Nâdiya, Comme Un Work (Part II?)

Je vous arrête de suite : non, il n'y a pas qu'en France où on exploite un filon jusqu'à satiété, non. Mais quand une artiste française obtient son 1er numéro 1 de carrière avec un chanteur international qui obtient lui aussi son 1er numéro au top Singles, forcément qu'on a envie de réitérer la chose...

Tired Of Being Sorry (ou, pour les chauvins, Laisse Le Destin L'Emporter), 1ère collaboration entre Enrique Iglesias et Nâdiya (l'ancienne athlète devenue chanteuse sponsorisée par une célèbre marque de ventilateurs), a été le succès surprise de l'année chez nous. D'autant qu'il s'agit à la base d'un titre du dernier album d'Iglesias qui est passé légèrement inaperçu partout ailleurs. Au total, ce sont quand même quelques 335 000 exemplaires qui ont trouvé preneurs dans nos supermarchés, soit presque 17 fois plus que ce que la belle a pû vendre de son dernier album en date, La Source. On ne rit pas, merci...

Quoi de plus normal, donc, que de voir Nâdiya vouloir devenir une nouvelle artiste à featurings. Après, n'est pas T-Pain/Lil' Wayne qui veut (qui a dit heureusement?) mais Nâdiya est allée chercher (ou bien est-ce l'inverse?) celle qui a fait le bonheur des clubbeurs cette année en France (et un peu partout dans le monde aussi), Kelly Rowland. Et quand l'ex-Destiny's Child s'associe à notre Sporty Spice à nous, ça donne No Future In The Past, un morceau mélangeant évidemment français et anglais (parce que si on veut que ça se vende en France, il faut bien que le public comprenne un peu les paroles) et qui n'est pas sans rappeler justement... Work, le tube de Miss Kelly.



Le gros bonhomme rouge à la barbe vous attend avec le HQ vous savez où. De quoi patienter juqu'à... la prochaine collaboration entre Enrique et Nâdiya qui a d'ores et déjà été confirmée... Originalité, j'écris ton nom.