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jeudi 26 novembre 2009

C'est à cause de Christina Aguilera que...


... Sia reporte son 4ème album studio au mois d'Avril.
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Le chiffre | Entre 1 et 2 millions


Coupons la poire en deux si vous le voulez bien et tablons sur un bon gros 1.5 million. C'est à peu près ce que devrait vendre Susan Boyle lors de sa première de vente avec son album I Dreamed A Dream. Révélée par l'émission Britain's Got Talent il y a 7 mois en interprétant le titre I Dreamed A Dream extrait de la comédie musicale Les Misérables, elle part aujourd'hui à la conquête des foyers avec cet album de reprises.

Alors que Billboard annonçait initialement des ventes de 300.000 exemplaires sur le sol américain, les chiffres ont rapidement été revus à la hausse, et c'est un joli score de 700.000 copies qui pourrait être atteint. Peut-être plus, peut-être moins, ce ne sont pour le moment que des estimations.

Du côté des anglais, Susan est réellement en train de battre des records, en particulier celui du premier disque le plus vendu pour une artiste féminine en première semaine, jusqu'ici détenu par Leona Lewis avec plus de 375.000 exemplaires de Spirit. Notre phénomène Boyle devrait quant à elle aisément dépasser la barre des 400.000 copies, ce qui nous amène déjà à un joli total d'1.1 million d'exemplaires pour ces deux marchés seulement. Tandis qu'une facile première semaine autour des 1.5 millions se précise, on la voit mal chuter tant que ça les suivantes, effet Noël oblige.
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Mary J. Blige, la pochette de Stronger With Each Tear...

C'est classe ! Mary J. Blige, quoi.

Pour rappel, ce 9ème album studio de Mary J. Blige, qui s'appelait initialement, Stronger, est actuellement porté par I Am, le second single. Sortie de Stronger With Each Tear, le 21 décembre.

Crédit pochette: Urbanbridgez.com
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Jennifer Lopez | Fresh Out The Oven


Après avoir enfanté comme il fallait, la bomba latina tente un retour sur le devant de la scène. Entre deux chutes sur son fessier rembourré, J.Lo s'essaye à la nouveauté. On l'attendait avec un truc catchy (parce qu'on a beau être mauvaise langue, Get Right c'était quand même bien sympa... y à 5 ans) et elle nous prend au tournant par surprise (qui tourne vite à la déception) avec un titre mi-brouillon mi-urbain intitulé Fresh Out The Oven pas vraiment réussi. Au final un titre assez mollasson, pas du tout plaisant, à la production pas exceptionnelle pour un sou servi par une vidéo mini budget: répétition des plans à gogos et publicité gratuite pour le dernier Gemey Maybeline Couleur Chica De Rio. On s'ennuie. Tellement qu'on n'est pas d'humeur à faire des jeu de mots pour dire que J.Lo est cuite. Oven, four, cuite. Non, on a pas envie.
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Remix de la Semaine • Groove Armada - I Won't Kneel (The Bloody Beetroots Remix)

J'ai (honteusement) oublié de vous présenter I Won't Kneel, le nouveau single de Groove Armada! C'est pour cette raison que j'ai décidé de vous faire découvrir un des remixes promotionnels de la chanson (commercialisée depuis le 23 Novembre 2009 dans les commerces british).

Et parmi les quelques remixes officiels, celui qui m'a plus le plus intéressé est celui proposé par Sir Bob Cornelius Rifo... plus connu sur le nom de The Bloody Beetroots. Il s'agit d'un remix aux sonorités électroniques qui a le mérite d'être assez efficace... quoique, il n'est pas super original (d'ailleurs, ça ressemble un peu à du Hadouken je trouve). Mais comme je l'ai sous-entendu dans ma précédente phrase, le résultat est globalement satisfaisant.

Pour découvrir le remix, cliquez sur le lien suivant:


En bonus, voici le clip officiel de la version originale de I Won't Kneel.


Crédit (lien "version originale"): Site Officiel de Groove Armada.
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Chanson du jour HM • Alicia Keys - Empire State of Mind (Part II) Broken Down

Vous êtes peut-être gavés par le duo que l'on entend absolument partout en ce moment dans le monde entier ? Vous savez, c'est le duo Jay-Z/Alicia Keys, duo dans lequel les deux new-yorkais rendent hommage à leur ville, New-York. C'est le fameux Empire State Of Mind. Oui, c'est la chanson en vogue en ce moment au États-Unis, puisqu'elle a atteint la semaine dernière, la plus haute marche du podium au Hot 100. C'est un petit exploit à signaler, car c'est le seul single de Jay-Z (parmi ses quelques 40), qui a réussi à accrocher le Top 1 aux États-Unis. Bref, mais désormais, ce titre, c'est du passé. Est arrivée aujourd'hui même, une nouvelle version de ce titre, il s'agit d'une second partie, appelée Empire State of Mind (Part II) Broken Down. Que les frileux du rap se rassurent, exit le rap de Jay-Z, puisque cette seconde partie est uniquement interprétée par Alicia Keys. Ce qui faisait la puissance de la version originale, le refrain, est gardé, et on a changé la mélodie, et ajouté des chœurs. Le tout est très réussi, très agréable. Il y a quand même, je pense, un point négatif, et non des moindres: les transitions entre les couplets et les refrains. Elles sont plutôt mauvaises je trouve, il y a une trop grosse coupure entre le couplet et le refrain, c'est trop brutal à mon avis. Hormis cela, tout est là, c'est du très bon Alicia Keys. Ah, j'oubliais, ce titre sera présent sur The Element Of Freedom, le nouvel opus de la chanteuse, dont la commercialisation est prévue le 15 décembre prochain aux États-Unis (le 11, en France).


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mercredi 25 novembre 2009

# 57 | J-Music Session • Girl Next Door - Orion

La semaine précédente, j'ai présenté le single hivernal de JuJu et il faut bien l'admettre, ce single n'était pas spécialement mauvais. Cette semaine, j'ai décidé de m'attarder sur le single hivernal de Girl Next Door. Mais avant de parler de la chanson en question, une toute petite présentation du groupe s'impose.

Pour faire court... Girl Next Door est un trio mixte composé de Chisa (interprète), Inoue Yuji (Guitariste) et enfin de Daisuke Suzuki (compositeur et membre de feue Day After Tomorrow). Ce groupe a été formé en 2008 afin de commémorer les 20 ans d'existence d'Avex Trax, l'un des plus gros labels de l'archipel nippon (pour rappel, il s'agit de la maison de disques d'Ayumi Hamasaki, Kumi Koda et autres idoles/groupes du genre). Malgré l'importante campagne promotionnelle mise en place, on ne peut pas dire que le succès soit des plus retentissants (bon, ils ont obtenus que des tops 10 mais les ventes ne sont pas exceptionnelles)... allez savoir pourquoi mais j'ai ma petite idée sur la question.

Trêve de plaisanteries, revenons à nos moutons et intéressons-nous à Orion, la chanson titre du septième single du groupe (ça tombe bien, il sort aujourd'hui dans les commerces japonais) D'ailleurs, cette piste sert de support promotionnel pour le drama intitulé Untouchable (une comédie d'après les informations que j'ai trouvées). Après plusieurs écoutes attentives de la chanson, un regrettable constat s'impose: musicalement parlant, c'est dépassé et qui plus est, extrêmement cliché (nappes de synthé insupportables, clochettes énervantes et n'oublions pas l'interprétation "très convaincante" de Chisa). C'est simple... j'ai l'impression d'entendre un mauvais single de feue Day After Tomorrow ou de Nami Tamaki... c'est triste!

Bien entendu, un clip a été tourné: bon, il n'est pas spécialement moche mais terriblement ennuyeux (et cliché... bonjour la forêt enneigée). Si vous avez envie de le découvrir, cliquez sur le lien ci-dessous:

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Adam Lambert lève le voile sur le clip de son premier single



Alors que son premier album, For your entertainment vient de sortir (et que c'est, comme nous vous l'avons dit, plutôt sympa, chose que nous confirmerons dans une critique à venir), Adam Lambert, malheureux (?) finaliste d'American Idol lance son premier single officiel : For your entertainment. Une piste électro pop, on s'en serait douté à la vue des influences du garçon, désormais illustré par un clip... à l'image du chanteur. Adam Lambert campe le roi (il est assis sur un trône !) d'un club un peu glauque et plutôt chaud. Ça s'embrasse, ça danse, et ça prend des serpents sur le cou. Du cuir, une canne (façon "Bown-tou-bi-alaïve"), et voilà que le costume d'Adam Lambert est terminé.
Ça ne transcende rien, mais c'est sympathique, pour un sortant d'American Idol. On tiquera juste sur le choix du premier single, tant les titres plus évidents ne manquent pas, dans l'album.
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On ne vous l'a pas dit ...

... Mais on vous a raconté des conneries.

Il y a peu, on vous annonçait que le groupe Alphabeat, qui a rendu ses lettres de noblesse à ce que l'on appelle communément la cheesy pop, s'apprêtait à sortir un second single issu de l'album The spell. Jusqu'ici, pas de problèmes. Mais alors qu'on vous parlait de DJ, il s'avère en fait que le nouveau single du groupe, c'est Hole in my heart, qui sortira outre-Manche le 22 février, comme confirmé par leur site officiel. Mea culpa donc de notre part, on avait fumé la paille etc ...
Le point positif dans tout ça, c'est que c'est exactement le titre qu'on souhaitait voir sortir, donc on est vraiment contents de s'être gourrés, pour le coup. Et puisqu'on est vraiment chanceux niveau pronostics en ce moment, on va parier sur Chess, Always up with you ou Heat wave pour le 3e.

Vous pouvez écouter l'excellent Hole in my heart ci-dessous.

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Critique • Ingrid Michaelson - Everybody


Ingrid Michaelson est typiquement l'une de ces artistes dont on entend peu parler mais que les médias adorent - et nous aussi. On n'est pas avides de compliments quand il s'agit de qualifier le travail de la jeune new-yorkaise qui fait régulièrement les belles heures de Grey's Anatomy, un show duquel il est difficile de dissocier sa musique, tant elle a été de nombreuses fois utilisée (pas plus tard que dans le dernier épisode, d'ailleurs). On vous avait brièvement parlé en août de la sortie du dernier album de cette dernière, Everybody, sans prendre le temps de développer. La fin d'année approchant, nous nous retournons désormais sur ces albums qui ont marqué 2009, et Everybody en fait partie. Il n'est jamais trop tard pour bien faire.

Dire que Everybody s'arrête là où Boys & girls s'était arrêté serait mentir. On sent une réelle évolution dans le son d'Ingrid, qui a trouvé véritablement sa voie / voix avec ce style acoustique propre à la "débâcle des sentiments", mais qui s'avère terriblement efficace chez elle. Pour faire rapide, Ingrid Michaelson se présente avec ce nouvel album comme une sorte de tailleuse de diamants moderne. Sa recette ? De petites mélodies généralement pas très compliquées qu'elle cisaille et polit en posant sa voix dessus. C'est toujours très frais, toujours sur le fil, toujours fragile on a envie de dire, mais en même temps se dégage de la frêle jeune femme une force assez hallucinante. Si l'on ajoute à ça des textes touchants sur l'amour dans ses grandes largeurs et ses petites douceurs, on obtient un disque qui frôle avec douceur les oreilles, rempli d'une émotion qu'on sent sous-jacente mais qui ne déborde jamais.

L'amour est et a toujours été le sujet de prédilection de 99% des artistes, et l'on en a sûrement fait le tour. Ou peut-être pas tout à fait. Ingrid Michaelson, avec son petit corps et sa grande voix (on aurait presque envie de l'imaginer comme une Patty Griffin encore ado) nous raconte ses histoires d'amour enfantines, qui suivent les aléas des sentiments avec un positivisme souvent à toute épreuve. Le meilleur exemple est sans doute Maybe, premier single et titre qui clôt l'album, ballade somptueuse qui parler de l'espoir, l'espoir du retour de l'être aimé, avec cette force quasi désespéré. Le titre n'est en revanche pas vraiment représentatif de l'album, qui contient généralement des titres bien moins instrumentalisés, et qui privilégie les silences aux cris. On valide. Le bijou de l'album pour nous, c'est le petit The Chain, dont le refrain en voix de tête part vers les hauteurs en vous emportant, sans jamais vous lâcher. Seuls un piano et la voix d'Ingrid Michaelson accompagnent ce titre doux-amer, abordant une fois encore le départ de l'être aimé, avant d'éclater en chœurs angéliques, rappelant l'inédit Turn to stone, qu'on avait adoré au possible.

On trouve malgré tout bien plus positif dans l'album, notamment le titre qui donne son nom à l'album, le jouissif Everybody. Le refrain reprend en chœur un "Everybody, everybody wants to be loved" qui vous donnera envie de taper du pied. La guitare et le "ooh-owoh-oh" font tout le sel de la chanson qui ne ferait pas tâche à la fin d'un Disney - le côté cheesy et cheap en moins, bien entendu. Quand on parle de Disney, c'est dire si la douceur et l'entrain de l'artiste donnent le sourire. Sourire qu'on garde pour le poétique Incredible love et le mignon Mountain and the sea, qui métaphorise l'amour de la façon la plus touchante qu'on ait entendu cette année. Sort of, quant à lui, joue sur le côté geek un peu lunatique qui a fait la célébrité et le charme d'Ingrid avec The way I am, notamment. Men of snow, qui traduit parfaitement cette idée d'hiver musical, et Once was love, plus pêchu, donnent un bilan plus amer des relations amoureuses, qui semblent ici vouées à l'échec. Mais le miracle, c'est que la voix d'Ingrid, parfois glaciale par sa précision et sa clarté, s'avère aussi chaude que l'été dans les sentiments qu'elle cherche à faire passer - et ça marche, ça marche vraiment.

On retrouve une Ingrid impatiente comme une enfant (encore une fois) mais toujours fragile et touchante dans So long et Are we there yet, le texte de ce dernier ayant une saveur particulière pour une artiste qu'on sait souvent en tournée à travers le monde: elle demande avec espoir dans la chanson si elle est déjà arrivée à la maison, sans succès. On sera aussi touché par Soldier, le titre qui ouvre l'album, et qui joue habillement avec le parallèle entre le combat d'un soldat et la bataille qu'est toute relation amoureuse - un de nos grands favoris parmi l'album. Locked up, enfin, garde cette perspective innocente et amère à la fois sur les multiples chemins que propose la vie et la difficulté de s'ouvrir aux autres. L'album, comme un conte, s'ouvre et se lit / s'écoute comme on écouterait attentivement un grand-parent attentif et souriant.

Ce qu'il faut retenir d'Ingrid Michaelson, c'est que c'est une artiste dont on entendra encore parler d'ici quelques années, tout simplement parce qu'elle a su amener de la personnalité dans le style de musique qu'elle a choisi. Elle nous rappelle un peu une certaine Sarah McLachlan - en moins dépressive, parfois - dans ses textes forts et accessibles à la fois qui prennent vraiment la force qui est la leur grâce à l'interprétation mature et nature de l'artiste. Au-delà des grandes orchestrations divaesques, au-delà des pouvoirs larmoyants d'un orchestre de violons qui s'accélère, il y a les artistes qui n'ont pas besoin de musique pour faire passer les émotions qu'ils souhaitent transmettre: la magie de la voix opère seule. Il n'y a pas de fioritures, de trémolos mal placés ou de tirades moralisatrices: juste la simplicité d'une artiste qui garde les pieds sur terre, le cœur sur la main et sa voix dans vos oreilles, on espère.

Du côté de l'info qui sert à rien, on vous dira que les visuels de l'album sont sublimes. Voilà, vous ne ferez pas les surpris.

On garde : Surtout The Chain, Everybody, Maybe, Once was love & Soldier, et on les place dans une série TV à un moment propice.
On ne jette strictement rien, tant tout raconte une histoire qu'il serait difficile de se refuser à écouter.
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Clip | Timbaland feat. SoShy • Morning After Dark

Le moins que l'on puisse dire, c'est que Morning After Dark, le premier single du nouvel album de Timbaland, a du mal à décoller (la chanson n'est toujours pas entrée dans le Hot 100). Mais au fond, peu importe car aujourd'hui, je vous invite à découvrir le clip officiel qui accompagne ce titre.

Une chose est sûre, ce clip a le mérite d'être bien réalisé et les fans de Twilight risquent d'être aux anges car l'ambiance qui se dégage de ce clip est assez proche de celle présente dans les films. Seule fausse note: les mimiques parfois grotesques de Timbaland. A noter également que Nelly Furtado est totalement absente (aussi bien dans la vidéo que dans la chanson).

Pour (re)voir la vidéo (dans sa version longue qui dure pas moins de 7 minutes), cliquez sur lien suivant:

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La pochette du nouvel album de Sade ressemble à ça...


... et c'est très joli.

Soldier of love, le nouvel album, très attendu, de Sade, sera disponible le 8 février 2010. Plus d'informations dès que possible, évidemment.

Merci à Jive Epic.
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mardi 24 novembre 2009

Robbie Williams propose Morning Sun en France...

Est-ce une nouvelle fois la preuve de l'exception culturelle française ou bien un choix propre à NRJ ? Toujours est-il que la radio #1 chez les jeunes a préféré le titre Morning Sun à You Know Me pour succéder à Bodies dans la promotion de l'album Reality Killed The Video Star. Ce choix est d'autant plus étrange que le second single anglais se débrouille plutôt bien dans les charts UK et, surtout, qu'il sample un titre de Françoise Hardy, Voilà. (précision qui, au passage, ravira Stéphane qui lui voue un culte sans faille...). Ceci dit, et cela peut se comprendre, le côté rétro et kitsch sur les bords de ce titre a probablement refroidi les programmateurs radios (sans parler du clip lapinesque qui l'accompagne ^^).

Pour en revenir à Morning Sun, Robbie Williams a précisé, lors de son passage au Grand Journal, qu'à la base le titre se voulait être un hommage à Michael Jackson pour, au final, s'avérer être un titre plus autobiographique que prévu. Dans la lignée des ballades qui ont fait son succès, le titre devrait sans trop de mal porter l'album en cette fin d'année et lui permettre de faire mieux que Rudebox au final. L'avenir nous dira si nous avons raison... en attendant, on vous laisse découvrir le titre en live.


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Une petite mise au clair s'impose...

Les derniers mois ont été chargés, pour un petit site comme Hall-Musique qui montre qu'il est parvenu à élargir son public d'une fort belle manière. Nous tenons d'ailleurs à entamer cet article par de vifs remerciements qui vous sont adressés, chers visiteurs qui nous permettez de battre chaque mois, notre record de fréquentation, et de faire de Hall-Musique un site chaque jour un peu plus reconnu.

Et si les derniers jours ont été chargés en actualité, et que la courbe des visites montre une inclinaison positive toujours plus impressionnante, ils l'ont également été par une sorte de vendetta, menée par une poignée de personnes qui semblent vouloir nous prêter des intentions qui sont tout, sauf les nôtres. Une petite mise au point semble donc nécessaire, après un an et demi de (bons et loyaux, nous l'espérons), services.

Nous ne sommes pas des chasseurs de scoops. Nous avons eu, à plusieurs reprises, l'occasion de lire que nous parlions de l'artiste X après quelqu'un et que donc "han non c'est pas une découverte haaan". Il suffit le plus souvent de regarder les libellés de l'article en question pour s'assurer que non, à aucun moment nous ne prétendons détenir un scoop, ou être les premiers à vous parler d'un(e) artiste. Nous ne sommes qu'un relais, au milieu de la multiplicité de sites, forums, et plateformes musicales existantes. Et quand c'est le cas (quand on nous envoie une information "exclusive", quand on nous fait part d'une information au détour d'une interview, ou quand nous sommes les premiers à mettre en écoute un titre qui vient d'apparaître sur le web), alors là oui, nous mentionnons, dans les libellés "Exclusivités". C'est d'ailleurs dans ces cas là que nous retrouvons Hall-Musique cités sur d'autres sites, forums, ou sur Wikipedia, par exemple. Donc non, vous l'avez compris, nous ne prétendons pas lancer des artistes ou être les premiers à en parler.

On nous accuse aussi, paradoxalement, de parler "d'artistes dont tout le monde se fout, parce que si on ne s'en foutait pas, ils auraient du succès" (un must, cette phrase, d'ailleurs). Il semblerait que les interviews de Kate Miller-Heidke, Lenka, Lights, et autres artistes assez peu (pour ne pas dire pas du tout) médiatisés en France aient joué un grand rôle sur la "notoriété" du site. La courbe des visiteurs semble donc contredire ces propos, sans vouloir en faire un argument unique, évidemment.

On nous reproche de mélanger "artistes très connus" et "artistes dont tout le monde se fout" (cf. plus haut). C'est justement un de nos points d'honneurs : pour offrir une possibilité aux artistes d'avoir un écho dans le monde francophone, nous parlons aussi d'artistes confirmés. Parler uniquement d'artistes connus ? Il y a un tas de sites très connus qui font ça à merveille : ce n'est pas notre rôle, pas notre but.

On nous reproche de prétendre être objectifs : ah bon ? Nous sommes tout sauf objectifs, et nous ne nous en cachons pas. Au contraire, nous l'assumons totalement : je suis fan de The Killers, Delta Goodrem, Cédric est fan de Britney Spears, Rémy de Christina Aguilera : arrêtons-là l'inventaire et il vous suffit de lire les articles portant sur ces artistes pour voir que notre subjectivité est tout à fait déclarée, et que nous la tournons, le plus souvent, avec (un peu d') humour.

Nous ne sommes pas journalistes. Eh non, uniquement des amateurs, passionnés de musique, comme vous, je crois. A ce titre, nous avons beau faire tous les efforts du monde pour que nos informations soient les plus correctes possibles, des coquilles peuvent se glisser, par ci, par là. Signalez les nous, et nous les corrigerons, en vous remerciant.

Je passe sur les petits commentaires sous-entendant que nous pratiquons le pillage de photos (quand les photos sont prises sur Last Fm par exemple, et alors que, lorsqu'elles le sont sur un site ou Myspace, nous l'indiquons à chaque fois. Et quand ces soupçons portent sur une pochette d'album connue depuis des mois, là, désolé, mais je ne peux rien faire pour y répondre, vraiment ^^). Pareil pour les informations : comptez le nombre de fois où nous citons les membres de forums, les managers, les sites à l'origine de l'information, et osez nous dire à nouveau (ou le sous-entendre) que nous sommes malhonnêtes, de quelle forme que ce soit.

Malgré tout cela, vous êtes chaque jour plus nombreux et nous vous en remercions vivement.
Malgré tout cela, plusieurs maisons de disques ont choisi de tisser des liens avec nous (Jive Epic, Sony, Universal, Nettwerk, Scorpio...) et nous les en remercions vivement, aussi.
Malgré tout cela, nous prenons un plaisir immense à contribuer à vous faire découvrir des artistes, en casser certains (mais jamais bien méchamment, avouez-le) ou à sortir des blagues potaches (celle sur Fleury-Michon postée récemment est, je pense, un très bonne exemple : on ne félicite pas Romain).
Malgré cela, des artistes continuent à nous remercier lorsque nous parlons d'eux : Kate Miller-Heidke, Lights fréquemment, Paloma Faith, Marit Larsen, Najoua Belyzel, Laura Jansen aujourd'hui encore...

Alors, la seule chose que je peux ajouter, je crois, c'est de continuer à nous faire des suggestions, des remarques et des conseils : nous les acceptons avec plaisir. Faîtes le juste en y insérant une dose de sympathie, et pas une concurrence exagérée pour essayer de déterminer qui en a parlé en premier : nous ne souhaitons pas participer à ce jeu.

En vous souhaitant, bien sûr, une bonne lecture quotidienne (et plus ^^ !)

L'équipe Hall-Musique.net
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Cassette Kids • Lying around


Ils sont jeunes, ils sont beaux, ils sont australiens, ils font du surf et ont mangé beaucoup de céréales ce matin, voilà les Cassette Kids ! (On avait envie d'une présentation à la Philippe Risoli pour le coup, je crois que c'est réussi) Résolument inspiré eighties eux aussi - faut-il vraiment vous rappeler les fameuses cassettes audio que l'on a tous connu plus jeunes ? - ces quatre copains (trois garçons, une demoiselles blonde) gagnent en 2007 à Sydney un concours à la recherche de jeunes talents qui leur permet d'enregistrer leur premier album. Partant en tournée et jouant sans cesse des festivals et autres, ils se forgent un petit nom dans le milieu électro / pop / rock aussie (qui est un petit milieu, apparement).
Ils reviendront donc en 2010 avec un second opus intitulé Nothing on TV ( nous allons nous abstenir de chanter Razorlight, merci bien) et le premier single s'appelle Lying around. Si vous aimez Ladyhawke et ses rifs de guitares bien placés, vous adorerez les Cassette Kids, qui se placent dans la lignée directe de l'artiste qui a cartonné outre-Atlantique avec son My Delirium. Bref, ces quatre jeunes gens dans le vent ont les dents qui rayent le plancher et l'ambition au diapason, et ça devrait bien marcher pour eux, y'a pas à douter. En attendant la sortie de l'album, ils secoueront plusieurs scènes australiennes cet hiver. On vous dit pas ce qu'on loupe, nous, les Européens.

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La suggestion ? Hurts • Wonderful life


Oyé, oyé, fidèles lecteurs. A vous qui n'arrivez pas à vous empêcher de penser à Fleury Michon à chaque fois que vous lisez les mots "Wonderful life", nous avons la solution. Oubliez ces ridicules publicités qui reprenaient le classique de Black, découvrez Hurts ! On vous rassure direct, il ne s'agit pas d'une reprise (vous avez le droit de pousser un soupir de soulagement et de retourner enrouler vos tranches de Fleury Michon). On reste cependant dans un certain esprit vintage avec ce titre très fortement inspiré 80's - ce qui n'est pas pour nous déplaire.
Le tout commence très doucement, avec un son quasi atmosphérique, qui nous rappelle les plus sombres épisodes de Cold Case, avant d'exploser durant le refrain, véritablement épique, on a envie de dire. La bonne nouvelle c'est que les trois amis, à la recherche d'une maison de disques, ont été apparemment signés par Sony (merci à Paolo sur UKMix) - ce qui implique à fortiori que l'on devrait entendre davantage des trois compères dans un futur (très) proche. Si tout évoque aussi délicieusement le meilleur des eighties, on signe de suite.
Pour finir, on vous propose de visionner le clip, et on vous interdit DE SUITE de critiquer son côté cheap. Pensez donc, les pauvres avaient un budget serré au possible et n'avaient pas encore été signés. Nul doute qu'un nouveau clip, plus cher et plus fourni on espère, verra le jour sous peu. On vous tient au courant, et pendant ce temps-là, on retourne danser sur ce merveilleux Wonderful Life (si vous souhaitez investir pour nous aider à acheter de bonnes chutes pour nos articles, nous prenons les dons privés, merci d'avance).

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Critique • John Mayer - Battle studies


Un nouvel album de John Mayer, c'est un peu comme un bon vin - on n'en trouve pas tous les ans, mais quand on en a finalement un entre les mains, on sait d'abord et avant tout qu'il sera de qualité, mais surtout qu'on le savourera. Le classieux John, on va pas se mentir, n'a pas sur le vieux continent la même popularité qu'aux Etats-Unis, où les sept dernières années l'ont érigé en petit prince du pop / rock / blues made in US, mais chez Hall-Musique, on est fans depuis un bon moment et on ne pouvait décemment pas laisser passer ce nouvel opus sans vous en faire une petite critique.

Ce qu'il faut en retenir c'est que c'est un John Mayer en forme qui nous revient avec Battle studies. Autrefois rêveur, l'artiste offre dans ce nouvel album des textes plus sombres et plus profonds peut-être, où il s'engage surtout davantage. Il semble y avoir une vraie dimension personnelle dans cet album, une véritable mise en abyme, qui sert peut-être de catharsis. Ca, c'était pour les grands mots. Pour faire simple, l'artiste livre ce 4e album studio un peu comme un journal de ses propres combats intérieurs. Tour à tour un peu provoc' avec Who says, qui envoie valser les beaux principes et prône la liberté de l'individu, avant de se montrer beaucoup plus profond et meurtri dans un Assassin somptueux, qui dure sans s'étendre et prend aux tripes, John Mayer joue avec la corde sensible sans jamais trop tirer dessus. On adore aussi le ton plus léger de Half of my heart, son duo avec Taylor Swift, qui apparaît comme la pièce la plus légère de ce puzzle assez ténèbreux, mais qui ferait un excellent single, avec son refrain qui reste en tête. Plus électrique, Crossroads, quant à lui, en devient presque funky, tandis que All we ever do is say goodbye a des allures de comptine qu'on écouterait pour s'endormir (dans le bon sens du terme), même si un peu long, peut-être, pour le coup.

Les textes, surtout, ne sont pas laissés de côté. John Mayer a toujours été un très bon auteur-compositeur (il suffit de lire les paroles quasi révolutionnaires d'un Waiting on the world to change pour s'en convaincre) et ne tombe que très rarement dans le sentimentalisme dégoulinant. Edge of desire, un tantinet longuet, se rattrape par sa construction musicale et ses paroles bien senties. On adore aussi Heartbreak warfare, le second single, qui montre une facette totalement différente d'un Who says qui a pu en rebuter certains par sa simplicité musicale (volontaire, évidemment). Le côté chanson nocturne imprègne bon nombre des titres de l'album, à commencer par Friends, lovers or nothing, magnifique titre. Perfectly lonely et ses guitares enjouées rappelleront à certains le John Mayer de Room for squares & Heavier things, tandis que Continuum reviendra à l'esprit d'autres au travers de Friends, lovers or nothing, notre petit coup de coeur dans cet album, dont on a vraiment pas fini de vous parler. Ca reste définitivement sur le cœur, justement, à contrario de ces albums qu'on adore écouter mais qui se contentent d'un plaisir sur l'immédiat. Parce que oui, il y a une vraie notion de durée dans Battle studies. Les titres sont pour la plupart longs, n'obéissant pas aux schémas pop des 3 minutes 33, et prennent le temps de se développer, de grandir et surtout, de dire quelque chose.

C'est pour résumer typiquement le genre d'album que l'on écoute la nuit tombée, la tête vidée de tous les ennuis de la journée, et qui fait réfléchir, au delà du plaisir strictement musical qui est aussi évidemment là. John Mayer sait chanter, jouer de la guitare, raconter des histoires et ce de plus jolie et troublante des façons. Avec Battle studies, il livre son album le plus personnel, mais du coup celui aussi qui rentre le plus vite dans votre tête et votre cœur. Ce sont 11 petites histoires, 11 pistes musicales, qui évoquent la vie, l'amour, la solitude avec brio. On a envie de héler un taxi new-yorkais, se laisser tomber sur le siège arrière et passer la nuit à écouter la musique en regardant par la fenêtre les néons incandescents et les trottoirs qui ne désemplissent jamais.

On garde : Friends, lovers or nothing, Half of my heart, Assassin, Who says et Perfectly lonely en priorité. De purs bijoux.
On jette : Do you know me, pour son manque de punch à la limite, et Crossroads, pour son rythme qui tranche un peu trop avec le reste - mais les deux restent d'excellents titres.
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Laura Jansen • Wicked world


Souvenez-vous de Laura Jansen. Mais siiii, la jolie hollandaise (qui n'est en fait qu'à moitié hollandaise, d'ailleurs) qui tentait de percer dans le milieu de la musique à grands coups de petites ballades bien écrites et bien chantées, mais un peu perdue dans la masse des ... euh, chanteuses qui écrivent bien, qui chantent bien mais qui ne percent pas ? On est durs, c'est vrai - mais c'est parce qu'il y a un vrai potentiel chez cette jeune fille. Après un premier single intitulé Single girls qu'on avait bien aimé quand même, et dont on vous a déjà parlé il y a quelques mois, elle revient avec un album - le bien nommé Bells - qui sonne déjà comme un petit écrin pop acoustique.
Et pour lancer cet album, un second single a été choisi, le trépidant Wicked world. On sent la volonté de donner une autre dimension à sa musique, et de ne pas s'enfermer dans le piano voix déprimant, ce qui est un bon point pour nous (et pour vous aussi, sûrement). Y'a un petit côté Lenka aussi, donc on parierait bien sur l'exportation, nous.

Pour écouter ce nouveau single, cliquez sur le lien. Oui, CE LIEN-LA.

En bonus, retrouvez sa reprise de Use somebody des KOL (oui, nous utilisons des abbréviations parce qu'on est hype) en cliquant sur ce lien, ainsi que le titre qui a donné son nom à l'album, en toute fin d'article.
Elle est talentueuse, nous sommes tous d'accord. On a donc ... euh, acheté son album, oui, et on vous donnera de ses nouvelles au plus vite. Promis juré craché.


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Noah & the Whale - The First Day Of Spring


Young and Lost Club/Cherry Tree/Vertigo

Noah & The Whale, groupe indie-folk anglais formé en 2006, a sorti son 2ème album en septembre, et il fera sans doute parti de mon top 3 de l’année.

Il perfore chaque point sensible de tout mélomane digne de ce nom : la pochette est à tomber, le titre du disque fait rêver, et musicalement ce n'est ni une sucrerie, ni un festin, ni une expérimentation de terroir...mais un repas sobre, complet, sensible, amical !
Si les Noah & The Whale vont moins loin que Sigur Ros à leurs plus grandes heures dans l'atmosphère, ils le compensent par quelques mélodies plus rapides (Love of An Orchestra, Stranger, Blue Skies), et surtout des thèmes, une poésie plus accessible que les extra-terrestres islandais, et des cordes qui semblent parler d'elles même !
Les sensations de longueur des 2/3 premières écoutes sont complètement évaporées dès que l'on comprends le sens des paroles. Ce n'est que partiellement une méditation larmoyante sur la séparation amoureuse. Il n’y a pas ici d’esprit de vengeance ni d’idées dépressives... Ce disque parle du stade où l’on comprend que le couple n’a plus de raison d’être (Our Window), de la post-frustration, de la reconstruction...et en cela ça me fait rapprocher ce disque au Blood On The Tracks de Bob Dylan.
Ce disque, qui raconte la séparation de Charlie Fink (leader du groupe) de sa compagne Laura Marling, en fait, se dispose en 3 actes :

Ier acte : La séparation.
On a le droit d’abord sur The First Day Of Spring au stade post-rupture où l’on admet la séparation et la renaissance qui va suivre, tout en gardant à l’esprit la possibilité de retour, le tout dans un atmosphère musicale cinématique, lent mais extrèmement intense (c’est le titre le plus digne de Sigur Ros). Puis un flashback sur l’état de saturation précédent la séparation, sur Our Window . Mais la fin, clin d’œil à Blue Skies, annonce des jours meilleurs. Pourtant dans les 2 titres qui suivent on frise le désespoir, mais il n’est que chagrin. Le malheur exprimé est surtout celui de la prise de conscience de l’utopie de l’amour, des vices et maux qu’il provoque.

Acte II : Nous
Dès les premières note du premier instrumental, on comprend que le sursaut va jaillir. Le sursaut vient des autres, matérialisé par les chœurs. Ce moment d’euphorie montre la distance que prend Charlie Fink par rapport à son état. Le rythme est plus rapide, la mélodie semble provoquer l’impatience…et l’on semble tout à coup tout oublier de la mélancolie du début du disque.

Acte III : l’amour
Le souvenir du bonheur passé refait surface, après une bref évasion. Cependant Charlie s’est séparé du spectre de cet ancien amour, auquel il s’était attaché quelques temps. Il traite de la culpabilité, qui l’anime en ayant une amante passagère Stranger, un des titres les plus touchants de l’album, révélateur de la démystification que provoque les rupture sur l’amour. Blue Skies, titre le plus « positif » de l’album, marque la rupture définitive et la renaissance affective. Ce titre est fraternel, chaleureux, imparable ! On finit par la prise de conscience que ce qui s’est passé est irréversible, mais qu’on peut quand même rester « amis » et continuer à s’admirer/s’estimer. Les 2 derniers titres sont plus folk, plus apaisants.

Les Noah And The Whale (leur nom fait référence au réalisateur Noah Baumbach, et ils associent un court-métrage à ce disque) nous offrent un album très cinéphile et fort bien ciselé.
Par ailleurs, ils donnent une impression de sincérité et d'intelligence très peu atteinte cette année : chaque choix d'instrument, chaque note semble choisie selon l'émotion à véhiculer. Après quelques écoutes, j'ai vraiment l'impression que cet album provoque un courant, c'est un petit ruisseau, issu de la fonte des neiges de mars, qui parcours toutes les vallées pour mener au Delta marécageux, représenté par les "bruits de libellule" digne du sitar de Shankar, sur Slow Glass.









Ils seront en concert à la Maroquinerie (Paris) le 8 décembre. J’y serai !
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Erik Hassle & Ellie Goulding reprennent du Robyn !

Parce qu'on aime bien ne pas parler de tous les artistes NRJ, parce qu'on aime bien parler de ces artistes complètement inconnus en France (ou presque), et de contribuer à leur notoriété naissante, avec quelques autres blogs, ceci sera donc à peu près le 400ème article sur Erik Hassle. Et puis on va en profiter pour évoquer à nouveau Ellie Goulding, annoncée comme un des prochains gros succès britanniques (la même chose était prédite pour Erik Hassle mais avouons-le, ça tarde à arriver, un peu).

C'est Popjustice qui a lancé le titre aujourd'hui, en en offrant gracieusement un mp3 : parce que quand Ellie & Erik reprennent un des tubes d'une artiste que l'on adore (notez, à nouveau, l'absence d'objectivité, ici), la merveilleuse (subjectivité toujours) Robyn, ça ne peut qu'être particulièrement sympathique. Et ça tient ses promesses, oh oui oui oui oui.

Alors, on aurait pu attendre une reprise de la version originale du titre, Be mine, connaissant les penchants d'Ellie pour des sons saupoudrées d'électro. Il n'en est rien, et tous deux ont finalement opté pour une reprise sobre, épurée, et acoustique, de la chanson. Robyn en avait d'ailleurs fait une magnifique version au piano, également.
Non, vraiment, ces deux-là vont aller loin (on y croit !). Rappelons d'ailleurs que Hurtful, d'Erik Hassle sortira en janvier au Royaume-Uni.

Télécharger le titre (via Popjustice)
Ecouter un extrait (via Popjustice, aussi)


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