Lassé des clones de la Queen Winehouse ? Ces derniers mois ont vu déferlé une vague ininterrompue de répliques, jusque dans les couloirs de la Star Academy. Une invasion que l’on a plus ou moins mal à digérer mais qui ne semble pas prête de stopper. Heureusement Pixie, britannique de 17 ans, propose une formule légèrement revue qui devrait en séduire plus d’un…
A l’heure où Duffy écrase les charts du monde entier et Gabriella Cilmi signe le tube de l’été, Pixie, elle, sort doucement de l’ombre. Ses grandes soeurs lui ont préparé le terrain, tandis qu’en studio, lady Lott s’est affairée à la réalisation de son premier disque prévu pour 2009. De prime abord, cette jeune fille a un sourire qui inspire la sympathie, et des bouclettes dorées dignes d’un spot publicitaire Pantene. Une gueule d’ange en somme qui contraste avec sa voix rauque mais merveilleusement travaillée. Et bien que l’on soit habitué, avec des chanteuses comme Gabriella ou Anastacia, a retrouvé des voix de diva soul dans des corps tout frêles, l’étonnement reste de mise.
Ce talent bien qu’inné ne l’a pas empêché de suivre une formation spécifique tout au long de son enfance. C’est ainsi qu’elle se retrouve dès l’âge de onze ans dans une école artistique qui lui permettra de développer son don et de s’exprimer sur de nombreux tableaux (chant, danse etc…). Par la suite, L.A Reid gros bonnet chez les producteurs américains la signe et lui déroule le tapis rouge, tout cela avant que sa protégée ne lui fasse faux-bond et parte voir ailleurs, chez elle, en Angleterre. Transférée chez Mercury, après deux ans de flottement, Pixie trouve ses marques et travaille d’arrache pied avec son équipe sur ses premiers titres.
A son chevet se bousculent des noms aussi prestigieux que Kara DioGuardi, Shaznay Lewis, Jonas Jeberg et j’en passe, la liste est longue. Tant de noms pour autant de styles passés en revue.
Car oui, comme promis, le j’ai-nommé-sosie-capillaire-de-taylor-swift ne se limite pas à une énième musique pompée sur Amy Winehouse. Aussi bien fan de pure soul que de r&b contemporain, Pixie a voulu composer un disque à son image, varié. Les premiers morceaux se complètent ainsi parfaitement et évoque à la fois, Leona Lewis et ses douceurs pop/r&b (Without You), Joss Stone et sa soul funky (Boys & Girls), n’importe quelle éphèmère vedette (The Fall) et quand même oui, Amy, preuve en est sur Moma Do. Des chansons qui suggèrent une atmosphère et des émotions, comme Cry Me Out qui nous transporte dans les grandes années du label Motown. Une démarche qui artistiquement se rapproche de celle de Mutya Buena (ex-Sugababes) sur son album solo.
Pour lancer la machine ne reste qu’à choisir le bon single, ensuite laissons faire le bouche-à-oreille et dans un an Pixie sera consacrée révélation de l’année.
A l’heure où Duffy écrase les charts du monde entier et Gabriella Cilmi signe le tube de l’été, Pixie, elle, sort doucement de l’ombre. Ses grandes soeurs lui ont préparé le terrain, tandis qu’en studio, lady Lott s’est affairée à la réalisation de son premier disque prévu pour 2009. De prime abord, cette jeune fille a un sourire qui inspire la sympathie, et des bouclettes dorées dignes d’un spot publicitaire Pantene. Une gueule d’ange en somme qui contraste avec sa voix rauque mais merveilleusement travaillée. Et bien que l’on soit habitué, avec des chanteuses comme Gabriella ou Anastacia, a retrouvé des voix de diva soul dans des corps tout frêles, l’étonnement reste de mise.
Ce talent bien qu’inné ne l’a pas empêché de suivre une formation spécifique tout au long de son enfance. C’est ainsi qu’elle se retrouve dès l’âge de onze ans dans une école artistique qui lui permettra de développer son don et de s’exprimer sur de nombreux tableaux (chant, danse etc…). Par la suite, L.A Reid gros bonnet chez les producteurs américains la signe et lui déroule le tapis rouge, tout cela avant que sa protégée ne lui fasse faux-bond et parte voir ailleurs, chez elle, en Angleterre. Transférée chez Mercury, après deux ans de flottement, Pixie trouve ses marques et travaille d’arrache pied avec son équipe sur ses premiers titres.
A son chevet se bousculent des noms aussi prestigieux que Kara DioGuardi, Shaznay Lewis, Jonas Jeberg et j’en passe, la liste est longue. Tant de noms pour autant de styles passés en revue.
Car oui, comme promis, le j’ai-nommé-sosie-capillaire-de-taylor-swift ne se limite pas à une énième musique pompée sur Amy Winehouse. Aussi bien fan de pure soul que de r&b contemporain, Pixie a voulu composer un disque à son image, varié. Les premiers morceaux se complètent ainsi parfaitement et évoque à la fois, Leona Lewis et ses douceurs pop/r&b (Without You), Joss Stone et sa soul funky (Boys & Girls), n’importe quelle éphèmère vedette (The Fall) et quand même oui, Amy, preuve en est sur Moma Do. Des chansons qui suggèrent une atmosphère et des émotions, comme Cry Me Out qui nous transporte dans les grandes années du label Motown. Une démarche qui artistiquement se rapproche de celle de Mutya Buena (ex-Sugababes) sur son album solo.
Pour lancer la machine ne reste qu’à choisir le bon single, ensuite laissons faire le bouche-à-oreille et dans un an Pixie sera consacrée révélation de l’année.
Pixie (Myspace)
1 commentaire:
Excellent, rien à dire...
À part merci !
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