Si mes souvenirs sont bons, nous n’avons jamais évoqué Miranda Lambert sur Hall Musique. Pour rattraper l’erreur (grave !), on va se se concentrer sur son nouveau single : White Liar.
Ce dernier a pour mission de précéder son troisième album, Revolution. Pas une mince affaire après l’échec cuisant et révoltant de Dead Flowers, pour des raisons évidentes : radios réticentes et clip dévoilé trois mois après la sortie du single (ça c’est du timing), au moment où les audiences ont commencé à dégringoler. Quand on n'a pas pour patronyme Swift ou Underwood, pour les filles le ciel n’est pas rose tous les jours au pays de la country.
Ce dernier a pour mission de précéder son troisième album, Revolution. Pas une mince affaire après l’échec cuisant et révoltant de Dead Flowers, pour des raisons évidentes : radios réticentes et clip dévoilé trois mois après la sortie du single (ça c’est du timing), au moment où les audiences ont commencé à dégringoler. Quand on n'a pas pour patronyme Swift ou Underwood, pour les filles le ciel n’est pas rose tous les jours au pays de la country.
A l’inverse de Dead Flowers qui a surpris tout le monde, et en premier lieu les programmateurs -qui du coup l’ont rejeté-, Miranda opte avec White Liar pour un up-tempo country. La texane au tempérament électrique a jusque là connu le succès avec des titres à l’ambiance très rock (Kerosene, Gunpowder & Lead) mais avec ce deuxième extrait, c’est "back to the basics", ses "country roots" et un son old school façon Dry Town ou Merle Haggard, voire son premier album indépendant (introuvable, sauf si vous êtes prêts à débourser mille euros). Dans le texte plus docile que sur ces deux gros hits, Miranda en a quand même toujours après son mec. On espère pour lui qu’elle est plus tendre avec Blake Shelton, son compagnon depuis plusieurs années et un des collaborateurs privilégiés de ce troisième projet. Et comme la recette marche bien, elle nous ressert le solo de guitare pour clôturer le titre en beauté. Tripant.
Coup de mou pour la chouchoute des critiques ou nouveau coup de génie ? Pour l’instant c’est assez mitigé chez les auditeurs, mais le 29 septembre les acheteurs trancheront avec l’arrivée dans les bacs de Revolution, un des opus les plus attendus de l’année chez l’Oncle Sam. De mon côté, pas d’hésitation, je lui verse déjà les dix dollars de ma précommande.
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