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lundi 3 novembre 2008

Critique album : Infernal – Electric Cabaret

Après s’être fait connaître en Europe grâce à des morceaux efficaces tels que « From Paris To Berlin » (ou encore « Self Control »), le duo danois Infernal a, en Août 2008, commercialisé un nouvel album au Danemark intitulé « Electric Cabaret ». Mais est-ce que cet album est aussi bon que le précédent opus du groupe ? Réponse dans les lignes qui vont suivre.



La réponse est non. Cependant, « Electric Cabaret » n’est pas non plus un mauvais album car il y a tout de même des éléments à souligner. Une chose est sûre, les deux membres du duo ont essayé d’évoluer puisque certaines chansons s’aventurent parfois dans un registre plus pop (cf. « Electric Light », les deux balades que sont « Back To Youth » et « Days Full Of Loving »). De plus, des sonorités légèrement rock (cf. « Silver Surfer » et « Mr Money ») ou encore propre au monde de l’électronique (cf. « Because Uhh » par exemple). Bien entendu, les pistes dance sont toujours de la partie (pour le plus grand plaisir de leurs fans). Seulement voilà, l’ensemble est inégal et peine à convaincre car certaines pistes se révèlent être beaucoup trop fragiles et accessoirement beaucoup trop kitsch.

Exception faite des deux balades, deux autres pistes parviennent à se distinguer des autres : la première, « Whenever You Need Me », est une piste électro/dance un peu moins rapide que « Downtown Boys » (le premier single de l’opus) mais elle a le mérite d’être agréable et planante par instants. « Redefinition », une piste efficace qui rappelle les singles du précédent d’Infernal, est la seconde piste à retenir mais qu’on se le dise, elle n’est en rien révolutionnaire.

On garde : Whenever You Need Me, Days Full Of Loving, Back To Youth, Redefinition
On zappe: Punk Disco, Dead Or Alive, Silver Surfer, Behind The Music (une instrumentale inutile).

Bilan mitigé pour ce nouvel album d’Infernal. Certes, le duo a essayé de proposer de nouvelles choses mais il aurait fallu que ce dernier retravaille certaines chansons afin que ces dernières parviennent à convaincre le public. Avec un peu de chance, ça se produira la prochaine fois. Pour conclure cet article, je vous propose de découvrir "Whenever You Need Me" et "Downtown Boys", les deux premiers singles de l'album.

Whenever You Need Me


Downtown Boys

1 commentaire:

Anonyme a dit…

VOus trouvez pas que le début de 'Whenever you need me' ressemble à 'I like it rough' ?


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