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vendredi 24 juillet 2009

Après M. Pokora, Sliimy. Dur.

Il est la première signature du label de Perezhilton, le gros lard qui fait peur à Lindsay.
  • Point positif ? Le nombre de commentaires d'américains qui annoncent déjà qu'ils n'achèteront pas cet album car produit par Perez.
  • Point négatif ? Sortie de l'album aux USA. L'image de la France n'a jamais été aussi mauvaise (et pourtant !). A croire que notre gouvernement n'a pas peur d'un nouveau boycott de nos french fries.
  • Autre point positif ? Pendant qu'il est là-bas, il n'est pas ici.
Han han haaaan han t-t-t-t-t-truuuuust mehaaaaan !

2 commentaires:

Anonyme a dit…

C'est un jugement ridicule, avez vous seulement écouté l'album en jugeant musicalement.
On trouve de tout et n'importe quoi, une critique digne d'une discution de PMU. Vous parlez de tout sauf de musique ? Pendant que Sliimy crée vous alimenté le net de bêtises c'est triste.

Stéphane Brunet a dit…

De la même façon que Sliimy alimente le monde de la musique d'un ersatz de Lily Allen, Kate Nash, et toute cette pop qui marche outre-manche, le tout avec un charisme à en faire pâlir d'envie une planche à repasser. Donc oui, tu l'as compris, nous avons écouté l'album. Il n'est cependant pas de notre ressort d'encenser quelque chose qui nous a déplu du début à la fin.

(On parle de tout sauf de musique ? Sliimy, aussi mauvais soit son album, reste un musicien, il me semble :))


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