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lundi 15 septembre 2008

Critique: The Pussycat Dolls - Doll Domination


Nos 5 strip-teaseuses préférées, chacune placée sur sa petite motocyclette, sont de retour. Leur second album vient tout juste de filtrer sur la toile, et avant même une première écoute, on se demande tous un peu comment elles vont pouvoir faire pour battre le record de tube de PCD leur premier opus. Buttons, Don't Cha, Beep, I Don't Need A Man, autant de tubes en un seul album ça fait rêver et du coup la barre est haute. When I Grow Up, le premier extrait, tourne depuis quelques temps sur nos ondes et reste dans la lignée de ce qu'elles ont pu proposer. Doll Domination (sur lequel on collaboré Timbaland, Darkchild, Sean Garett ou encore Lady Gaga) frappe fort avec une double galette. La première et principale, contient les 16 titres de l'album. La seconde (en bonus youpi) fait la part belle aux 4 danseuses un peu trop potiches du groupe et Nicole se paye même le luxe de n'être qu'en featuring sur un des titres. Et qu'elle en ait le verdict ? Sylvain nous livre ses impressions:

"Bon ben du sample en veux-tu, en voilà! On ne s'amusera pas à tous les répertorier mais pas mal de noms sont évoqués! Bref, à l'écoute du puéril When I Grow Up et à la vue de la pochette Bling Bling semi-vulgos de Doll Domination, on pouvait craindre le pire pour ce nouvel album: la casse a été moins violente que pressentie.
Alors on reste dans le R'N'B de base, avec ses gros featurings de base (Missy Elliott, Snoop Dogg, R Kelly) mais là où le bât blesse c'est qu'on reste quand même un peu loin des tubes Don' t Cha, Beep ou le sexy Buttons. A ce propos, on sent l'effort (et le désir évident) avec Bottle Pop (le featuring avec Snoopy) de réitérer la bombe musicale et surtout le succès mais, même si le morceau est un des titres phares de l'album, on ne retrouve pas l'ambiance si particulière de Buttons.
Vous l'aurez compris, au final, on se retrouve avec de jolies surprises (Love The Way You Love Me), on nous sert un nouveau son qu'on ne connaissait pas aux PCD (notamment beaucoup plus de ballades) mais, en même temps, on sent la pattoune Timbaland (souvent agréable à l'oreille mais chiante à la longue), on nous refourgue des anciens titres solos de Scherzinger (bien que les réarrangements de Happily Never After sont réussis) et, cerise sur le pudding, on nous offre en Bonus un titre par demoiselle. Bon, la blonde à la jambe frivole est déjà prise, Scherzinger n'en parlons même pas, laquelle prendrez-vous donc? Melody?

En conclusion, un album assez bon pour un groupe qui nous serait totalement inconnu. Ce n'est pas non plus le Hard Candy des PussyChattes mais, pour un groupe sur l'album duquel on a aimé (parfois voire souvent avec honte) se déhancher et faire nos filles faciles, le bonbon est peut-être assez dur à avaler, oui..."

On aime: Bottle Pop, Watchamacallit, Takin' All Over The World, Out Of This Club
On zappe: Hush, Watcha Think About That, In Person (très Right Now mais très irritant aussi...)

Mère Noël, elle aussi cochonne à ses heures perdues nous livre la domination des poupées (hum).

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