Qui pour succéder à Gabriella Cilmi en 2009 ? La question ne se pose plus depuis l’apparition d’Ava Leigh. Après un premier single paru en septembre 2007 (passé aux oubliettes), la chanteuse âgée de 22 ans compte bien repartir à l’assaut des charts britanniques…
Née dans un compté du centre de l’Angleterre, Ava développe très tôt une passion pour la musique. En particulier pour un style bien précis : le reggae. Un style qu’elle laissera tomber quelques temps et pour cause, elle intégrera une formation de jazz pendant sa scolarité. Sortie du système éducatif, elle s’emploie à décrocher un contrat. Contactée et recueillie très vite, elle vire r&b de bas étage avant d’être sollicitée par Raymond Stevenson, le directeur artistique qui a lancé Jamiroquai. Une rencontre qui signifie beaucoup dans la carrière de la demoiselle.
Prise de suite en main (par Virgin), elle révèle son vrai visage et laisse éclater son tempérament. A ceux qui diraient qu’elle ne propose du réchauffé, Ava oppose une attitude décontractée. Reggae, ska, jazz sont les principaux courants qu’elle traverse, le tout très influencé par la soul poppisée du Motown Records. Les premiers registres, sur lesquels elle base toute sa culture musicale et qui lui permettent de se différencier en partie des Amy Winehouse et Gabriella Cilmi. Pareillement à ses consoeurs on l’identifie avant tout par sa voix, son physique de starlette passant au second plan. Une enveloppe "corporelle" en contraste avec l’esprit vintage de sa musique. Son univers est d’ailleurs résolument porté vers les décennies 60/70 et hanté par l’âme de Bob Marley, son héros.
Et comme son timbre se prête aussi bien aux sonorités jamaïquaines qu’à un classique de rock ou de pop, Ava Leigh se bat pour faire de son album un patchwork musical. Ainsi elle est à la croisée de Joss Stone, Amy Winehouse, et plus surprenant de Lily Allen (un producteur en commun) qui avait initié le mouvement. Proche aussi de l’école rocksteady qu’elle admire. Bref entre le suave Rollin, le standard brésilien Mas Que Nada, l’authentique charme rétro de Mad About The Boy (premier single) et le sulfureux La La La, il y a de quoi faire. "Triple La", choisi comme second single et qui sera vendu à partir du 5 janvier. L’album Rollin’ attendu pour le 23 février est déjà en ligne et quelques critiques professionnelles vous en donneront un aperçu.
Née dans un compté du centre de l’Angleterre, Ava développe très tôt une passion pour la musique. En particulier pour un style bien précis : le reggae. Un style qu’elle laissera tomber quelques temps et pour cause, elle intégrera une formation de jazz pendant sa scolarité. Sortie du système éducatif, elle s’emploie à décrocher un contrat. Contactée et recueillie très vite, elle vire r&b de bas étage avant d’être sollicitée par Raymond Stevenson, le directeur artistique qui a lancé Jamiroquai. Une rencontre qui signifie beaucoup dans la carrière de la demoiselle.
Prise de suite en main (par Virgin), elle révèle son vrai visage et laisse éclater son tempérament. A ceux qui diraient qu’elle ne propose du réchauffé, Ava oppose une attitude décontractée. Reggae, ska, jazz sont les principaux courants qu’elle traverse, le tout très influencé par la soul poppisée du Motown Records. Les premiers registres, sur lesquels elle base toute sa culture musicale et qui lui permettent de se différencier en partie des Amy Winehouse et Gabriella Cilmi. Pareillement à ses consoeurs on l’identifie avant tout par sa voix, son physique de starlette passant au second plan. Une enveloppe "corporelle" en contraste avec l’esprit vintage de sa musique. Son univers est d’ailleurs résolument porté vers les décennies 60/70 et hanté par l’âme de Bob Marley, son héros.
Et comme son timbre se prête aussi bien aux sonorités jamaïquaines qu’à un classique de rock ou de pop, Ava Leigh se bat pour faire de son album un patchwork musical. Ainsi elle est à la croisée de Joss Stone, Amy Winehouse, et plus surprenant de Lily Allen (un producteur en commun) qui avait initié le mouvement. Proche aussi de l’école rocksteady qu’elle admire. Bref entre le suave Rollin, le standard brésilien Mas Que Nada, l’authentique charme rétro de Mad About The Boy (premier single) et le sulfureux La La La, il y a de quoi faire. "Triple La", choisi comme second single et qui sera vendu à partir du 5 janvier. L’album Rollin’ attendu pour le 23 février est déjà en ligne et quelques critiques professionnelles vous en donneront un aperçu.
Mad About The Boy
La La La
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