel de la chanteuse (lien ci-dessous):
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Clip | Andy Allo Feat. Blu • DreamLand


Allez, un peu de douceur aujourd'hui avec cette chanson d'Andy Allo, une jeune chanteuse Neo Soul d'origine camerounaise. Le titre s'appelle DreamLand et il extrait de son premier album (UnFresh) sorti il y a tout juste un an. Un album qui, même s'il ne fait pas beaucoup parler de lui, contient quelques très bons morceaux (écouter Hooked, le précédent single). Composé de 12 morceaux, ce premier album a été écrit, co-produit, et financé par Andy Allo elle-même, et évoque les thèmes (classiques) de l'amour ou de la recherche du bonheur. Pour finir, quelques unes des influences de la chanteuse : Erykah Badu, D'Angelo, Maxwell, Raphael Saadiq, Common, Jill Scott, Floetry, Prince, Etta James... Une artiste prometteuse qui devrait arriver à faire son nid dans le monde de la musique soul si elle continue sur cette voix là. C'est tout ce que l'on espère.


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dimanche 12 septembre 2010

Interview • Bright Light Bright Light

A l'occasion de la sortie de son tout premier single (Love Part II), Rod Thomas, la tête pensante du projet Bright Light Bright Light a accepté notre demande d'interview. Cette dernière a été mené conjointement avec Loïc (que nous saluons et remercions pour cette collaboration), webmaster du site ItsPop.


Peux-tu brièvement te présenter pour les lecteurs qui ne te connaissent pas encore?
Bright Light Bright Light • Je m’appelle Rod, je viens du Pays de Galles ; je vis à Londres et je fais de la musique sous le pseudonyme de Bright Light Bright Light.

Tu es signé sur PopJustice HiFi (le nouveau label partenaire de Virgin Records), qui, concrètement, est un label qui ne cherche pas à innover à tout prix et où les dirigeants sont simplement là par amour de la musique. Penses-tu que c’est un bon moyen d’allier un business solide avec une fort potentiel artistique ?
Bright Light Bright Light • Je pense que c’est un très bon modèle. C’est un groupe de personnes qui s’investit beaucoup et qui a une attitude fantastique et ce, avec le soutien d’une maison de disques reconnue et respectée; donc, je pense que cette combinaison est la meilleure. Beaucoup de petits labels au Royaume-Uni incarnent les labels indépendants des grandes maisons de disques, ou alors ce sont les petits clubs qui alimentent les maisons de disques; donc c’est bien qu’il en existe un pour la musique pop.

As-tu envisagé la possibilité de commercialiser ta musique par toi-même? Il y a beaucoup d’outils internet qui permettent d’avoir un contrôle total sur la vente de sa propre musique (Bandcamp…). Quel est ton avis sur cette question ?
Bright Light Bright Light • En fait, je dirige ma propre maison de disques (Self Raising Records) et j’ai commercialisé ma propre musique (sous mon propre nom ; en tant qu’artiste pop/folk) pendant les trois dernières années donc, je connais bien ces éléments (j’ai produit d’autres groupes également). Savoir qu’il y a autant d’outils pour que les personnes mettent en vente leur propre musique est une très bonne chose. Tant de choses sont possibles maintenant, mais je suis très (chanceux et) heureux d’avoir une équipe si formidable autour de moi. Je pense qu'il est possible d'accomplir beaucoup tout seul, jusqu'à une certaine limite. Financièrement, tu touches plus d'argent en sortant ta propre musique, mais d’après mon expérience, une bonne équipe peut vous aider à aller plus loin mais aussi d’apporter d’excellentes idées.

Tu as notamment travaillé avec Andy Chatterley (le mari de Nerina Pallot). Comment l'as-tu rencontré? Et comment se sont passées les sessions d'enregistrement avec lui ?
Bright Light Bright Light • Nous nous sommes rencontrés il y a plusieurs années quand il dirigeait Liveroom (un site qui diffuse des concerts en streaming). Nous sommes restés en contact et ensuite, nous avons commencé à écrire et à enregistrer ensemble. Nous avons co-écrit trois chansons et il a mixé le reste de mon album. Les sessions d’enregistrement se sont très bien passées ; d'ailleurs, elles se poursuivent encore. L’album est pratiquement terminé mais nous travaillons encore sur de nouvelles idées dans la mesure où nos collaborations se passent très bien. C’est un homme bien et un producteur très talentueux.

Que penses-tu de ce retour en grâce des sons 80's, qui sont aussi un peu utilisés à tort et à travers ?
Bright Light Bright Light • Quand tu fais référence à une période ou à un style, tu dois le faire avec sincérité. On peut repérer quelqu'un qui se plie à une tendance à des kilomètres. La musique que j’ai crée pour Bright Light Bright Light est plus un hommage à Depeche Mode, Yazoo et aux sonorités du début des années 90. Les gens ont dit que Love Part II sonne très années 80 mais je ne pense que mon album en tant que tel s’inscrit dans ce courant , les années 90 c’est vraiment mon style.

Penses-tu que l'on entrera bientôt dans une sorte de vrai revival des années 90 ?
Bright Light Bright Light • Oui. Cette décennie est ma période favorite. Des chansons comme Same Dream sur mon album marquent un retour au temps de Bizarre Inc, Inner City ou encore K-Klass. Je pense qu’il y a quelque chose dans l'ambiance des années 90 qui plaît vraiment aux personnes de ma génération. Quand je joue les DJ, c’est sans conteste les tubes des années 90 que les personnes apprécient le plus. L'harmonie entre les beats, basses et mélodies me plaît vraiment, et elle semble illustrer cette explosion de joie chez les gens, notamment dans les soirées où je joue. Je suis amoureux de la sonorité agressive du synthé des années 90.


Maintenant, les questions habituelles :

Si on regarde ton I-Pod, là tout de suite, on y trouve quoi?
Bright Light Bright Light • Björk, Ace Of Base, James Yuill, Delorean, Gold Panda et des centaines de démos de Bright Light Bright Light à travailler.

Le dernier album que tu as acheté ?
Bright Light Bright Light • Heartbeats de Grùm.

Si tu devais choisir un artiste inconnu pour assurer tes premières parties, qui choisirais-tu et pourquoi?
Efforts ! J’ai seulement entendu des démos mais ils sont bons.

Ta chanson favorite ?
Bright Light Bright Light • Hyperballad de Björk. La plus belle chanson et la production la plus extraordinaire.

Si tu devais dire quelques mots sur :
Lady Gaga ? Je l’applaudis pour être passer du statut de popstar à celui de véritable star.
The Killers ? Excellent premier album.
Marina & The Diamonds? Elle travaille très dur et elle mérite son succès.
Britney Spears ? Elle a commercialisé certaines des meilleures chansons de la pop moderne ! Toxic et Slave 4 U sont excellentes.
Florence + The Machine ? Elle a une voix et des chansons extraordinaires mais je ne peux pas supporter sa reprise de You’ve Got The Love.
Hurts ? Un bon groupe pop avec tout les atouts nécessaires: bon style, bonnes chansons, bonnes voix, en particulier sur la reprise de Confide In Me.

Merci pour avoir pris le temps de répondre à ces questions! Nous te souhaitons le meilleur pour les événements à venir et nous espérons avoir de tes nouvelles rapidement.


Note: la version anglaise de l'interview est disponible sur ItsPop (cliquez ici).
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Chanson du jour HM | Bright Light Bright Light • Love Part II

Aujourd'hui, nous avons décidé de mettre en avant un artiste prometteur qui a été signé sur le label fondé par PopJustice (PopJustice HiFi): Bright Light Bright Light. Derrière ce nom de scène se cache un projet crée par Rod Thomas, un jeune chanteur anglais.

Le 13 Septembre 2010 (soit demain), l'artiste commercialisera son premier single (sous format digital et sous format physique) sous ce nouveau de nom de scène. La chanson, prénommée Love Part II, est une piste qui change par rapport à ce qu'il proposait dans le passé (en tant qu'artiste indépendant). Il s'agit d'une chanson aux sonorités pop/dance qui a le mérite d'être très entraînante (en particulier le refrain). Bien entendu, une vidéo a été tournée et celle-ci tranche un peu en raison de son univers un peu sombre. Ceci dit, elle reste soignée et agréable à voir.




Restez connecté sur Hall-Musique car aujourd'hui, à 17h, une interview de l'artiste sera publiée!

Crédit lien (et photo): PopJustice HiFi.
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Thomas Eriksen • Chameleon


La première tentative solo n’aura pas vraiment été concluante, mais notre favori norvégien Thomas Eriksen a une deuxième carte à jouer avec son nouveau single. Exit la performance électrique de Fish Out Of Water, le chanteur donne à ce nouveau titre une couleur musicale un peu inattendue. Chameleon, c’est son nom, s’engage dans une voie pop/rock indé moins commune au producteur que les sons électro, dont l’impact ici est plus mesuré. Résultat, une touche à la Phoenix, une mélodie aérienne et un tableau séduisant. Un résultat donc bien loin de sonner faux, qui prouve l’attachement de Thomas à un univers plus "rock", sur lequel sa voix s’accorde parfaitement.

L’album Cannibal, partagé entre ses deux dimensions, est lui fixé pour le 1er novembre (chez Warner). On répondra présent.


Le clip tourné fin aôut sera dévoilé dans les prochains jours, on l'espère aussi incisif et excentrique que les visuels.
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