Il y a des titres qui, quelque soit le registre musical qu’ils défendent ou le message qu’ils délivrent, paraissent universels. Cassandra est à ranger dans cette catégorie. Deuxième single du groupe australien The Galvatrons et premier extrait de leur album, Cassandra est un parfait (à défaut d’être subtil) mélange de powerpop, métal et (hard) rock. Un gros clin d’œil aux années 70/80 et aux héros de cette génération comme Van Halen ou Queen. Pas vraiment le style de la maison et pourtant les avis sont unanimes partout là où il est diffusé : ce morceau puissant et bourrin agit comme une drogue.
Un délice psychédélique accompagné d’un clip non moins farfelu. Décor cosmique et tenues héritées de l’an pèbre (il y a vingt ans en fait) : le portrait est jouissif. Une danseuse au panache éclatant en profite pour se secouer dans son petit leggings violet et exécuter quelques pirouettes. On atteint le summum du kitsch, à moins que ce ne soit celui de la tendance… L’intérêt du groupe réside un peu dans ce jeu très bien maitrisé et qui commercialement devrait faire mouche. La belle gueule du chanteur fait aussi l’affaire.
Un délice psychédélique accompagné d’un clip non moins farfelu. Décor cosmique et tenues héritées de l’an pèbre (il y a vingt ans en fait) : le portrait est jouissif. Une danseuse au panache éclatant en profite pour se secouer dans son petit leggings violet et exécuter quelques pirouettes. On atteint le summum du kitsch, à moins que ce ne soit celui de la tendance… L’intérêt du groupe réside un peu dans ce jeu très bien maitrisé et qui commercialement devrait faire mouche. La belle gueule du chanteur fait aussi l’affaire.
The Galvatrons n’a pas peur du ridicule et affiche sa différence. A tous les coups les australiens vont succomber, et l’invasion planétaire ne devrait pas tarder ; les contrats internationaux pleuvent sur leur bureau. L’album Laser Graffiti (on aime ce nom) arrive en juin.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire