Le 15 Septembre 2009, le premier album de Nadia Ali (ex-membre de Iio), Embers, est sorti sur toutes les plateformes de téléchargement légal (aucune sortie physique n’est pour le moment prévu). Rien que pour vous, Hall-Musique vous livre cette petite critique express de cet opus.
Triangle, la piste d’ouverture, a le mérite de se démarquer des trois singles que l’on connaît déjà dans la mesure où il s’agit d’un mid-tempo planant aux sonorités électro (avec de légères touches de rock). Bon, les paroles ne sont pas exceptionnelles mais elles s’accordent avec l’ambiance un peu sombre qui se dégage de l’instrumentale.
Crash & Burn, le premier single promotionnel issu de cet opus, reprend les mêmes ingrédients que sa consœur mais elle est un tantinet plus dynamique.
People, la piste suivante, marque un léger changement au niveau musical puisque cette piste s’inscrit dans un registre plus synthétique. D’ailleurs, ces arrangements s’accordent parfaitement avec l’ambiance assez sombre qui se dégage de la production (paroles comprises bien qu’elles soient minimalistes).
Ride With Me est un peu construite de la même manière (sonorités électronico/synthétiques) mais elle se distingue clairement de sa consœur grâce à sa base rythmique beaucoup plus froide et incisive (qui renforce cette notion de « voyage » ou de « fuite », c’est selon l’interprétation que l’on a des paroles de la chanson).
Not Thinking, piste assez triste au niveau du texte, est à rapprocher de Triangle au niveau musical. Et malheureusement, je trouve que cette chanson n’est pas spécialement marquante.
Be Mine n’est pas une reprise du tube de Robyn (ah ben oui, il est préférable de mettre les choses au clair). Toutefois, cette piste n’en demeure pas efficace et qui plus est lancinante (c’est toujours ça de pris). Je l’avoue, j’ai été agréablement surpris lorsque que j’ai écoute cette chanson pour la première fois et aujourd’hui encore, je l’écoute assez souvent.
Silver Lining se distingue clairement du reste de l’album : il s’agit d’une longue ballade combinant sonorités pop et orientales. A noter que le texte est plutôt bien écrit et que l’interprétation livrée par Nadia est plutôt convaincante. La chanteuse aurait l’exploiter en single histoire de marquer un changement par rapport aux trois autres singles.
Point The Finger marque un retour aux productions dance/house/électro et mine de rien, je dois reconnaître que cette piste n’est pas si mal en fin de compte (j’avais eu un peu de mal lors des premières écoutes). Là aussi, l’interprétation est convaincante.
Mistakes est une chanson beaucoup plus lente et qui plus est, assez classique. Malheureusement, cette piste n’est pas inoubliable… à vrai dire, je ne l’écoute pas souvent.
Inutile de vous présenter à nouveau Fine Print car je l’ai déjà fait dans un précédent article sur ce blog (voir ici). Bon allez, je le redis à nouveau… cette piste est très bonne !!!
Promises est à rapprocher de Mistakes car il s’agit également d’une ballade relativement dépouillée au niveau de la production. Toutefois, je trouve cette chanson plus agréable, plus sincère également par rapport à sa consœur. Voilà une bien jolie ballade qui aurait également mérité une exploitation en single.
La fin de l’album approche et Nadia Ali choisit ce moment pour livrer une dernière production dance/house : il s’agit de Love Story, chanson que je ne présente plus car elle a elle-aussi fait l’objet d’une sortie promotionnelle (voir ici). Je ne vais pas m’attarder davantage sur cette piste… après tout c’est LE tube de cet album.
Vous l’avez deviné, Fantasy est la piste de clôture de Embers. Cette piste romantique, m’a marqué lors de la première écoute car musicalement parlant, elle ressemble beaucoup à Just Listen, une piste présente sur l’album du groupe OceanLab (souvenez-vous, le projet parallèle du groupe trance Above & Beyond). Ceci dit, j’avoue que j’adore cette chanson car elle est très planante.
Conclusion: sans pour autant être révolutionnaire, le premier album de Nadia Ali a le mérite d'être globalement bon dans son ensemble. Toutefois, je me serais passé de Mistakes et Not Thinking car elles ne sont absolument pas marquantes. Pour conclure cet article, je vous propose de découvrir Be Mine et Love Story.
Crash & Burn, le premier single promotionnel issu de cet opus, reprend les mêmes ingrédients que sa consœur mais elle est un tantinet plus dynamique.
People, la piste suivante, marque un léger changement au niveau musical puisque cette piste s’inscrit dans un registre plus synthétique. D’ailleurs, ces arrangements s’accordent parfaitement avec l’ambiance assez sombre qui se dégage de la production (paroles comprises bien qu’elles soient minimalistes).
Ride With Me est un peu construite de la même manière (sonorités électronico/synthétiques) mais elle se distingue clairement de sa consœur grâce à sa base rythmique beaucoup plus froide et incisive (qui renforce cette notion de « voyage » ou de « fuite », c’est selon l’interprétation que l’on a des paroles de la chanson).
Not Thinking, piste assez triste au niveau du texte, est à rapprocher de Triangle au niveau musical. Et malheureusement, je trouve que cette chanson n’est pas spécialement marquante.
Be Mine n’est pas une reprise du tube de Robyn (ah ben oui, il est préférable de mettre les choses au clair). Toutefois, cette piste n’en demeure pas efficace et qui plus est lancinante (c’est toujours ça de pris). Je l’avoue, j’ai été agréablement surpris lorsque que j’ai écoute cette chanson pour la première fois et aujourd’hui encore, je l’écoute assez souvent.
Silver Lining se distingue clairement du reste de l’album : il s’agit d’une longue ballade combinant sonorités pop et orientales. A noter que le texte est plutôt bien écrit et que l’interprétation livrée par Nadia est plutôt convaincante. La chanteuse aurait l’exploiter en single histoire de marquer un changement par rapport aux trois autres singles.
Point The Finger marque un retour aux productions dance/house/électro et mine de rien, je dois reconnaître que cette piste n’est pas si mal en fin de compte (j’avais eu un peu de mal lors des premières écoutes). Là aussi, l’interprétation est convaincante.
Mistakes est une chanson beaucoup plus lente et qui plus est, assez classique. Malheureusement, cette piste n’est pas inoubliable… à vrai dire, je ne l’écoute pas souvent.
Inutile de vous présenter à nouveau Fine Print car je l’ai déjà fait dans un précédent article sur ce blog (voir ici). Bon allez, je le redis à nouveau… cette piste est très bonne !!!
Promises est à rapprocher de Mistakes car il s’agit également d’une ballade relativement dépouillée au niveau de la production. Toutefois, je trouve cette chanson plus agréable, plus sincère également par rapport à sa consœur. Voilà une bien jolie ballade qui aurait également mérité une exploitation en single.
La fin de l’album approche et Nadia Ali choisit ce moment pour livrer une dernière production dance/house : il s’agit de Love Story, chanson que je ne présente plus car elle a elle-aussi fait l’objet d’une sortie promotionnelle (voir ici). Je ne vais pas m’attarder davantage sur cette piste… après tout c’est LE tube de cet album.
Vous l’avez deviné, Fantasy est la piste de clôture de Embers. Cette piste romantique, m’a marqué lors de la première écoute car musicalement parlant, elle ressemble beaucoup à Just Listen, une piste présente sur l’album du groupe OceanLab (souvenez-vous, le projet parallèle du groupe trance Above & Beyond). Ceci dit, j’avoue que j’adore cette chanson car elle est très planante.
Conclusion: sans pour autant être révolutionnaire, le premier album de Nadia Ali a le mérite d'être globalement bon dans son ensemble. Toutefois, je me serais passé de Mistakes et Not Thinking car elles ne sont absolument pas marquantes. Pour conclure cet article, je vous propose de découvrir Be Mine et Love Story.
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