LeToya ex-Destiny’s Child avait depuis deux années disparu de la circulation. Après le « succès » que fut son premier album, la demoiselle prit son temps pour bichonner le second.
En 2006, l’album LeToya avait réussi l’exploit de se classer numéro un du Billboard. Elle, devenait ainsi la deuxième DC, après Beyoncé bien sûr, à y arriver. Un demi-tube Torn et deux flops plus tard, elle revient en 2009 avec Not Anymore.
Le premier album en plus d’une jolie performance dans les charts avait su charmer les critiques. A l’époque, on aurait pu prédire de la soupe r’n’b, mais force est de reconnaître que le résultat fonctionnait très bien. A L’image de Torn ou She don’t, dans lesquelles elle nous servait de petites mélodies clean mais aguicheuses, l’album surfait sur les mid-tempo façon Ne-Yo.
La recette ayant bien pris et le registre fournissant des tubes par dizaine, la sexy brunette s’est décidée à poursuivre dans la même voie. Sur Not Anymore (écrit pas Ne-Yo, tiens tiens), lancé aujourd’hui outre-Atlantique, elle propose du Rihanna moins sucrée, une sorte de Bleeding Love taillé pour le marché nord-américain. En somme, la ballade r’n’b bien stéréotypée. L’originalité n’a pas sonné à la porte mais la notion de tube semble coller au morceau. Et après tout pour le moment, c’est la seule mission qu’on lui demande, faire un hit.
L’album appelé Lady Love parviendra dans les bacs le sept avril (même semaine que celui des Rascal Flatts – les peroxydés de la country – , aie). Des collaborations prestigieuses sont à l’ordre du jour : Stargate, Pharrell Williams, Rodney Jerkins, Sam Sparro et une brochette infinie de talents (tous ne feront évidemment pas partis du projet final). De la diversité pour LeToya, à ceux qui reprochaient au premier album d’être trop sage. Souhaitons juste qu’elle ne finisse pas comme Michelle Williams ! Des démos flottent à droite, à gauche, si l’envie vous prend.
En 2006, l’album LeToya avait réussi l’exploit de se classer numéro un du Billboard. Elle, devenait ainsi la deuxième DC, après Beyoncé bien sûr, à y arriver. Un demi-tube Torn et deux flops plus tard, elle revient en 2009 avec Not Anymore.
Le premier album en plus d’une jolie performance dans les charts avait su charmer les critiques. A l’époque, on aurait pu prédire de la soupe r’n’b, mais force est de reconnaître que le résultat fonctionnait très bien. A L’image de Torn ou She don’t, dans lesquelles elle nous servait de petites mélodies clean mais aguicheuses, l’album surfait sur les mid-tempo façon Ne-Yo.
La recette ayant bien pris et le registre fournissant des tubes par dizaine, la sexy brunette s’est décidée à poursuivre dans la même voie. Sur Not Anymore (écrit pas Ne-Yo, tiens tiens), lancé aujourd’hui outre-Atlantique, elle propose du Rihanna moins sucrée, une sorte de Bleeding Love taillé pour le marché nord-américain. En somme, la ballade r’n’b bien stéréotypée. L’originalité n’a pas sonné à la porte mais la notion de tube semble coller au morceau. Et après tout pour le moment, c’est la seule mission qu’on lui demande, faire un hit.
L’album appelé Lady Love parviendra dans les bacs le sept avril (même semaine que celui des Rascal Flatts – les peroxydés de la country – , aie). Des collaborations prestigieuses sont à l’ordre du jour : Stargate, Pharrell Williams, Rodney Jerkins, Sam Sparro et une brochette infinie de talents (tous ne feront évidemment pas partis du projet final). De la diversité pour LeToya, à ceux qui reprochaient au premier album d’être trop sage. Souhaitons juste qu’elle ne finisse pas comme Michelle Williams ! Des démos flottent à droite, à gauche, si l’envie vous prend.
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