Six années se sont écoulées depuis la sortie de « The Morning After », le dernier album studio de la chanteuse canadienne Deborah Cox. Depuis le 11 Novembre 2008, la chanteuse a commercialisé son nouvel opus intitulé « The Promise ». Mais que vaut l’album ? Réponse dans les lignes qui vont suivre.
Dans l’article consacré à « Did You Ever Love Me » (premier single de l’album, produit par Jam et Lewis), j’avais mentionné un élément important : « The Promise » marque un retour au registre musical qui fit de Deborah Cox une star à part entière à savoir le R&B. Mais Deborah a bel et bien gagné en maturité durant ces quelques années. Cela se ressent sur des chansons telles que « Love Is Not Made In Words » ou encore « Beautiful U R » (second single de l’album), deux pistes R&B particulièrement soignées que l’on doit à Jimmy Jam et Terry Lewis. Le duo a également produit trois autres chansons et même si globalement, le résultat est bon, certaines faiblesses ressortent. C’est le cas de « All Over Me » et « All Hearts Aren’t Shaped The Same », deux ballades beaucoup trop classiques (car rappelant la fin des années 1990/début des années 2000).
Shep Crawford, producteur à l’origine de certains classiques de la chanteuse (« Play Your Part » ou encore « We Can’t Be Friends »), est également sur « Where Do We Go 2 », un excellent mid-tempo qui clôture l’album. Cependant, le producteur s’en sort un peu moins bien sur « Saying Goodbye », une chanson un peu faible par rapport au reste du disque. Cependant, un dernier collaborateur de prestige vient s’ajouter : il s’agit de John Legend. Le chanteur produit deux chansons : le sympathique « You Know Where My Heart Is » (qui me fait très légèrement penser à une chanson de Teedra Moses) mais aussi « The Promise », une ballade très sincère et très bien interprétée par Deborah.
Shep Crawford, producteur à l’origine de certains classiques de la chanteuse (« Play Your Part » ou encore « We Can’t Be Friends »), est également sur « Where Do We Go 2 », un excellent mid-tempo qui clôture l’album. Cependant, le producteur s’en sort un peu moins bien sur « Saying Goodbye », une chanson un peu faible par rapport au reste du disque. Cependant, un dernier collaborateur de prestige vient s’ajouter : il s’agit de John Legend. Le chanteur produit deux chansons : le sympathique « You Know Where My Heart Is » (qui me fait très légèrement penser à une chanson de Teedra Moses) mais aussi « The Promise », une ballade très sincère et très bien interprétée par Deborah.
On Garde : Love Is Not Made In Words, The Promise, Where Do We Go 2 et Did You Ever Love Me
On zappe (surtout): All Over Me et All Hearts Aren’t Shaped The Same.
Pari réussi pour Deborah Cox qui réussit à revenir avec un nouvel album solide et bien produit dans son ensemble. Néanmoins, j’ai un petit reproche à faire. L’album est beaucoup trop court car il n’y a que dix titres ; la maison de disques aurait pu inclure deux ou trois chansons supplémentaires. Dommage.
Pour clôturer cet article, je vous invite à découvrir « The Promise » et « Love Is Not Made In Words ». « Did You Ever Love Me » et « Beautiful U R » sont toujours en écoute sur le blog.
Pour clôturer cet article, je vous invite à découvrir « The Promise » et « Love Is Not Made In Words ». « Did You Ever Love Me » et « Beautiful U R » sont toujours en écoute sur le blog.
Deborah Cox - The Promise
Deborah Cox - Love Is Not Made In Words
Deborah Cox - Love Is Not Made In Words
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