Traveling like the light • Par Stéphane
Ne m'ayant pas entièrement convaincu avec Crying blood et Leave, VV Brown peut remercier son troisième single, Shark in the water, d'avoir suscité en moi une curiosité suffisante pour que je jette une oreille attentive sur son premier album. Et finalement, je crois que c'est à moi de la remercier. En effet, quand beaucoup ont tendance à clamer que les meilleurs titres sont sortis en singles avant la sortie de l'album, pour la raison que j'évoque plus haut, je ne suis pas du tout du même avis. Et j'ai tendance à trouver un grand nombre de titres au potentiel - single très fort, dans cet opus. Alors bien sûr Shark in the water reste la pièce maîtresse de cet album. Une petite pépite à la fraicheur surprenante, au refrain imparable et au rythme particulièrement bien maitrisé. Il est évidemment particulièrement dommage que cette chanson n'ait pas eu l'impact énorme qu'elle aurait mérité, pour l'album surtout. Mais allez, soyons optimistes, et nous n'avons qu'à nous dire que, même si ça n'a pas marché Outre-Manche, peut être que chez nous il en sera autrement. On y croit !
Game over était également de ces choix évidents, avec sa mélodie qui (allez savoir pourquoi) me fait penser à une émission TV du type Intervilles. Bottles est au même titre un des titres qui m'ont interpelé lors de ma première écoute de l'album avec ses effluves ennivrantes de 60's. Clip en noir et blanc, London taxi, bar enfumé, petite danse au moment des refrains et l'affaire est dans le sac. Difficile également de passer à côté de Game over, chanson plus lente que celles précédemment citées. Clip en noir et blanc, London taxi, bar enfu... quoi ?
Je me répète ? Non, c'est juste ce que je ressens à l'écoute de cet album : une plongée dans une décennie finalement pas si lointaine et particulièrement bien modernisée par VV Brown, dans ce premier album qui joue sur un équilibre très subtil entre titres qui vous feront immanquablement taper du pied (Quick Fix, Crying blood, Leave, Everybody, L.O.V.E) et mélodies plus douces, plus mélancoliques (Crazy amazing, Game over, et la chanson titre, Traveling like the light, notamment). Un équilibre parfaitement bien représentée par Shark in the water qui parvient à jouer avec brio sur les deux tableaux.
Game over était également de ces choix évidents, avec sa mélodie qui (allez savoir pourquoi) me fait penser à une émission TV du type Intervilles. Bottles est au même titre un des titres qui m'ont interpelé lors de ma première écoute de l'album avec ses effluves ennivrantes de 60's. Clip en noir et blanc, London taxi, bar enfumé, petite danse au moment des refrains et l'affaire est dans le sac. Difficile également de passer à côté de Game over, chanson plus lente que celles précédemment citées. Clip en noir et blanc, London taxi, bar enfu... quoi ?
Je me répète ? Non, c'est juste ce que je ressens à l'écoute de cet album : une plongée dans une décennie finalement pas si lointaine et particulièrement bien modernisée par VV Brown, dans ce premier album qui joue sur un équilibre très subtil entre titres qui vous feront immanquablement taper du pied (Quick Fix, Crying blood, Leave, Everybody, L.O.V.E) et mélodies plus douces, plus mélancoliques (Crazy amazing, Game over, et la chanson titre, Traveling like the light, notamment). Un équilibre parfaitement bien représentée par Shark in the water qui parvient à jouer avec brio sur les deux tableaux.
1 commentaire:
J'ai eu exactement la même impression sur Game Over (l'émission TV type Intervilles) ! ^^
Quelques titres valent véritablement le détour (Shark In The Winter bien sûr, mais aussi Back In Time et I Love You), mais l'labum reste pour moi une déception.
Musicalement,
Dan.
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