Si pendant plusieurs semaines son excellent titre Just Dance a alimenté le buzz et les petits cris d'indignation des fans de Gwen Stefani, dans la blogosphère, c'est actuellement l'album de Lady GaGa, The Fame, qui intrigue, surprend, étonne, et déçoit.
Intriguant car tous les titres ne sont pas connus pour le moment. Si habituellement l'album fuit rapidement après l'apparition du premier single, c'est au compte goutte que sont délivrées les chansons de l'album, sur la toile.
Surprenant car l'on ne s'attendait certainement pas, à l'écoute du premier titre connu, à entendre d'autres chansons aussi efficaces dans l'opus. C'est pourtant le cas de Boys Boys Boys, une des pistes confirmées et qui est tout sauf une reprise de la chanson du même titre interprêtée dans les années 80 par Sabrina (Grosse poitrine + Bikini taille enfant + sortie de piscine = clip mythique). Ce titre s'illustre dans un registre électro pop particulièrement agréable, et s'avère être au moins aussi tubesque que Just Dance (si ce n'est plus).
C'est également le cas de Paparrazzi, annoncé par beaucoup de sites comme LA ballade de l'album, et c'est effectivement le cas. Avec son petit air de Madonna Says It Right, la chanson reprenant des gimmicks déjà connus dans le monde des ballades Timbalandiennes, en les mêlant à une voix qui, parfois, frise la fragilité que montrait Madonna dans ses premiers titres, Paparrazzi pourrait bien être la ballade de cet automne, si une exploitation décente en était faite.
Étonnant car sur certains titres, Lady GaGa s'éloigne complètement des rythmes 80's pop qu'elle exploite dans Just Dance ou Boys Boys Boys, montrant clairement une volonté de se mettre le public américain dans la poche.
C'est ce point qui est décevant. Quand l'envie de séduire les USA brise toute la crédibilité artistique qu'elle aurait pu acquérir très rapidement, en ne se concentrant que sur un esprit de chansons. Dommage, en attendant que les rares titres manquants fassent leur apparition sur la toile.
Intriguant car tous les titres ne sont pas connus pour le moment. Si habituellement l'album fuit rapidement après l'apparition du premier single, c'est au compte goutte que sont délivrées les chansons de l'album, sur la toile.
Surprenant car l'on ne s'attendait certainement pas, à l'écoute du premier titre connu, à entendre d'autres chansons aussi efficaces dans l'opus. C'est pourtant le cas de Boys Boys Boys, une des pistes confirmées et qui est tout sauf une reprise de la chanson du même titre interprêtée dans les années 80 par Sabrina (Grosse poitrine + Bikini taille enfant + sortie de piscine = clip mythique). Ce titre s'illustre dans un registre électro pop particulièrement agréable, et s'avère être au moins aussi tubesque que Just Dance (si ce n'est plus).
C'est également le cas de Paparrazzi, annoncé par beaucoup de sites comme LA ballade de l'album, et c'est effectivement le cas. Avec son petit air de Madonna Says It Right, la chanson reprenant des gimmicks déjà connus dans le monde des ballades Timbalandiennes, en les mêlant à une voix qui, parfois, frise la fragilité que montrait Madonna dans ses premiers titres, Paparrazzi pourrait bien être la ballade de cet automne, si une exploitation décente en était faite.
Étonnant car sur certains titres, Lady GaGa s'éloigne complètement des rythmes 80's pop qu'elle exploite dans Just Dance ou Boys Boys Boys, montrant clairement une volonté de se mettre le public américain dans la poche.
C'est ce point qui est décevant. Quand l'envie de séduire les USA brise toute la crédibilité artistique qu'elle aurait pu acquérir très rapidement, en ne se concentrant que sur un esprit de chansons. Dommage, en attendant que les rares titres manquants fassent leur apparition sur la toile.
Stéphane.
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