Dans la carrière de LeAnn Rimes en France nous n’avons véritablement retenu qu’un titre, Can’t fight the moonlight. Tube emblématique, signature de l’artiste, qui depuis n’a plus pointé le bout de son nez chez nous, ou trop peu. Mais heureusement, il est des contrées plus clémentes pour ce type d’artistes, comme sa terre natale, les Etats-Unis ! Au pays des cow-boys, la blondinette s’est faite connaître très jeune. Elle s’illustre depuis dans un genre presque exclusif à ce pays, la country. C’est d’ailleurs dans ce répertoire que puise son dernier album studio en date, Family, sorti fin 2007 en Amérique du Nord. Un disque ayant reçu des critiques prestigieuses mais peu couronné par le succès. D’entre toutes les pistes, une à dès le début attiré plus particulièrement l’attention, et c’est elle qui fait l’objet de l’article : What I cannot change. Chanson qui a d’emblée séduite les fans et moins fans et qu’un bloggeur de pacotille répondant au « doux » nom de Perez Hilton s’est empressé d’encenser. Un morceau mélancolique, sur lequel LeAnn fait preuve d’une sensibilité à fleur de peau. Sa voix particulière n’a jamais été mieux servie qu’accompagnée de cette mélodie brute et sobre à la fois. L’émotion que l’on ressent à l’écoute de What I cannot change et à la lecture du texte est belle, et aussi réel que le message que Miss Rimes tente de faire passer.
C’est donc tout logiquement que cette ballade vient d’être choisie comme troisième extrait de l’album. Après l’échec du second single (il faut avouer choix très mal orchestré), ce titre pourrait permettre à la Mississippi Girl de s’envoler vers la tête des charts. C’est là tout le mal qu’on lui souhaite.
Lancement en radios country (USA) : 19 août
Vous pouvez écouter le titre ici:
http://youtube.com/watch?v=umjRT6m4eec
Aurélien.
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